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Il y a 24 citations sur le kremlinologiste.
Dernier scénario en date envisagé parmi les kremlinologues avant cette conférence de presse : « Vladimir Poutine, qui est vraiment fatigué du pouvoir, démissionnerait deux ans avant la fin de son mandat, donc en 2022 », a récemment confié aux « Echos » une source proche du Kremlin. « A l'international, cela permet de montrer qu'il n'est pas un dictateur et de faire taire les commentaires occidentaux sur son autoritarisme. A l'intérieur, cela permet de préparer en douceur sa succession. » Un ballon d'essai parmi tant d'autres… Les Echos — Poutine esquisse un possible départ du Kremlin en 2024 | Les Echos
Si la question reste publiquement taboue au Kremlin, la succession nourrit bel et bien les discussions dans les coulisses parmi les kremlinologues. « Après Poutine ? Poutine ! C'est une certitude », tranche une source haut placée, un ancien de l'administration présidentielle resté proche du pouvoir et de ses calculs politiques. « Il ne fait confiance à personne. Seulement à ce qu'on appelle dans notre jargon une 'construction'. » C'est-à-dire un mécanisme aux rouages bien huilés et vérifiés. Les Echos — Comment Poutine cherche déjà à succéder à… Poutine | Les Echos
Pour les kremlinologues de l’Elysée, c’était une certitude : nommée porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye ne tiendrait pas quinze jours avant de commettre un impair et de placer l’exécutif dans l’embarras. Trop directe, trop cassante, trop disruptive, l’ancienne conseillère presse et communication d’Emmanuel Macron n’était pas faite pour le « job », disaient les habitués de l’hôtel d’Evreux. Le Monde.fr — Sibeth Ndiaye, la mue d’une soldate du macronisme
La décision du Tsar Poutine de rompre l’architecture du Tandem sous sa forme actuelle aura été une surprise pour tous les experts de la Russie et autres kremlinologues avertis ; on imagine ce qu’il en sera pour la succession, qui selon tout vraisemblance, est déjà organisée. RUSSIE - IVème mandat de #Poutine : "2018-2024 - Digitalisation, Russification, Démographie et Projets Nationaux" par Alexandre LATSA
Deux semaines après l'élection triomphale de Vladimir Poutine, la question qui agite les kremlinologues est le nom de son futur premier ministre, fonction pour laquelle l'actuel chef du gouvernement, Dmitri Medvedev, part favori. Et, à en croire le microcosme politique russe, cette guerre de succession aurait déjà fait sa première victime en la personne d'un riche oligarque, Ziavoudine Magomedov, arrêté le week-end dernier avec son frère Magomed, tous les deux étant soupçonnés d'avoir détourné près de 35 millions de dollars. Le Figaro.fr — Russie : l'arrestation de l'oligarque Magomedov fragilise Dmitri Medvedev
Peu de hauts fonctionnaires russes sont aussi caméléons et discrets que Sergueï Kirienko. Mais derrière ses costumes gris, ses fines lunettes et son visage d'élève appliqué, le chef adjoint de l'administration présidentielle, 56 ans, est l'homme qui monte dans la galaxie de l'élite russe, à tel point que les «kremlinologues» lui prédisent un poste au firmament, après que Vladimir Poutine sera, en 2024, dans l'incapacité constitutionnelle de briguer un cinquième mandat présidentiel. C'est lui, notamment, qui a supervisé mercredi les menus détails de l'intervention télévisée de son chef, destinée à vendre la réforme des retraites. Le Figaro.fr — Sergueï Kirienko, l'homme qui monte dans l'ombre de Vladimir Poutine
Les kremlinologues étaient en émoi après la publication, mercredi matin, d'une vidéo montrant Vladimir Poutine, lors d'une réunion à Elista (sud du pays) menacer de licencier les ministres de Dmitri Medvedev. La rencontre devait être confidentielle, mais l'extrait polémique a fuité sur un site d'information Internet, Life News, réputé proche des services de sécurité russes. Le Figaro.fr — Une vidéo de Poutine déstabilise Medvedev
