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Il y a 38 citations sur le rapamycine.
Pour les auteurs, il y a des mastocytes dans la région du cerveau qui est impliquée dans l’autisme : l’hypothalamus, car c’est dans cette zone que se situe le centre du langage et de l’adaptation. Il y a synthèse d’une neuro-hormone, la neurotensine, qui stimule les mastocytes par le biais d’un récepteur spécifique le mTOR qui peut être inhibé par la rapamycine. C’est l’hyperstimulation des mastocytes qui serait responsable de l’autisme par le biais d’une encéphalite localisée dans l’hypothalamus. Une nouvelle maladie pour les allergologues, l’AOA : autisme d’origine allergique !! Https://www.allergique.org - Actualités des allergies
Cette étude de l’Université John Hopkins rapporte que la combinaison de deux médicaments, la metformine et la rapamycine permet, chez certains patients éligibles et/ou ayant répondu à 6 mois de chimiothérapie, l’arrêt de la progression de la tumeur et maladie et une survie exceptionnellement longue. Ces données d’essai clinique, présentées dans la revue Oncotarget, ouvrent un grand espoir dans le traitement de ce cancer à mauvais pronostic. CANCER du PANCRÉAS : Metformine et rapamycine pour une survie « exceptionnelle » | santé log
La rapamycine offre des promesses merveilleuses comme son effet « jouvence » ou antivieillissement mais entraîne aussi des effets secondaires sérieux. Cette étude américaine, présentée dans la revue eLife, précise la biologie d’un vieillissement retardé par la rapamycine, chez la souris d'âge moyen, ainsi que les effets à long terme d'une thérapie à court terme, sur la santé et la longévité. santé log — CURE de JOUVENCE: La rapamycine à nouveau évoquée pour prolonger la vie | santé log
Mais pour la rapamycine, il faudra trouver le juste milieu, car le médicament diminue également l’efficacité du système immunitaire, "la dose dans laquelle on maintient le système immunitaire à une activité relativement bonne, mais avec un effet anti-vieillesse qui soit notable" poursuit Hugo Aguilaniu. France Culture — Médicaments, génétique, biologie cellulaire, où en est la recherche pour ralentir le vieillissement ?
La rapamycine pourrait inverser les comportements de type autiste très fréquents dans la sclérose tubéreuse complexe, une maladie génétique rare qui offre ici un terrain d’étude du trouble du spectre autistique (TSA). Ces travaux de l’Université du Texas et du Boston Children's Hospital, présentés dans les Cell Reports, définissent la fenêtre ou la période sensible pour inverser les déficits sociaux dans la sclérose tubéreuse complexe. Une étape importante vers une nouvelle option thérapeutique et un rappel toujours utile sur l’importance d’une détection précoce. santé log — SCLÉROSE TUBÉREUSE et AUTISME : La rapamycine, un espoir en traitement précoce | santé log
Après des essais prometteurs chez la souris et avant de l'évaluer chez l'Homme, des chercheurs proposent d'étudier sur des chiens les effets d'une molécule anti-âge : la rapamycine, un médicament actuellement utilisé pour éviter les rejets de greffe. Futura — Des chiens pourraient tester un traitement anti-âge
La rapamycine associée à la metformine pourrait être la cure de jouvence de demain selon une nouvelle étude scientifique américaine. Topsante.com — Une nouvelle cure de jouvence bientôt disponible ? - Top Santé
Deux médicaments sont également à l'étude sur des souris : la rapamycine, un immunosuppresseur, associé à la metformine, un antidiabétique. La combinaison des deux présenterait des effets positifs sur le vieillissement cellulaire en le freinant. Cependant, "l'absence de risque de toxicité secondaire chez l'homme n'est pas encore démontrée", relève la scientifique. Magazine Lifestyle | Vieillir sans être vieux : la quête de la jeunesse éternelle
Merci pour votre article attirant l’attention sur la rapamycine qui fait l’objet d’une énorme recherche. AgoraVox — La Rapamycine augmenterait la mémoire et l'espérance de vie tout en réduisant l'anxiété et la dépression - AgoraVox le média citoyen
C’est pourquoi une équipe de Généthon / Inserm dirigée par le Dr Federico Mingozzi, a cherché à contourner cet obstacle biologique et rendre ainsi l’organisme des malades tolérant à une seconde injection de thérapie génique par AAV. Pour y parvenir, les chercheurs ont utilisé des nanoparticules de rapamycine, un immunosuppresseur connu, développées par la biotech américaine Selecta Biosciences, qu’ils ont injecté simultanément à un vecteur AAV par voie intraveineuse. Ils ont constaté, sur des modèles animaux, que cette administration simultanée inhibe les réactions immunitaires de l’organisme. Salle de presse | Inserm — Des chercheurs à Généthon démontrent la possibilité de ré-administrer une thérapie génique | Salle de presse | Inserm
En 2009, il était apparu que la rapamycine, un médicament immunosuppresseur, est capable d'allonger la durée de vie des souris d'environ 15% chez les femelles et de 10% chez les mâles. Son mécanisme d'action est lié à l'inhibition de la protéine mTOR (mammalian Target Of Rapamycin, ou encore, cible de la rapamycine chez les mammifères). Le blocage de la voie mTOR est aussi connue pour prolonger la vie d'autres espèces : levures, mouches ou nématodes. Le médicament cause cependant de nombreux problèmes métaboliques chez les rongeurs comme une intolérance au glucose et une résistance à l'insuline. Sciences et Avenir — Les effets secondaires de l'élixir de longue vie mieux compris - Sciences et Avenir
De nos jours, des douzaines d’interventions sont possibles pour étendre la longévité de divers organismes allant de la levure aux mammifères. Ils incluent des composés chimiques comme la rapamycine, des interventions génétiques telles que des mutations associées à la perturbation de la synthèse de l'hormone de croissance et des régimes alimentaires pauvres en calories par exemple. Mais les chercheurs peinent à comprendre clairement les mécanismes systémiques moléculaires en place pour allonger la durée de vie. www.pourquoidocteur.fr — Durée de vie : des scientifiques identifient des biomarqueurs de longévité
Des chercheurs de l'Université de Columbia à New York sont parvenus à rétablir ce mécanisme cérébral "d'élagage des synapses" chez des souris modifiées génétiquement pour simuler l'autisme. Pour cela, ils ont bloqué avec de la rapamycine, anti-proliférant, l'action de la protéine mTOR qui régule chez les mammifères la prolifération cellulaire. Handicap.fr — Autisme: un excès de connexions nerveuses traitable ?
