Accueil > Citations > Citations sur le national-socialisme
Il y a 12 citations sur le national-socialisme.
Dès les années 1960, le théoricien d’extrême droite Dominique Venner théorise ainsi l’idée qu’il faut, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, « réinventer le vocabulaire politique, imposer ses mots et changer ceux des adversaires ». Il s’inscrit d’ailleurs dans la droite ligne de groupes d’extrême droite européens qui réfléchissent à la manière de « désataniser » le national-socialisme. Lucie Delaporte — Des « antifas » traités de fascistes : les perversions sémantiques de l’extrême droite se banalisent
Côté allemand ce sera Max Von Laue, le père de la diffraction des Rayons X sur des monocristaux (Nobel 1914) qui, de plus, avait été très fortement opposé au national-socialisme jusqu’à la fin de la guerre. Côté français, avec Paul Langevin on affiche la même dualité car il est à la fois un grand résistant qui décèdera peu après la libération et un grand physicien connu en particulier pour ses travaux sur le para et le diamagnétisme, des magnétismes induits que je ne peux développer ici afin de ne pas trop alourdir ce texte. Le 50e anniversaire de l’Institut Laue-Langevin (ILL) ou Plus de 80 ans de course au neutron | ECHOSCIENCES - Grenoble
"1984" est une fiction qui fait référence aux deux grands totalitarismes du 20e siècle : le national-socialisme et le communisme. Quiconque l’a lue a frissonné devant l’implacable froideur d’un Etat qui offre le "bonheur" à tous en détruisant l’individualité et l’humanité de chacun. Nous sommes en 2020, nous avons largement dépassé l’année fatidique imaginée par George Orwell mais nous montrons des qualités exceptionnelles en ce qui concerne la perte du "sens commun". L’antidote au racisme est l’éducation - La Libre
L’écologie s’est historiquement construite sur un mouvement de résistance à la modernité des Lumières et au capitalisme. Par essence réactionnaire, conservatrice et antilibérale, elle avait connu un certain épanouissement avec le national-socialisme, auprès de qui les thèmes de l’anti-cosmopolitisme, du retour à la terre, des valeurs simples et des solidarités ancestrales résonnaient parfaitement. Le Figaro.fr — Olivier Babeau - Ce que cette «vague verte» a d’inquiétant
Il dit observer la frustration des jeunes en Allemagne, «qui sentent que quelque chose ne tourne pas rond, sans pouvoir poser des mots dessus». Il leur répond sur sa chaîne YouTube (2000 abonnés, 100000 connexions) en déclinant les théories néonazies dans une version bon chic, bon genre. «Avant, le national-socialisme était une sous-culture, maintenant on devient plus mainstream, c’est plus facile de faire passer les idées quand on ne fait pas peur.» Les nouveaux visages du nazisme
Datant de 1936, le second texte apparaît comme la perception codifiée, au travers d’une description de la Genève calviniste du XVIe siècle, qu’avait Zweig du national-socialisme. Dépeint sous la plume de celui-ci comme un « apôtre de la non-violence » et un « héros moral », le théologien protestant Sébastien Castellion incarnerait en effet la lutte « de la conscience contre la violence », face à la figure tutélaire de Jean Calvin. La Croix — Zweig et les Réformateurs « de l’ombre »
Résumé : « Considérée comme la première loi antiraciste française, la « loi Marchandeau » vise alors tout particulièrement la propagande antijuive. Abrogée sous l’Occupation, elle est rétablie au lendemain de la guerre, avec le reste de la législation républicaine. On croyait l’antisémitisme et le racisme disparus dans les décombres du national-socialisme et du vichysme : ils se révèlent actifs et pugnaces dans le contexte politique de l’épuration, de la guerre froide et de la décolonisation. Licra - Antiraciste depuis 1927 — « Le racisme dans le prétoire » par l’historien Emmanuel Debono. | Licra - Antiraciste depuis 1927
Le socialisme en chemise brune de Benoît Malbranque est un essai sur les dimensions socialistes du national-socialisme hitlérien, ses fondements idéologiques, sa politique économique, ainsi que les mesures sociales instaurées sous le Troisième Reich. Interview de l’auteur. Contrepoints — Le socialisme en chemise brune - Contrepoints
Plus tard, cependant, un changement radical s’est produit. Soudain, les libéraux étaient beaucoup plus enclins à dire : « Le national-socialisme était socialiste. Si vous luttez contre le socialisme pour créer un marché aussi libre que possible de toute interférence politique, vous êtes un bon antifasciste. » C’était la phase beaucoup plus durable, anti-« populiste », de l’engagement libéral avec le passé. CONTRETEMPS — Les nazis n'étaient pas socialistes : ils étaient hypercapitalistes - CONTRETEMPS
La banalisation du national-socialisme est indissociable du retour du militarisme allemand. L’IYSSE (Mouvement international des jeunes et des étudiants pour l’égalité sociale) prévenait déjà en 2014: «La renaissance du militarisme allemand nécessite une nouvelle interprétation de l’histoire qui banalise les crimes de l’ère nazie.» À l’époque, l’IYSSE, l’organisation de jeunesse du Parti de l’égalité socialiste (SGP), protesta contre l’historien Jörg Baberowski, qui avait défendu l’apologiste nazi Ernst Nolte dans Der Spiegel et déclaré qu’Hitler n’était «pas cruel». World Socialist Web Site — Le 8 mai et la réhabilitation du nazisme en Allemagne - World Socialist Web Site
En réalité, ce que le national-socialisme ne pouvait pardonner à la Maçonnerie, ce qui exigeait impérieusement qu’elle fût anéantie, c’est qu’elle est foncièrement antiraciste. C’est même trop peu dire : pour parler juste, il faudrait proclamer que, pour un Maçon, le racisme est une notion totalement incompréhensible et qu’il est aussi impossible à la Maçonnerie de vivre dans le racisme qu’à un poisson de vivre hors de l’eau. Il y a là une opposition, une antinomie fondamentale, nous dirions presque : organique. Licra - Antiraciste depuis 1927 — 1 jour, 1 texte. Numéro 78 / Michel Dumesnil de Gramont, « Racisme et maçonnerie », Le Droit de Vivre, janvier 1947 | Licra - Antiraciste depuis 1927
La présidente de la Confédération Viola Amherd a commémoré samedi, à l'occasion de la Journée de la mémoire de l'Holocauste, «les victimes du national-socialisme et de sa politique d'extermination». Une veillée a eu lieu à Zurich. blue News — Viola Amherd a commémoré «les victimes du national-socialisme» | blue News