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Citations sur le pélobate

Il y a 15 citations sur le pélobate.

• Sauriez-vous reconnaître le chant de grenouille taureau ? Distinguer l’alyte mâle, qui porte les œufs, de la femelle ? Différencier le pélobate cultripède du pélodyte avec ses drôles de callosités nuptiales, le seps de la tarente? Donner leur nom à la chélonée et la trachémyde ?

• Triton crêté, campagnol amphibie, leste grands stigmas, pélobate cultripède, loutre d’Europe, anguille d’Europe… La liste des espèces les plus emblématiques de cet espace est longue et non exhaustive. C’est également le premier site français de reproduction de nombreux oiseaux, comme la barge à queue noire (70 % de la population française), le vanneau huppé, le chevalier gambette, l’échasse blanche, le hibou des marais. Il accueille une part importante d’au moins deux populations uniques sur le littoral atlantique français avec la gorgebleue à miroir et la cynoglosse des dunes. 

• Le pélobate cultipède aura-t-il raison du Supercross de la Tremblade ? En tout cas, la tension est à son comble entre les défenseurs de l'environnement qui souhaitent que tout soit mis en œuvre pour protéger ce crapaud et les organisateurs de cet événement qui a attiré 6.500 spectateurs (et 5.000 véhicules) en 2019.Qui l'emportera des moto-cross ou du crapaud ?

• Parmi ces populations, une espèce au statut de protection fort : le Pélobate cultripède. Vivant en période hivernale dans les dunes de la forêt domaniale du Lizay, l’espèce, au printemps, pour se reproduire, nécessite la présence des bassins d’eau douce situés de l’autre côté de la départementale 101. Une barrière de 800 mètres a été conçue par les écogardes pour parer au risque d’écrasement par les véhicules. Piégés durant la nuit dans 160 seaux disposés tous les 15 mètres, les amphibiens étaient ainsi récupérés tous les matins et, après avoir été identifiés, mesurés, etc., ils étaient ensuite relâchés de l’autre côté de la route.

• Le pélobate cultripède se fera-t-il plus remarquer qu’en 2021 ? Les écogardes de la Communauté de communes (Cdc) de l’île de Ré l’espèrent, à quelques jours du lancement d’une nouvelle opération de sauvegarde d’amphibiens. « L’an dernier, nous avons comptabilisé plus de 1 100 amphibiens sur toute la durée de l’opération, prolongée jusqu’à mi-avril, mais seulement 14 pélobates, l’espèce ciblée par cette action », annonce Simon Baudoin, écogarde.

• L’extension doit permettre d’assurer ce temps de tranquillité, à l’abri de la plupart des activités humaines, à davantage d’oiseaux (la réserve accueille déjà l’hiver environ 20 000 limicoles, 1 % de la population mondiale de barges à queue noire, 1 500 canards sauvages et des centaines d’oies centrées) mais pas seulement. 574 espèces de plantes ont été répertoriées sur place, dont « 47 peuvent être considérées comme rares et remarquables ». Le cynoglosse des dunes et l’odontite de Jaubert, par exemple. Le marais compte également « parmi les dernières zones de présence sur la façade atlantique » du pélobate cultripède, un amphibien.

• La protection de la biodiversité passe aussi par un appel à bénévolat. La Communauté de communes de l’île de Ré (Charente-Maritime) lance une mission de sauvegarde d’un amphibien du 24 février au 2 avril à Saint-Clément-des-Baleines. Il s’agit principalement de faire équipe avec les écogardes afin de récupérer les crapauds répondant au nom du pélobate cultripède (1) derrière une barrière installée le long de la route départementale 101. Celle-ci servant à protéger le batracien d’une traversée mortelle entre les zones sableuses de la forêt du Lizay (lieu d’hivernage) et des mares d’eau douce côté marais à la fin de l’hiver.

• Ils recensent notamment la présence du Pélobate cultripède, un amphibien, appelé également crapaud à couteau, classé "en danger" sur la liste rouge Provence Alpes Côte d’Azur de l’Union internationale pour la conservation de la nature, et la Cistude d’Europe, une petite tortue d’eau douce, classée "quasi menacée", qui bénéficie d’un plan de sauvegarde au niveau national.

• L’objectif visé, redonner un habitat naturel à des espèces fragilisées par la décharge, tels la huppe fasciée, le lézard ocellé, le crapaud Pélobate cultripède.

• Équipés de lampes frontales ou de lampes de poche, les participants, grands et petits, seront invités à scruter l’eau pour découvrir les hôtes de ces mares temporaires, tout en tendant l’oreille pour distinguer, parmi les mâles chanteurs, les vocalises de différentes espèces. Il est à noter que sur plus de 30 espèces d’amphibiens présentes en France, 17 vivent dans la région d’Occitanie et 8 ont été identifiées à Beaulieu : le triton marbré, le triton palmé, le crapaud commun, le crapaud calamite, le Pélodyte ponctué, le Pélobate cultripède, la reinette méridionale, et la grenouille rieuse.

• Une des espèces emblématiques de cet espace protégé est le pélobate à couteaux (Pelobates cultripes) qui occupe les zones sableuses, les prairies de sable ou le cordon dunaire. Ce petit amphibien est une espèce protégée comme tous les batraciens. Dans la région, on le trouve également dans les marais de Moëze et dans l’île de Ré. Il est parfois appelé crapaud à couteaux en référence à ses lames cornées qui évoquent des couteaux sur ses pattes arrière.

• C’est dans les étangs de la Brenne, dans l’Indre, que le pélobate brun a trouvé logis. Depuis quelques années, l’amphibien est sur la liste rouge des espèces en danger de disparition.

• Et si vous aidiez à sauver des princes et des princesses ? Parmi ceux-ci, le pélobate cultripède a acquis ses lettres de noblesse dans le royaume des… amphibiens. Ce crapaud trapu est une sorte de top-modèle dans...

• Certaines espèces sont menacées. C'est le cas du pélobate brun, l’un des amphibiens parmi les plus rares dans nos contrées. Il est protégé au niveau français et européen. Le mauvais état de conservation de ses populations s'explique par la fragmentation de son habitat. 

• « Il va ensuite falloir attendre quelque temps avant que la mare ne se remplisse. S’il pleut plusieurs jours d’affilée, cela peut aller vite », ajoute quant à lui Damien Aumaitre, animateur du plan régional d’action pour la conservation du pélobate brun. « Sans pluie, il faudra attendre que le ruissellement naturel vienne remplir la mare. Généralement, on essaye de faire ça à la sortie de l’hiver pour que l’espace soit opérationnel au printemps. »