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Citations sur la mytiliculture

Il y a 33 citations sur la mytiliculture.

• Sortie nature avec la Maison de la Baie la mytiliculture : élevage de moules 2020-07-07 – 2020-07-07 Site de l’Etoile Maison de la Baie Hillion Côtes d’Armor Hillion

•   Mer et Nature vous invite à découvrir notre littoral : visite guidée des bouchots avec Brigitte Métayer qui vous entraîne à marée basse à la découverte de la mytiliculture. Brigitte vous fera découvrir les activités « coquillages » de notre région : pêche à pied, élevage d’huîtres, de moules, de palourdes… lors de ses visites à pied organisées à marée basse sur l’Estran. Bottes indispensables – Jumelles conseillées

• Dans la ville de Cherrueix (35) vous attend l’accueil du Train Marin, première étape avant un trajet de deux heures au cœur de la Baie du Mont-Saint-Michel. Un guide accompagne les passagers pour une visite commentée jusqu’à cinq km du rivage. Il leur présente la pêche à la crevette au « dranet », la relève d’une pêcherie traditionnelle à marée descendante et la mytiliculture sur bouchots, de l’élevage à la cuisine. Attention, la visite ne peut se faire qu’à marée descendante, elle est donc soumise à réservation.

• Pirou : Découverte de la mytiliculture. Après des explications sur la biologie de la moule et la découverte des bouchots, une mytilicultrice fera visiter ses ateliers, suivie d’une dégustation. Participation de 5 €/adulte, gratuit pour les moins de 16 ans. Prévoir bottes ou chaussures ne craignant pas l’eau. Inscription obligatoire. Tarifs : 5 €, -16 ans : gratuit. Réservation : 02 33 45 14 34.

• Considéré comme un petit musée qui retrace l’histoire locale de la mytiliculture, l’endroit ne rouvrira cependant pas le 11 mai. Francine Beaumelle, la présidente de l’association Esnandis, qui assure la gestion de la Maison de la Baie, doit avant tout faire face selon elle à un certain nombre d’inconnues.

• Situé au Grau de Vendres, à l’embouchure de l’Aude, le port du Chichoulet (labellisé, au passage, Port propre et Pavillon bleu) est "the place to be" pour qui veut déguster coquillages et crustacés tout juste sortis de la mer. Avec la mytiliculture (élevage de moules en pleine mer), la conchyliculture est en pleine expansion. Les huîtres peuvent être savourées sur place accompagnées d’un vin du cru : Vendres est située dans la plaine viticole du Bitterois.

• 7 juillet – 18 août, les mardis  02 23 10 03 00, [email protected], http://www.penestin.com, https://www.labaule-guerande.com/visite-guidee-du-phare-maison-de-la-mytiliculture-penestin-visiteguideepharemaison2020.html

• Coup dur pour le secteur de la mytiliculture : les moules de Charente-Maritime ont été provisoirement interdites de pêche et de vente, en raison de la présence de toxines, a-t-on appris vendredi 22 mai auprès de la préfecture. Ces toxines sont liées à une micro-algue saisonnière, et peuvent entraîner des troubles gastriques.

• L'agence nationale pour le développement de l'aquaculture (ANDA) a convié les médias à un "Roadshow Méditerranée", du 1er au 3 octobre. Première étape, Ras El Ma, près de Nador, où la ferme aquacole de la coopérative Al Amal s'est spécialisée dans la mytiliculture, soit l’élevage des moules.

• Situé au Grau de Vendres, à l’embouchure de l’Aude, le port du Chichoulet (labellisé Port propre et Pavillon bleu) est "the place to be" pour qui veut déguster coquillages et crustacés tout juste sortis de la mer. Avec la mytiliculture (élevage de moules en pleine mer), la conchyliculture y est en pleine expansion. Les huîtres peuvent être savourées sur place accompagnées d’un vin du cru : Vendres est située dans la plaine viticole du Biterrois.

• D'un point de vue technique, la mytiliculture a besoin de cordes, de filets et de points d’ancrages en béton au fond pour consolider l’installation en mer. Une fois les essaims posés sur les filières, il faut 7 à 8 mois de croissance aux moules pour atteindre les 7-8 cm, soit une taille commercialisable.

• Le sort des deux professions reste également lié à la date de réouverture non encore annoncée des restaurants. Principalement en Charente-Maritime où le tourisme est le premier vecteur de l’économie. « Le COVID-19 n’a que très peu impacté la mytiliculture. Tous les ans de janvier à avril, nous ne faisons que très peu de chiffres. Par contre à partir de mai, les ¾ de nos entreprises vivent de la saison estivale et de nos produits qui sont servis dans les restaurants. S’ils ne rouvrent pas très rapidement, là oui nous serons alors très impactés », conclu Benoit Durivaud.

• Bernard Hinault, de son côté, s'est reconverti dans la mytiliculture. Les gens s'arretent volontiers à la vue du panneau " Ici les moules Hinault ".

• Depuis la création du phare-exposition en 1995, la Maison de la mytiliculture accueille chaque année plus de 2 000 visiteurs qui viennent découvrir l’une des richesses patrimoniales de Pénestin : la mytiliculture.

• Au départ de la plage de Lermot à Hillion (Côtes-d'Armor), la balade dure près de deux heures. Que mangent les moules ? Comment se reproduisent-elles ? Où s’en va la mer lors des marées ? Bruno a réponse à toutes les questions. Le spécialiste conte aux visiteurs l’histoire de ce métier : « Éleveur de moules n’a pas toujours existé. Il a fallu attendre le XIIIe siècle pour que, par hasard, un navigateur irlandais, Patrick Walton, invente la mytiliculture sur bouchots ».

• La préfecture a levé l'interdiction pour les professionnels de la pêche à pied et de la mytiliculture.

• Jeudi 30 août 2018, Jean-François Delaunay, natif du Vivier-sur-Mer et professeur d’histoire-géographie au Rheu (35) propose un ouvrage dédié à l’histoire de la mytiliculture en Baie du Mont-Saint-Michel, de 1953 à nos jours.

• Une enquête que les professionnels de la mytiliculture, les défenseurs de l’environnement, les élus et les professionnels du tourisme aimeraient bien réussir à élucider…

• Le début de la saison des moules de filières, à quelques semaines de l’arrivée des moules de bouchots, est prometteur pour les 150 exploitations de la Charente-Maritime, dont 55 à Charron, « le cœur de la mytiliculture ». Le point avec Benoît Durivaud, vice-président du Comité régional conchylicole.

• La conchyliculture, essentiellement la mytiliculture, fait son petit bonhomme de chemin à Jijel où trois projets sont en cours de finalisation, dont un devrait commencer à écouler sa production localement d’ici cet été. Celle-ci est commercialisable au bout d’un cycle de 17 mois après l’installation du naissain.