Depuis un mois, les kremlinologues se délectent des confidences de Tatiana Borisovna Diatchenko. Rompant avec un silence de près de dix ans, la fille de Boris Eltsine a commencé le 3 décembre la rédaction d'un blog très personnel, qui excite le Tout-Moscou. Le Figaro.fr — Le blog très controversé de la fille d'Eltsine
Il ne faut pas exagérer l'effet rénovateur du geste de Benoît XVI : de fait, le choix de son successeur est entre des conservateurs purs et durs et des partisans de micro-changements. Il n'y a pas de cardinal en campagne pour le mariage des prêtres ! Or il y a bien une campagne, mais la plus antidémocratique qui soit : elle se joue sur des luttes d'influence et des jeux de réseaux dont on ignore tout. Les vaticanologues décryptent après coup (comme jadis les kremlinologues à Moscou) ce qui a dû se passer, mais on n'en sait jamais rien. Quant aux réformes, la vérité, c'est qu'après Benoît XVI, le prochain Saint-Père ne pourra pas faire pire... Le Point — Le Vatican, c'est la monarchie la plus archaïque du monde ! - Le Point
Aussitôt le mot lâché, les kremlinologues ont ressorti leurs boules de cristal. En fait de démocratie, ironise l'éditorialiste du site polit.ru Mikhaïl Zakharov, «les Russes font confiance au tandem pour organiser des élections sans alternative: soit Poutine, soit Medvedev». En l'occurrence, «plutôt Medvedev». Le Figaro.fr — Dmitri Medvedev pense tout haut à sa réélection
Entre-temps, la victoire de Ronald Reagan à la présidentielle de 1980 a ramené aux avant-postes Richard Pipes, qui devient conseiller spécial pour l’URSS du républicain. Il combat avec virulence la conviction, alors en vogue chez les kremlinologues américains, de la pérennité du soviétisme. Lui estime au contraire que le système est à bout de souffle et qu’il sera incapable de soutenir une nouvelle course aux armements. Son analyse l’emporte à la Maison Blanche, mais son peu d’aptitude pour les jeux d’influence le ramène rapidement à Harvard – université où il enseignera de 1958 jusqu’à sa retraite, en 1996 – dès 1982. Le Monde.fr — Mort de Richard Pipes, historien fossoyeur du soviétisme
À Varsovie, l'annonce de cette rencontre a plongé les kremlinologues dans un abîme de perplexité. Ancien chef de la diplomatie, Adam Rotfeld, qui est aussi l'un des artisans de ce sommet en tant que coprésident de la «commission polono-russe pour les dossiers difficiles», reconnaît que la présence du premier ministre russe «est aussi surprenante que paradoxale». Car en accédant au pouvoir, rappelle l'historien Zbigniew Gluza, «Poutine s'était empressé de réhabiliter l'Union soviétique et le culte de Staline». Le Figaro.fr — À Katyn, Vladimir Poutine bouscule le culte de Staline
Acquise aux lois du libéralisme occidental, la communauté financière moscovite se réjouit de voir disparaître ce canard boiteux, signe selon eux que le secteur bancaire russe s'assainit. Mais les kremlinologues s'interrogent: comment, dans ce pays où business et politique sont intrinsèquement liés, Sergueï Pougatchev, autrefois surnommé «le banquier de Poutine», a pu faire faire faillite, sans que l'État, à l'exception de la Banque centrale, ne vienne à sa rescousse ? Mejprombank a conduit «une politique managériale risquée», a commenté le chef du gouvernement. C'est la première fois, affirment plusieurs experts, que Poutine lâche ainsi un oligarque. Sans doute la réputation de Sergueï Viktorovitch, 46 ans, était-elle usurpée. Le Figaro.fr — Grandeur et décadence de Sergueï Pougatchev
On prête d’ailleurs à Sergueï Sobianine des ambitions nationales : pour les kremlinologues, le maire de Moscou fait partie des candidats naturels à la succession de Vladimir Poutine. Sergueï Sobianine : de Tioumen à Moscou | Russie Information
