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Citations sur le radiotraceur

Il y a 12 citations sur le radiotraceur.

• Un radiotraceur, appelé [11C] K-2, a été conçu et testé par une équipe de scientifiques dirigée par le Pr Takuya Takahashi du département de physiologie de la Yokohama City University Graduate School of Medicine. 

• Une meilleure résolution, c’est aussi moins de radioactivité pour les patients, la réduction des durées d’examens, et la possibilité d’une exploration anatomique plus large sur le patient. De plus, les examens, prescrits par les médecins traitants, sont effectués dans des délais courts (moins de 15 jours) et se révèlent peu intrusifs : « Ils ne nécessitent qu’une administration, le plus souvent intraveineuse, du radiotraceur suivie de l’acquisition d’images  », décrit le Pr Goulart : « L’examen peut durer de une à quelques minutes ».

• Par ailleurs, des négociations sont en cours avec de nouveaux partenaires pour permettre le redémarrage du développement clinique du radiotraceur EGFR muté. Concernant le contrat avec Bristol-Myers Squibb (BMS), le développement du programme issu de la plateforme Nanocyclix a été totalement internalisé par BMS et sera réévalué en septembre 2020. Enfin, le programme MNK1/2 se poursuit avec pour objectif d’atteindre le stade de pré-candidat d’ici la fin de l’année 2020.

• Du coté du pipeline, son candidat-médicament le plus avancé, un radiotraceur, est à l’arrêt. En cause, le rachat de son partenaire, Cyclopharma par Curium, en 2018, qui a souhaité arrêter ce développement. Oncodesign reste optimiste sur le potentiel de ce radiotraceur, laissé aux portes de la phase II et cherche un partenaire pour prendre le relais.

• Dans leur étude, les chercheurs ont utilisé des résultats d’examens d’imagerie cérébrale, obtenus par PET-scan (une technique très récente de scanner) avec l’injection d’un radiotraceur très spécifique. A partir de ces images, ils ont déterminé le processus de dégénérescence des neurones résultant de la maladie d’Alzheimer.

• Un nouveau radiotraceur permettrait de mieux contraster les tumeurs, particulièrement pour 5 types de cancers.

• Troisième grand acteur de l'imagerie, Siemens n'a pas encore de TEP Scan numérique mais les performances de ses machines restent très bonnes car le constructeur se distingue par la qualité d'un autre des composants du TEP Scan : les cristaux chargés de capter le rayonnement émis par le radiotraceur (la substance radioactive injectée).

• Très concrètement, ce générateur permet désormais de produire, au sein même du service de médecine nucléaire, un médicament radio-pharmaceutique composé de Gallium 68. Ce radiotraceur de nouvelle génération est ensuite injecté au patient dans le cadre de l’imagerie par Tep-Scan pour diagnostiquer certains cancers.

• Lors de l’examen TEP, le patient reçoit par perfusion un radiotraceur choisi en fonction de la pathologie concernée. Ce radiotraceur migre jusqu’aux cellules cancéreuses, s’y fixe et permet leur détection par la caméra TEP. La première caméra TEP avait fait son arrivée au CHU d’Angers en 2003, avant qu’une seconde n’arrive en 2011. Le TEP Scan Vereos, 100 % numérique inaugurée ce jeudi a la particularité d’intégrer des détecteurs de photons convertissant directement la lumière en signal numérique.

• Le radiotraceur est une révolution dans le monde de la médecine, permettant de suivre le cheminement d'une substance à travers un organe pour mieux comprendre son fonctionnement.

• L'utilisation du radiotraceur a permis des avancées significatives dans l'étude de la circulation sanguine et des fonctions hépatiques, offrant ainsi de nouvelles perspectives thérapeutiques.

• L'introduction du radiotraceur dans notre arsenal médical nous rappelle que parfois, les éléments les plus infimes peuvent fournir des informations cruciales sur le fonctionnement complexe de nos organes.