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Citations sur le prêt à - Page 7
Il y a 642 citations sur le prêt à.
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"Pour le play-boy au baryton, Paris était prêt à faire des folies. Ironie : Monk et Mulligan deviendront peu après bons amis; ils feront même un disque ensemble […]
Laurent de Wilde — Monk" -
Contentez-vous que je fasse miroiter, pour vous, cet œil droit, tout doré, prêt à tomber, et cet œil gauche, pareil à une bille d’aventurine…
Colette — La « Merveille » -
Il m'a fait l'effet d'un sadique prédisposé à la violence, d'un argousin prêt à jouer de la matraque pour un oui ou pour un non.
Glen Cook — Le Château noir -
Le bouclier antiradiation conçu pour Tchernobyl est finalement prêt à être placé sur l’ancien réacteur nucléaire endommagé. Appelé « New Safe Confinement », le bouclier permettra d’arrêter de manière « définitive » la fuite radioactive du réacteur pour le restant du siècle.
Numerama — Tchernobyl : le nouveau bouclier antiradiation du réacteur est prêt - Numerama -
« Je me suis intéressé aux rapports du fils-peintre à son père-juge, un homme assez remarquable qui enseignait à McGill, spécialiste du droit urbain, et qui au fond avait des idées probablement beaucoup plus avant-gardistes que le fils, qui ne parle que de la campagne et qui va livrer un discours antimoderniste très stupide dans les années 1940 », raconte-t-il, tout prêt à continuer une heure sur le sujet, s'il le fallait.
Prix Gérard-Morisset - François-Marc Gagnon est «borduologue» de naissance — Le Devoir.com -
J'avais parlé à Jouvet de M. Friede, agent rabatteur, de MlleMargoline, agent producteur, de M. Pérez, agent commanditaire prêt à risquer des millions pour le lancer au cinéma, (...), tous associés pour faire la publicité mondiale d'une vedette et sortir un grand film à succès international...
Blaise Cendrars — Bourlinguer -
Privée de direction, une troupe hésite. Le capitaine adjudant-major Baume prend le commandement du bataillon, reforme les unités engagées, distribue les commandements et se tient prêt à repousser une contre-attaque qui, devant l'attitude de ses hommes, n'ose pas sortir des tranchées.
Henri Bordeaux — Les Derniers jours du fort de Vaux -
Je me trouve depuis trois ans, moi et mes confrères les actionistes [il avait des actions d’une compagnie qui finit par faire banqueroute] dans le cas de la définition que le merveilleux écuyer de don Quichotte faisait d’un chevalier errant, toujours prêt à être empereur, ou roué de coups de bâton.
Jean-Baptiste Rousseau — Lettre à Boutet -
Ainsi donc va ce pays râleur, toujours prêt à défendre les causes les plus nobles ou les plus utiles, mais tout aussi prompt à sonner le tocsin quand sa liberté individuelle ou ses habitudes pourraient s’en trouver bousculées. Pour n’avoir pas hésité à le prendre à rebrousse-poil, Edouard Philippe y aura certainement gagné un surnom – « Monsieur 80 km/h » – plutôt paradoxal pour qui veut réformer la France à vive allure.
Gérard Courtois — « Le vaste peuple des automobilistes a brandi le volant comme autrefois les fourches pour une de ces étranges jacqueries qui enflamment le pays » -
Le théâtre faillit ne pas être prêt à la date fixée à cause d’un ennemi imprévu qui rongeait la nuit ce que les décorateurs installaient le jour : les souris. Peu intéressées par les tapettes à ressort, indifférentes au blé empoisonné, il fallut, pour les détruire, faire appel aux chats de Lunéville.