Percer le mystère Merkel, comprendre et expliquer les ressorts profonds de la chancelière, tellement indéchiffrable qu'elle a longtemps été accusée d'être dépourvue de convictions, est devenu, au fil des ans, une discipline de la science politique à part entière. Il existe des "merkologues" comme il y avait jadis des "kremlinologues". Tous s'accordent sur un point: afin d'appréhender la pensée de celle qui dirige le pays le plus peuplé d'Europe (80 millions d'âmes), il faut revenir à son enfance. LExpress.fr — Angela Merkel ou l'obstination au pouvoir - L'Express
Il y a là, parmi des reporters et des spécialistes du monde entier, un petit groupe de journalistes de haut vol, russophones, russophiles, kremlinologues accomplis et foncièrement « antisov », comme on dit depuis les années 1970. En rentrant de Moscou, en 1977, Jacques Amalric a pris la direction de ce service et, reconnaît-il, en a « fait une enclave ». Lui-même est une personnalité hors du commun. Le Monde.fr — Quand Gorbatchev divisait « Le Monde »
Je me garderai bien d'interpréter le mystère, je ne suis pas kremlinologue. Encore que... Mais je constate que Poutine vaut bien mieux que ses partisans français. Poutine ment avant, ment pendant, mais assez souvent il crache le morceau après. Les partisans de Poutine en France mentent à tous les moments. Remarquez bien que s'ils ne mentent pas, c'est pire. Le Point — Crimée : une bien étrange médaille commémorative - Le Point
Autre règle, plus surprenante : tous les membres, sans distinction de titre, doivent accepter d'être assis par ordre alphabétique. Ainsi, lors des trois conférences auxquelles elle a assisté, la star du petit écran Christine Ockrent s'est-elle retrouvée à la droite de Béatrix d'Orange-Nassau, reine des Pays-Bas (et fille du prince Bernhard). Tandis que la Russe Lilia Shevtsova, kremlinologue réputée, côtoyait l'autre souveraine habituée du Bilderberg, la reine Sofa d'Espagne. L'Obs — Ces puissants et mystérieux messieurs du cercle Bilderberg
Carla Bruni, la femme phénix, a-t-elle désormais trouvé son meilleur rôle ? Une enfant héritière, une Italienne de Paris, un top-modèle, une amie de l'amour, une chanteuse suave, une mère discrète, une femme fatale ? Lequel de ces profils va prévaloir, alors que l'information qui circulait dans Paris depuis quelques semaines s'est transformée en fable nationale : Carla Bruni, comme auraient dit nos grands- mères, est du dernier bien avec le président Nicolas Sarkozy. Désormais, cette affaire privée est mondialement publique. Qu'en disent les Chinois, qu'en pense le pape, que préparent les Américains ? On ne sait trop, mais si une corporation s'apprête à travailler plus pour gagner plus, c'est bien celle des photographes, éditorialistes, journalistes et autres kremlinologues du coeur. Bernard Thibault ne le savait peut-être pas, mais l'amour crée de l'emploi. Le Figaro.fr — Le roman de Carla
Disséquée par les kremlinologues, l'interview ne dévoile aucune intention concrète du premier ministre. Quand bien même, ce dernier serait-il futur candidat qu'il n'aurait pas besoin de s'afficher ainsi sur les écrans: la télévision, qui fabrique l'opinion publique, lui est acquise, et l'opposition intérieure est balayée. «Le but de l'actuelle campagne médiatique de Poutine est de montrer que sa voix porte plus que les autres. S'il voulait être candidat, il commencerait plus tard», explique Alexeï Moukhine, directeur général du Centre d'information politique, qui prête au chef du gouvernement l'intention de ne pas concourir. Sur la route qui le conduisait lundi à Tchita, proche du lac Baïkal, ce dernier confiait d'ailleurs «en avoir marre de la politique étrangère» qui constitue une prérogative de tous les dirigeants du Kremlin et dont «l'actuel président s'acquitte bien et avec pondération». Le Figaro.fr — L'autosatisfaction de Poutine