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Il y a 36 citations sur la mégafaune.
Baleines, poissons, oiseaux, mammifères terrestres sont en effet des transporteurs de nitrate, de phosphate et de carbone qu'ils déposent sur la Terre tout au long de leur vie avec leurs excréments, et à leur mort par la décomposition de leur organisme. Avec la réduction du nombre d'animaux, en majorité due à l'action de l'homme, cette redistribution ne serait plus que 8 % de ce qu'elle a été à l'époque de la mégafaune. Sciences et Avenir — Moins d'animaux géants nuit à la fertilité des sols - Sciences et Avenir
Les réchauffements rapides et brefs survenus à la fin du Pléistocène au sein de longues phases glaciaires auraient considérablement affaibli les espèces de la mégafaune, dont les mammouths. C'est la thèse de chercheurs australiens qui ont pu dater, par la génétique, les périodes de déclin de ces grands animaux et les ont corrélées avec les variations du climat. Pour eux, les humains ne sont donc pas les seuls responsables de ces disparitions et un réchauffement climatique serait plus dangereux qu'un refroidissement... Futura — Un réchauffement climatique aurait tué les mammouths
La plus vieille trace de présence «humaine» dans le rift africain remonte à 5,9 millions d'années. Il s'agit d'Orrorine, représentant d'une des premières espèces d'hominine (un groupe qui rassemble les ancêtres des hommes et leurs proches parents depuis la séparation du chimpanzé). Pendant au moins 1 million d'années, ces premiers hominines semblent cohabiter pacifiquement avec cette mégafaune. L'équipe de Tyler Faith montre néanmoins que le nombre d'espèces commence à péricliter sans que la moindre révolution technologique ne survienne chez les hominines. Les premiers outils nécessaires à la découpe de la viande n'ont pas plus de 3,4 millions d'années. En revanche, à cette même période, le rift africain connaît une transformation profonde de sa végétation, probablement liée à une baisse globale du taux de CO2 dans l'atmosphère, selon les auteurs. Le Figaro.fr — L'homme n'est pas responsable de la disparition des premiers grands mammifères
Les scientifiques ont expliqué l'extinction de la mégafaune en Amérique de Sud qui a eu lieu il y a de cela 14.000 à 15.000 ans. Le mystère de l'extinction des tigres à dents de sabre dévoilé - Sputnik France
Des scientifiques du monde entier se mobilisent alors que près de 60 % de la mégafaune est menacée d'extinction. Le Figaro.fr — Il faut sauver les grands mammifères
Les paresseux géants ne sont pas les seuls à avoir disparu du Belize il y a 11.000 ans. A cette époque, c'est toute une mégafaune qui a disparu du continent. Pourquoi ? Le scénario reste flou mais cette étude, en mettant en lumière la grande adaptabilité des paresseux, apporte de nouveaux éléments pour éclairer le mystère. Geo.fr — Un gouffre du Belize révèle les ossements d'un paresseux géant vieux de 27.000 ans - Geo.fr
Des mammouths aux lions des cavernes, en passant par les tigres à dents de sabre et les rhinocéros laineux, les causes de la disparition de la mégafaune préhistorique européenne font débat au sein de la communauté paléontologique. En cause : la part exacte de la responsabilité de l'Homme, loin de faire l'unanimité. ladepeche.fr — L'Homme moderne est bel et bien à l'origine de la disparition des ours des cavernes - ladepeche.fr
Et cette mégafaune australienne était unique en son genre. On pouvait trouver des kangourous de 450 kg, des Wombats (un genre de marsupial) de 2 tonnes, des lézards de près de 7 mètres, des lions marsupiaux de 130 kg et des tortues de la taille d’une Volkswagen. Plus de 85 % des mammifères, d’oiseaux de reptiles pesant plus de 50 kg ont disparu rapidement après l’arrivée des premiers humains selon Miller. Actualité Houssenia Writing — Les humains responsables de l'extinction de la mégafaune en Australie - Actualité Houssenia Writing
Des champignons coprophiles ont permis de dater la disparition de la mégafaune du Nouveau Monde il y a 13 500 ans. Le Monde.fr — L'agonie du mammouth américain révélée par ses excréments
Un chercheur allemand a réalisé une étude sur l'histoire de la pomme et son évolution. Il montre que les pommiers se sont répandus d'abord grâce à la mégafaune qui les consomme, ensuite par les échanges commerciaux le long de la route de la soie. Futura — Comment la pomme a réussi à conquérir le monde
Les chercheurs rapportent la découverte d’une extinction inconnue de la mégafaune qui s’est produite dans les océans avec des conséquences sur la diversité. Actualité Houssenia Writing — Découverte d'une extinction inconnue de la mégafaune dans les océans - Actualité Houssenia Writing
Homo Sapiens a tout d’une espèce invasive, libérée des pressions environnementales et bénéficiant d’une véritable aubaine, une mégafaune qui n’a pas très bien compris le défi lancé par le singe nu. Si, en Eurasie, dans laquelle il se répand il y a 40 000 ans, le processus est encore lent, il est fulgurant en Amérique, où il arrive il y a seulement 12 000 ans. Là, en moins de 1000 ans, il élimine toute la mégafaune. Bientôt éteints ? - La Vie des idées
Selon une étude, 59 % de la mégafaune (vertébré excédant 45 kg) serait en voie d'extinction à cause des activités humaines destructrices/©Pixabay L’Homme, cause de mortalité majeure pour les animaux… encore et toujours ! - Fondation 30 Millions d'Amis
C’est la preuve que les homininés étaient présents aux Philippines et y chassaient la mégafaune locale, conclut l’équipe de chercheurs. «Notre découverte est donc majeure en cela qu’elle témoigne d’une dispersion des homininés par-delà les bras de mer à des périodes reculées et qu’elle multiplie par dix la date de colonisation de Philippines. Un tel bond en arrière n’est pas fréquent en archéologie, il faut le noter», se félicite auprès de Libération le préhistorien Thomas Ingicco, l’un des auteurs de l’étude, et maître de conférences du MNHN. Libération.fr — Philippines : un mystérieux ancêtre mangeait du rhinocéros il y a plus de 700 000 ans - Libération
Les conséquences de la disparition de la mégafaune herbivore sur la végétation semblent, en revanche, désormais bien documentées. Une étude récente a montré que les pollens et les spores déposés au fond des sédiments d'un lac nord-américain ont changé du tout au tout au cours de cette période (Science, 19 novembre 2009). Cette semaine, une nouvelle pièce est apportée à ce dossier aux multiples ramifications. Une équipe de chercheurs américains avance, en effet, l'hypothèse que l'extinction de tous ces gros animaux a contribué à refroidir le climat planétaire (Nature Geoscience, 25 mai 2010). Le Figaro.fr — La disparition des mammouths a refroidi les températures
Une classification par taille des organismes permet de mieux appréhender le fonctionnement de cet écosystème foisonnant. Pour faire simple, on distingue les micro-organismes, algues et champignons des différentes familles d’animaux à la taille inversement proportionnelle à celle de leur population : la micro-, méso-, macro- et mégafaune. Pourquoi chez Bonduelle nous voulons protéger la biodiversité des sols ?