Jean L’Hôte — La Communale -
Mardi prochain, lorsque vous trouverez Henriette en train de coudre à vous attendre, vous lui direz avant même qu’elle vous ait demandé quoi que ce soit : “Je t’ai menti, comme tu t’en es bien doutée ; ce n’est pas pour la maison Scabelli que je suis allé à Rome cette fois-ci, et c’est en effet pour cette raison que j’ai pris le train de huit heures dix et non l’autre, le plus rapide, le plus commode, qui n’a pas de troisième classe ; c’est uniquement pour Cécile que je suis allé à Rome cette fois-ci, pour lui prouver que je l’ai choisie définitivement contre toi, pour lui annoncer que j’ai enfin réussi à lui trouver une place à Paris, pour lui demander de venir afin qu’elle soit toujours avec moi, afin qu’elle me donne cette vie extraordinaire que tu n’as pas été capable de m’apporter et que moi non plus je n’ai pas su t’offrir ; je le reconnais, je suis coupable à ton égard, c’est entendu, je suis prêt à accepter, à approuver tous tes reproches, à me charger de toutes les fautes que tu voudras si cela peut t’aider le moins du monde à te consoler, à atténuer le choc, mais il est trop tard maintenant, les jeux sont faits, je n’y puis rien changer, ce voyage a eu lieu, Cécile va venir • tu sais bien que je ne suis pas une si grande perte, ce n’est pas la peine de fondre en larmes ainsi…”Mais vous savez bien qu’elle ne pleurera nullement, qu’elle se contentera de vous regarder sans proférer une parole, qu’elle vous laissera discourir sans vous interrompre, que c’est vous, tout seul, par lassitude, qui vous arrêterez, et qu’à ce moment-là vous vous apercevrez que vous êtes dans votre chambre, qu’elle est déjà couchée, qu’elle est en train de coudre, qu’il est tard, que vous êtes fatigué de ce voyage, qu’il pleut sur la place.
Michel Butor — La Modification -
Elle avait un cœur très classique, un cœur très féminin, de fonctionnement usuel, toujours prêt à aimer n'importe qui (enfin presque n'importe qui ce genre d'homme, précisément, le genre qui plaît à la plupart). C'était un problème dans la vie, un cœur d'assise aussi instable, aussi fragile (comme on dit un cœur d'artichaut, un cœur en cristal). Un homme d'ailleurs, un jour, lui avait dit Vous êtes. tu es. trop sensible. (Est-ce qu'il la tutoyait ?).
Dominique Barbéris — L’Heure exquise -
Elle se demanda ce qu’elle allait faire maintenant, cherchant une occupation pour son esprit, une besogne pour ses mains. Elle n’avait point envie de redescendre au salon auprès de sa mère qui sommeillait ; et elle songeait à une promenade, mais la campagne semblait si triste qu’elle sentait en son cœur, rien qu’à la regarder par la fenêtre, une pesanteur de mélancolie.Alors elle s’aperçut qu’elle n’avait plus rien à faire, plus jamais rien à faire. Toute sa jeunesse au couvent avait été préoccupée de l’avenir, affairée de songeries. La continuelle agitation de ses espérances emplissait, en ce temps-là, ses heures sans qu’elle les sentît passer. Puis, à peine sortie des murs austères où ses illusions étaient écloses, son attente d’amour se trouvait tout de suite accomplie. L’homme espéré, rencontré, aimé, épousé en quelques semaines, comme on épouse en ces brusques déterminations, l’emportait dans ses bras sans la laisser réfléchir à rien.Mais voilà que la douce réalité des premiers jours allait devenir la réalité quotidienne qui fermait la porte aux espoirs indéfinis, aux charmantes inquiétudes de l’inconnu. Oui, c’était fini d’attendre.Alors plus rien à faire, aujourd’hui, ni demain ni jamais. Elle sentait tout cela vaguement à une certaine désillusion, à un affaissement de ses rêves.Elle se leva et vint coller son front aux vitres froides. Puis, après avoir regardé quelque temps le ciel où roulaient des nuages sombres, elle se décida à sortir.Étaient-ce la même campagne, la même herbe, les mêmes arbres qu’au mois de mai ? Qu’étaient donc devenues la gaieté ensoleillée des feuilles, et la poésie verte du gazon où flambaient les pissenlits, où saignaient les coquelicots, où rayonnaient les marguerites, où frétillaient, comme au bout de fils invisibles, les fantasques papillons jaunes ? Et cette griserie de l’air chargé de vie, d’arômes, d’atomes fécondants n’existait plus.Les avenues, détrempées par les continuelles averses d’automne, s’allongeaient, couvertes d’un épais tapis de feuilles mortes, sous la maigreur grelottante des peupliers presque nus. Les branches grêles tremblaient au vent, agitaient encore quelque feuillage prêt à s’égrener dans l’espace. Et sans cesse, tout le long du jour, comme une pluie incessante et triste à faire pleurer, ces dernières feuilles, toutes jaunes maintenant, pareilles à de larges sous d’or, se détachaient, tournoyaient, voltigeaient et tombaient.
