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Citations sur la Massicois

Il y a 18 citations sur la Massicois.

• Une semaine après avoir étrillé Dijon (49-10), les Massicois retrouvaient leur terrain du stade Jules-Ladoumègue, en cette fin d’après-midi, pour y accueillir un autre mal classé Aubenas/Vals (10e). Deux équipes dont les staffs respectifs ont décidé de largement faire tourner. Si les Essonniens ont opéré onze changements par rapport à la semaine précédente, les Ardéchois ont fait encore plus fort en ne conservant que deux titulaires (Andreu, Fulachier) de la défaite contre Valence/Romans (3-20) !

• Massicois depuis seulement un an et demi, Iliann vivait avant à La Réunion. En deuxième année de licence de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) à l’université Paris-Saclay, le jeune homme baigne dans le sport depuis tout petit.

• L’entame le démontre, les Massicois ne sont pas venus en tongs. Ils dynamisent de partout. Pour autant, sur leur route, ils croisent des Stadsites pour le moins mordants et agressifs. Rien ne passe, le rideau défensif local est impeccable de discipline et formidable d’efficacité.

• D’année en année, la présence des jeunes du RC Massy-Essonne dans les différentes équipes de France ne cesse d’augmenter. En 2015, ils étaient treize, répartis entre les moins de 16 ans et les moins de 20 ans. Un record. Si celui-ci sera « difficile à battre cette année », selon Morgan Champagne, le directeur sportif du RCME, cinq Massicois ont déjà été appelés dans les sélections nationales jeunes. Samedi dernier à Strasbourg, Pierre-Henry Azagoh, Cameron Woki et Julien Delbouis ont disputé un match avec les moins de 18 ans contre l’Italie (13-13).

• Parmi les cinq cents grimpeurs engagés, figurent quatre Massicois avec de réelles chances de podium. Alban Levier et Mélissa Le Névé, tous champions de France de bloc, ont bien débuté la compétition (1er et 5e des qualifications jeudi). Ils tenteront de décrocher une médaille ce week-end

• Désormais cinquièmes de Nationale, les Massicois vont observer un week-end de repos avant de reprendre les choses sérieuses le 28 mars à Cognac, le premier rendez-vous d’un nouveau bloc de cinq matchs au cours duquel ils recevront Suresnes (le 3 avril) et Blagnac (le 25) et se déplaceront à Bourgoin (le 11) et Narbonne (le 18).

• La large victoire des joueurs du RC Massy-Essonne la semaine passée contre Aubenas (42-10) n’a pas été confirmée dimanche après-midi contre le Stade Niçois. Battus 22-16 au stade Jules-Ladoumègue, ce qui ne leur était plus arrivé depuis le 12 avril 2019 contre Mont-de-Marsan (24-28 lors de la 28e journée de Pro D2), les Massicois ont concédé leur troisième défaite en quatre matchs. « On n’est pas au point, commente Morgan Champagne, le directeur du rugby. Au vu de ce que l’on produit sur le terrain, on est à notre place (ndlr : 11e du classement après quatre journées de Nationale). »

• Il y avait une classe d’écart samedi 27 mars, au Parc des sports, entre Cognac Saint-Jean-d’Angély et Massy (9-28). Fabrice Landreau, le manager du club des deux Charentes, l’admettait volontiers : « Cela a été un match à sens unique, il n’y avait qu’une équipe sur le terrain. » En pleine confiance - ils restaient sur une série de 3 victoires consécutives - les Massicois n’ont fait qu’une bouchée d’Unionistes bien trop tendres pour rivaliser.

• Et comme dans l'Aude à l'époque, les Massicois ont même décroché le bonus offensif grâce à un quatrième essai signé Ropiha à la sirène finale face à des Aixois réduits à 14 après un carton rouge. Une issue logique pour les hommes de Didier Faugeron qui ont fait la course en tête au tableau d'affichage presque de bout en bout.

