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Il y a 377 citations sur le jésus.
Oui, vous avez raison, Raoult c’est Jésus qui chasse les marchands du temple et donc, à ce titre, il doit être crucifié une deuxième fois, j’ai bon, là ?....sauf que cette fois ça va être très difficile de lui toucher le moindre cheveu, au vu de sa très grande popularité nationale et internationale, ça ferait grosse tache sur les relations multilatérales....popularité que les « raclures en marche » ne peuvent même pas espérer pour un millionième dans leurs rêves les plus fous...la jalousie, la cupidité, ça rend vraiment bête et méchant à un point insoupçonné... AgoraVox — J'ai foi en Didier Raoult comme j'ai foi en Christ ! - AgoraVox le média citoyen
C’est d’ailleurs à lui que revient de nommer Jésus et donc de lui donner son identité qui va lui permettre de s’inscrire dans la généalogie davidique. De même, c’est lui qui veut l’inscrire au recensement (Lc 2, 2-3), une inscription qui « manifeste clairement l’appartenance de Jésus au genre humain, comme homme parmi les hommes » selon les mots de Jean-Paul II dans son exhortation Redemptoris custos. Croire — Le père dans la Bible
Trump a fondamentalement exprimé le même point de vue que les autres présidents américains depuis plus de 20 ans, même s’il a décidé d’aller un peu plus loin. C’est une forme de réponse à l’obsession de « déjudaïser » Jérusalem dont font montre l’Unesco et nombre de pays. Nous sommes face à une entreprise globale de déni. Les chrétiens, d’ailleurs, devraient se sentir concernés. S’il n’y a jamais eu de Temple, où donc Jésus a-t-il été présenté ? Où a-t-il chassé les marchands ? La Vie.fr — Haïm Korsia : “Il n’y a qu’une communauté, la communauté nationale“
« Il y a une longue et belle histoire de personnes représentant un Jésus familier à leur lieu et à leur culture. Jésus n’est pas une question de race, et dire de démolir les représentations qui se produisent dans un contexte à dominance européenne est aussi raciste que de les retirer de toute culture. » Info Chrétienne — Un activiste appelle à démolir les statues de Jésus qui sont une "forme de suprématie blanche", une "propagande raciste"
La démythologisation de Jésus a conduit à mettre en évidence le noyau «juif» des Évangiles. Jésus appartenait au judaïsme. Mais, une fois ce positionnement admis, le problème de la définition de Jésus demeure presque entier, car le judaïsme du Ier siècle n’était nullement unifié. Entre les sadducéens, les pharisiens, les esséniens et les autres mouvements se revendiquant du judaïsme, diverses manières d’être juif coexistaient. Reste donc encore à savoir de quel mouvement Jésus était le plus proche. Slate.fr — Jésus, au-delà du mythe | Slate.fr
Il fut ainsi un des grands opposants à la célèbre entreprise de démythologisation (Arnold préfère dire « démythisation ») de Rudolf Bultmann (1884-1976), qui séduisit à l’époque tant d’exégètes et théologiens. À l’encontre de la théologienne féministe de Cologne Dorothee Sölle, il réhabilite avec force la prière de demande et refuse de voir en Jésus un révolutionnaire. Sur des sujets peut-être encore plus au cœur de la théologie, il valorise la résurrection des morts aux dépens de l’immortalité de l’âme et défend, contre son ami Karl Barth, le pédobaptisme. La Croix — Oscar Cullmann, théologien et exégète protestant
La démythologisation de Jésus a conduit à mettre en évidence le noyau « juif » des Évangiles. The Conversation — Peut-on savoir qui était réellement Jésus ?