Maupassant — Une vie -
La mère d’Aladdin prit la lampe où elle l’avoit mise. « La voilà, dit-elle à son fils ; mais elle est bien sale, pour peu qu’elle soit nettoyée, je crois qu’elle en vaudra quelque chose davantage. » Elle prit de l’eau et un peu de sable fin pour la nettoyer ; mais à peine eut-elle commencé à frotter cette lampe, qu’en un instant, en présence de son fils, un génie hideux et d’une grandeur gigantesque s’éleva et parut devant elle, et lui dit d’une voix tonnante :« Que veux-tu ? Me voici prêt à t’obéir, comme ton esclave, et de tous ceux qui ont la lampe à la main, moi avec les autres esclaves de la lampe ! » […]Aladdin qui avoit déjà eu une apparition à-peu-près semblable dans le caveau, sans perdre de temps ni le jugement, se saisit promptement de la lampe, et en suppléant au défaut de sa mère, il répondit pour elle d’un ton ferme. « J’ai faim, dit-il au génie, apportez-moi de quoi manger. » Le génie disparut, et un instant après il revint chargé d’un grand bassin d’argent qu’il portoit sur sa tête, avec douze plats couverts de même métal, pleins d’excellents mets arrangés dessus, avec six grands pains blancs comme neige sur les plats, deux bouteilles de vin exquis, et deux tasses d’argent à la main. Il posa le tout sur le sofa, et aussitôt il disparut.
Histoire d’Aladdin ou la Lampe merveilleuse — Traduit par Antoine Galland -
Il souriait, d’ores et déjà conquis et prêt à tout ce qu’on voudra, pourvu qu’on n’attente point à sa tranquillité.
Georges Courteline — Messieurs les ronds-de-cuir -
Il vous faisait à volonté une missive qui, transmise à un graphologue, trahissait un homme d'affaires, riche, volontaire, mais au fond un cœur d'or, généreux avec les dames, ou un timide employé de banque, sentimental, prêt à tout croire, épris de petite fleur bleue.
Louis Aragon — les Beaux Quartiers -
Et il tendit au juge un double permis en bonne et due forme qui avait été rédigé par les greffes de Boston et de Trenton, après acquittement des droits de licence. M. Proth prit les papiers, il affourcha sur son nez ses lunettes à monture d'or, il lut attentivement ces pièces, régulièrement légalisées et revêtues du timbre officiel, et dit « Ces papiers sont en règle, et je suis prêt à vous délivrer le certificat de mariage. »
Jules Vernes — La Chasse au météore -
Tu as dit deux sous de poivre ? Deux sous de rien, mon cher ami ! À part les yeux. Alors paye-toi du luxe (pour elle) avec un corps de maison déjà coquet, difficile à remuer avec les ancêtres ; son mari qui faisait la pluie et le beau temps jusqu’à la Préfecture, incluse et y comprise ; qui refusait surtout l’essentiel et à tire-larigot ; un pays cabochard, comme ci, comme ça, pas très rond, prêt à la traîner dans la boue.
Jean Giono — L’Iris de Suse -
STEPAN Ensuite ? ANNENKOV Ensuite, nous verrons. Tu dois être prêt à nous remplacer, le cas échéant, et maintenir la liaison avec le Comité Central.
Albert Camus — Les Justes -
Oyez, oyez, oyez ! Voici le brave chevalier Brian de Bois-Guilbert prêt à combattre contre tout chevalier de naissance noble qui voudra soutenir la cause de la jeune Rébecca, […]
Walter Scott — Ivanhoé -
Et toi, tu aimais ça, le commerce ? Pour ça, je crois que oui. Il était prêt à toutes les concessions. Tu vois, je le savais. Mais ça a raté. Je n’ai jamais pu l’acheter. Un restaurant, oui, à la bonne franquette. Tu vois ce que je veux dire ? Prix fixe, trois plats, pas plus, un menu, pas de carte. Le lundi, un seul plat. Une bonne choucroute. Bien garnie. Bien chaude. Tu vois ?