Les personnes souffrant de lupus érythémateux disséminé ont un dysfonctionnement de certains globules blancs, les lymphocytes T, en rapport avec l’activation de la voie mTOR. Le sirolimus est composé de rapamycine, substance qui inhibe la prolifération de ces lymphocytes T. www.pourquoidocteur.fr — Lupus : le sirolimus efficace dans les formes résistantes aux traitements habituels
La société a l’intention d’utiliser le capital pour faire progresser le PTX-022 (QTORIN™ gel anhydre de rapamycine à 3,9%) pour le traitement des adultes atteints de PC, une maladie génétique rare, chroniquement débilitante et qui dure toute la vie. Les dernières News — Palvella Therapeutics clôture un cycle de financement de 45 millions de dollars en série C - Les dernières News
Pour l’heure, la famille est dans une impasse. Suivie à l’hôpital Necker à Paris, Lywen a déjà subi deux tentatives de traitements. « À l’âge de 18 mois, en mars 2018, elle a subi une sclérothérapie : l’idée était d’injecter de l’alcool à 96 °C pour réduire la masse des kystes. » Après une semaine de coma artificiel, le traitement s’est révélé inefficace. En septembre dernier, l’équipe a tenté un autre traitement, à base de rapamycine. « Mais il a entraîné pas mal d’effets secondaires, et n’a pas montré de résultats probants. » Région Lorraine | Haute-Saône : l’espoir de la petite Lywen est au Canada
Pour prouver cela, le Pr Christy Carter et son équipe ont décidé de tester l’effet de ce médicament sur des rats vieux de 25 mois, soit l’équivalent d’un âge de 65 ans chez l’être humain. Ces animaux ont été choisis de manière précise afin que leur corpulence et leur prise de poids soient proches de celles des séniors obèses. Quelques semaines après le début d’un traitement à base de rapamycine, les scientifiques ont observé une perte de 13 % de la masse graisseuse chez les rats. www.pourquoidocteur.fr — Un immunosuppresseur diminuerait l'obésité chez les personnes âgées
En 2009, des chercheurs de l’université de Washington [Etats-Unis] sont parvenus à augmenter la durée de vie d'une souris grâce à une molécule découverte sur l'île de Pâques : la rapamycine. Elle inhibe l'effet d'une protéine appelée mTOR. On savait que la mise en sourdine des effets de mTOR prolongeait la vie de la levure ou des vers. Mais cela n'avait pas encore été montré sur des mammifères. Franceinfo — Traitements anti-vieillesse : la cure de Jouvence est-elle pour bientôt ?
D'abord, de nombreux tests seront nécessaires pour isoler des molécules capables d'empêcher la prolifération des copies d'ADN, sans effets secondaires sur notre espèce. La Lamivudine utilisée sur les souris pourrait sans doute être utilisée sur des humains, car elle est déjà proposée dans des traitements antirétroviraux, avec très peu d'effets secondaires. Ce n'est en revanche pas le cas de la rapamycine, testée elle-aussi par les chercheurs sur les souris : elle suspend efficacement le SASP, mais a des effets dévastateurs sur le système immunitaire des rongeurs. Sciences et Avenir — Le rôle des "gènes sauteurs" dans notre vieillissement - Sciences et Avenir
Pour ce faire, ils utilisent au cours de leur expérience de la rapamycine (un immunodépresseur) pour les besoins de l’expérience. Ils concèdent que cela introduit un biais d’analyse dans le microbiote et que pour ces raisons l’analyse n’est pas complètement fiable. Les chercheurs en concluent que certaines bactéries peuvent devenir plus abondantes que d’autres, en l’absence d’activité ACE2, que ce soit avec ou sans tryptophane dans l’alimentation de l’hôte. FranceSoir — COVID-19 : Le microbiote et Prevotella, derrière la corrélation observable, un lien de causalité avec le coronavirus?