• 3′ : Les Massicois font tourner le ballon et la défense mauve, Reault obtient le ballon sur son aile gauche et marque son premier tir du match (2-1).

• Il faut dire que le jeune Massicois a une histoire particulière avec cette viennoiserie. "Quand nous étions petits dans ma banlieue", raconte-t-il, _"il y avait des "anciens", des "grands-frères" comme on les appelait, qui nous emmenaient à Paris pour manger une crêpe rue Mouffetard, une viennoiserie à Montmartre_. Il nous ont fait découvrir tout cet art de vivre parisien. Je veux rendre hommage à ces moments."

• Pour autant, les Massicois ont joué le jeu sur le terrain de Montauban. Malgré les absences de plusieurs cadres, laissés au repos pour soigner des petits bobos (Delhommel, Ancely, Desassis, Prier, Etien, Girard), ils ont longtemps tenu la dragée haute au candidat au Top 4.

• Tandis que les Massicois se dirigent dépités vers le tunnel du vestiaire, les joueurs de Nevers, leaders du championnat, chantent et posent pour une photo souvenir sur la pelouse labourée.

• Johann Caron expulsé Le premier quart d’heure fut très compliqué pour les Massicois. Pierre Halimi est exclu deux minutes dès les premières secondes du match puis le capitaine, Johann Caron, écope d’un carton rouge (13e) pour un coup litigieux au visage d’un adversaire. Cueilli à froid (0-3, 5e), Massy enclenchera la deuxième (5-3, 10e) pour se mettre à l’abri à la pause (13-10). Et même si les Essonniens vont faire le trou dans le deuxième acte (17-12, 37e), Sarrebourg va s’accrocher et faire douter les Lions (21-22, 55e). Mais une bête blessée est redoutable. Massy l’a encore prouvé ce soir.

• Exceptionnel, incroyable, énorme ! Il n’y a pas assez d’adjectifs pour qualifier la performance réalisée par la bande à Benjamin Braux vendredi contre Chartres. Battus quatre jours plus tôt dans l’Eure-et-Loir (26-28), les Massicois ont réussi à combler leur retard dans les dernières secondes de la rencontre (26-24) pour s’offrir un ticket pour l’élite du handball français à la faveur du nombre de buts inscrits à l’extérieur.

• La faute à une deuxième acte de folie des Bretons, auteurs d'un essai de 80 métres par Bouthier et trois drops de Claverie. Le baroud d'honneur des Massicois dans les arrêts de jeu n'y changera rien. A cinq minutes de la fin, le public du stade de la Rabine, l'ancien antre des footballeurs locaux, avait déjà commencé à entonner des «On est en D 2! On est en D 2!» avant d'envahir le terrain au coup de sifflet final. C'est la première fois de l'ère moderne qu'un club de l'Ouest accède au professionnalisme.

• Debout, les 3000 spectateurs du stade Chanzy d’Angoulême acclament longuement leurs protégés. Ces derniers viennent de battre Massy dans le choc au sommet de la poule 1 de Fédérale 1 (32-13). Et de quelle manière. Auteurs de quatre essais contre un seul aux Massicois, les joueurs du SA XV rugby ont largement dominé les débats ce dimanche. « On a péché dans tous les secteurs du jeu : ballons portés, mêlées, touches. Ils étaient plus forts que nous. Il faut savoir l’admettre », analyse Didier Faugeron, dont l’équipe aura mené une petite demi-heure grâce à deux pénalités d’Orquera (6-3, 24e) avant le tournant du match.

• Comme à Bourg-en-Bresse (15-25), les Massicois sont revenus bredouilles de Tarbes samedi dernier (6-16). Une grosse déception au vu de leur objectif initial. « On espérait revenir avec la victoire. On repart avec zéro point, c’est dommage », a commenté le capitaine Christophe Desassis. Un match que les Essonniens ont maîtrisé durant la première période (6-6) grâce à une défense solide. Mais les nombreuses fautes en mêlée ont compliqué la tâche du RCME après la pause.