Marguerite Duras — Des journées entières dans les arbres -
On peut poser la question de la façon suivante : qui, ici, est prêt à se faire tuer pour que la France devienne le Clos Joli de l’Europe ? Duprat, dis-je. Par amour ou par haine? demanda Guédard. Il paraît que l’un et l’autre vont assez bien ensemble, dis-je. Qui aime bien châtie bien et cœtera.
Romain Gary — Les Cerfs-volants -
Et puis, mon cher, j’ai du flair pour ces choses-là. Gaubrey va démarrer. Alors, il ne faut pas rater le coche. C’est un placement. Moi, je suis prêt à lui prendre une dizaine de toiles, rien que pour faire monter les prix.
Boileau-Narcejac — … Et mon tout est un homme -
Elle est petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis, étranglés aux phalanges, pareils à des chapelets de courtes saucisses, avec une peau luisante et tendue, une gorge énorme qui saillait sous sa robe, elle restait cependant appétissante et courue, tant sa fraîcheur faisait plaisir à voir. Sa figure était une pomme pivoine prêt à fleurir, et là-dedans s’ouvraient, en haut, deux yeux noirs magnifiques, ombragés de grands cils épais qui mettaient une ombre dedans ; en bas, une bouche charmante, étroite, humide pour le baiser, meublée de quenottes luisantes et microscopiques.
Guy de Maupassant — Boule de suif -
Je pourrais m’arrêter à la phrase qui précède et faire comme si rien de ce qui se produit dans le monde et dans ma vie ne pouvait plus intervenir dans ce texte. Tenir celui-ci pour sorti du temps, en somme prêt à lire. Mais tant que ces pages sont encore personnelles, à portée de main comme elles le sont aujourd’hui, l’écriture est toujours ouverte. Il me paraît plus important d’ajouter ce que la réalité est venue apporter que de modifier la place d’un adjectif.
Annie Ernaux — Passion simple -
L’espace est un complice, le temps est un ennemi. L’espace peut être affronté, vaincu, apprivoisé ; le temps est toujours vainqueur, et il est sans pitié. Il écrase l’espace de ses dons inquiétants et de son ambition dévorante. Si digne, si raisonnable, toujours prêt à rendre service, l’espace est du temps dégradé.
Jean d'Ormesson — Le rapport Gabriel -
Billet d'humour de Jean d'Ormesson Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche. Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là , ... pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié : cette poule a du chien, une vraie panthère C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive. Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi ! Et vous, vous êtes fait comme un rat. Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon). Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. C'est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le dindon de la farce. Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie. Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence. Après tout, revenons à nos moutons : vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.
Jean d'Ormesson -
Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive. Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu’une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une vraie peau de vache, quoi ! Et vous, vous êtes fait comme un rat.
L'âne, le pilote et les dindons (de la farce) -
Le Regroupement des propriétaires riverains de Lac-des-Écorces est un groupe dont les membres réclament un allégement des mesures concernant les bandes riveraines dans la municipalité de Lac-des-Écorces. Son président, Alain Demers, se dit prêt à respecter une bande riveraine de 3 mètres, mais pas de 10 ou de 15 mètres.
L'info de la Lièvre — La règlementation concernant les bandes riveraines suscite le débat | L'info de la Lièvre -
Qui sait que le fait de toucher avec sa main la peau de l’autre – une caresse, donc – stimule les disques de Merkel ? Ces mécanorécepteurs situés à la base interne de l’épiderme participent à transmettre des émotions. Emotions qui, pour beaucoup, ont été mises à mal ces dernières années du fait de la mise en place des fameux gestes barrières. Interdiction formelle de s’approcher de ceux qui n’appartiendraient pas au même foyer et a fortiori de se toucher. Surtout pas les mains, malheureux ! A moins de dégainer un petit flacon de gel hydroalcoolique, prêt à l’emploi, qui habite désormais à l’année le fond de sa poche ou de son sac.
