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Citations sur le morveux

Il y a 13 citations sur le morveux.

• Mieux vaut laisser son enfant morveux que de lui arracher le nez.

• En mai, si tu te maries, Par le soleil ou la pluie, Ami, crois-moi si tu veux T’auras des enfants morveux.

• Quand Paris se sent morveux, c'est la France tout entière qui se mouche.

• Qui se sent morveux qu'il se mouche est un proverbe correct et régulier, car il n'y a aucune raison pour que j'aille moucher le nez d'un type que je ne connais pas, que je n'ai jamais vu et dont je n'ai strictement rien à foutre.

• Qui se sent morveux se mouche.

• Il a raison, c’est un morveux ...!

• Je lui dois beaucoup. Je l’ai rencontrée pour la première fois chez Vogue en 1952. J’étais en train de montrer mes photos de clochards et de morveux au directeur quand il est apparu. Il semblait beaucoup aimer mon travail. Quelques jours plus tard, son agence Rapho me demandait de passer. Ça deviendra aussi la mienne.

• « Morveuse » est un titre fort et intime, dévoilant une artiste à la riche palette, qui saura vous toucher. La morveuse m’a en tous cas mouchée !

• Puis, il y a la morveuse de Ste-Catherine. Cette résidente d’un immeuble à logements de la Rive-Sud a, devant les caméras de surveillance, en pleine nuit, répandu avec ses mains ses sécrétions nasales sur les rampes d’escaliers.

• «J’aimerais prendre le tousseur et la morveuse et les croiser! Quel genre d’enfant ça ferait?» se demande Richard Martineau. 

• La «morveuse» de la municipalité de Sainte-Catherine a étendu, dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, son liquide visqueux sur la rampe d’escalier de l’immeuble à logements.    

• La «morveuse» de la municipalité de Sainte-Catherine en Montérégie a été arrêtée hier soir par des agents de la Régie intermunicipale de police Roussillon, a confirmé à TVA Nouvelles, François Michaud, porte-parole du corps policier.       

• Rosen nous fait découvrir dans ses pages une morveuse piteuse et antipathique au mal-être communicatif tant le personnage principal est esquissé avec brio. Julia nous enferme et nous étouffe à ses côtés dans sa propre psychose, aussi colorée que nauséabonde. Comment la lecture de ce bijou littéraire sombre pourrait alors nous laisser de marbre ?