Le Monde.fr — Haut les mains -
Toujours prêt à acheter des votes, le schtroumpf taxeur est incapable de faire des choix, incapable de dire non
Contrepoints — Le schtroumpf taxeur - Contrepoints -
Être ministre, c’est rentrer très tard du bureau après une journée de rencontres et de séances de breffage sans fin avec, dans sa mallette sécurisée, une montagne de lecture à faire avant de se coucher. Il faut une certaine expérience du fonctionnement du gouvernement, de la discipline, un réel talent de gestionnaire. Savoir prioriser, communiquer, bien s’entourer, déléguer, tout en restant à l’affût pour être prêt à gérer une crise à tout instant, les journées d’un ministre suivant rarement l’agenda du matin…
Le Devoir — [Point de vue de Rodolphe Husny] Poilievre à la pêche aux candidats ministrables | Le Devoir -
– Bourgeons contre les varices 15 gouttes matin et soir en cure de 21 jours. Faites un arrêt de 7 jours. Recommencez si vous ne constatez pas d’amélioration. Prêt à l’emploi : bourgeons de marronnier d’inde, 15 ml, 11,75 €, Herbalgem (boutiques bios et pharmacies).
Pleine vie — Les 5 vertus du marronnier d'Inde -
À la fois professeur et chercheur, le maître de conférence doit tour à tour apprendre et enseigner. Fonctionnaire de l’État, il a également pour rôle de transmettre ses savoirs en publiant ses travaux de recherche. Alors, prêt à faire progresser ton domaine de connaissances ?
Futura — Devenir maître de conférence : formations, débouchés, salaire... -
Le pire survient alors que Romain a 14 ans. Un jour d’été, sa grand-mère, alors âgée de 70 ans l’entraîne dans la chambre d’ami de la maison familiale, se dénude et invite l’ado à la rejoindre dans le lit. Romain est prêt à passer à l’acte, un « accident » l’en empêche. « J’étais couvert de honte, j’ai compris que c’était quelque chose de très mal. Je me suis enfermé toute la journée à l’écart des pièces de vie. Ce jour-là, j’ai eu de graves troubles du comportement. Je ne me contrôlais plus, j’ai cru que je devenais fou. »
ladepeche.fr — VIDEO. Le récit d'horreur d'un petit-fils abusé sexuellement par sa grand-mère en Haute-Garonne - ladepeche.fr -
Evoqué à l'OL à la toute fin du Mercato d'été, João Gomes (Flamengo) s'annonce comme une bataille perdue d'avance pour les Gones. Le Real Madrid est déjà prêt à faire sauter la banque pour le nouveau Casemiro.
But! Football Club — OL - Mercato : le Real Madrid surclasse les Gones pour un crack brésilien -
Les soupçons envers Niemann sont renforcés par ses fraudes avérées par le passé. Personnage antipathique, il n’est guère apprécié dans l’univers du noble jeu. Face aux accusations, il est sorti de son silence, assurant avoir le cul propre et se disant prêt à jouer nu s’il le fallait. Lundi dernier, les deux joueurs se sont à nouveau affrontés. Au deuxième coup, Magnus Carlsen a abandonné. Sa manière de mettre au ban son adversaire, même s’il n’existe pas l’once d’une preuve ni la moindre enquête lancée par la fédération internationale. Son orgueil démesuré lui aurait-il joué des tours ? C‘est aussi une hypothèse.
Édito. Les échecs secoués par une tricherie au sextoy -
Autre fruit à savourer pendant cette saison, les jamblons. Le fruit, une petite baie, est semblable à une olive. Il est de couleur verte au début, puis devient rose et enfin noir à point juste prêt à la dégustation. Son goût sucré légèrement acidulé et astringent contient de l’anthocyanine qui bleuit la langue. Riche en vitamines A et C, il regorge de bienfaits. Les graines sont utilisées contre le diabète. Bref, un petit fruit méconnu ou même presque oublié, mais qui mérite sa place dans notre assiette.
lexpress.mu — Goyaves de Chine et jamblons: c’est de saison ! | lexpress.mu -
Tout comme dans le jeu, l’adaptation filmique d’It Takes Two, écrite par les scénaristes de Sonic le film Pat Casey et Josh Miller, suivra les aventures de May et Cody. Le couple humain, prêt à divorcer, est forcé à travailler main dans la main après avoir été changé en poupées vivantes.
Puregamemedia — It Takes Two : des nouvelles du film en développement chez Amazon -
Il dispose d’un gonfleur électrique. Celui-ci étant intégré dans le « lit » et très puissant. Ce qui vous évitera de vous épuiser à le gonfler à la force de votre pied. De ce fait, il reste donc facile à gonfler et à dégonfler. En seulement 4 minutes, il sera déjà prêt à l’emploi.
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