Les chrétiens pratiquent depuis des siècles un exercice de piété qui leur permet de retracer les différentes stations des souffrances de Jésus et qu’ils nomment « chemin de croix ». C’est un acte dévotionnel ou communautaire pour revivre les événements de la Passion du Christ, une pratique fréquente pendant le Carême et surtout le Vendredi saint. Le catholique, en vivant les quatorze moments particuliers, les quatorze stations, jusqu’à la croix, pense aux souffrances du Christ, réfléchit à la signification des événements qui ont précédé et accompagné la mort du Sauveur des hommes. La Croix Africa — Les origines du chemin de croix - La Croix Africa
Dans ce Cœur sont donc renfermées toutes les richesses de l’Amour divin. Une spiritualité du Cœur de Jésus qui ne remonterait pas jusqu’à la source divine paternelle de la miséricorde et qui ne ferait aucune mention de l’Esprit, symbolisé par l’eau coulant du côté transpercé de Jésus en croix, ne prendrait pas toute la mesure de la miséricorde divine dont est porteuse cette spiritualité. Jésus ne nous a pas aimés seulement affectivement et charitablement, mais aussi divinement C’est pourquoi la spiritualité liée au Sacré Cœur touche à la révélation de la véritable nature du Dieu trinitaire : l’Être absolu est Amour. Aleteia : un regard chrétien sur l’actualité, la spiritualité et le lifestyle — Le Sacré-Cœur de Jésus, un abrégé des mystères divins
En outre, pour les gnostiques, Jésus serait un être totalement divin et son humanité une illusion. La gnose se rapproche en cela du docétisme, selon lequel la nature humaine du Christ n’est qu’une apparence. De ce fait, Jésus n’a pu subir ni la passion ni la mort en croix. Ce n’est donc pas par sa mort et sa résurrection qu’il a racheté l’humanité, mais par la transmission d’enseignements secrets permettant à l’homme de réintégrer sa dimension divine. Croire — Qu’est-ce que le gnosticisme ?
Le docétisme, lui, consiste à nier que Jésus Christ se soit fait homme et ait possédé un corps physique. Contre cette croyance, la lettre aux Smyrniens martèle la réalité de l’Incarnation : c’est en sa chair que Jésus a été crucifié et a ressucité, pour unir tous les fidèles « en un même corps qui est l’Église, (…) il est véritablement mort comme il s’est ressuscité lui-même, véritablement et non en apparence, ainsi que le disent certains incrédules, vaines apparences eux-mêmes. » Aleteia : un regard chrétien sur l’actualité, la spiritualité et le lifestyle — Les mises en garde d’Ignace d’Antioche, disciple direct des apôtres
La théologienne Barbara Hallensleben, professeur à l’Université de Fribourg et spécialiste de l’œcuménisme, éclaire la différence en s’appuyant sur la résurrection du Christ: «En Occident, une distinction est faite entre l’ascension de Jésus et l’assomption de la Mère de Dieu. Ainsi, on souligne le fait que Marie ne passe pas de la mort à la vie par ses propres forces, mais qu’elle est sauvée en vertu de la résurrection de son Fils. De son côté, l’Eglise orientale met davantage l’accent sur cet aspect en soulignant la dormition de la Mère de Dieu et donc son lien intime avec l’humanité mortelle.» cath.ch — 15 août: l’Assomption chez les catholiques, la Dormition chez les orthodoxes – Portail catholique suisse
La dévotion au Sacré-Cœur renvoie à la condamnation injuste de Jésus et au supplice de la croix exécuté par l’armée romaine qui occupait Israël. Rien de douceâtre dans cette image qui exprime la douleur de Jésus, le Fils de Dieu fait homme. La lance du soldat romain transperce le cœur de Jésus qui vient d’expirer après une affreuse agonie. Clicanoo.re — [clicazot] Pourquoi le Sacré-Cœur de Jésus est-il si aimé ? | Clicanoo.re
Les « judéo-nazaréens »/ébionites reconnaissaient Jésus de Nazareth comme messie, pourquoi dites-vous qu’ils n’étaient pas chrétiens ? Dans les épîtres de Paul, on voit bien qu’une part non négligeable des disciples attend le retour imminent de Jésus et il essaie de les faire patienter tant bien que mal. AgoraVox — Évangile de Matthieu, preuve historique, l'erreur de lecture du Pape - AgoraVox le média citoyen
Il y a des moments de notre vie mais aussi des moments de l’année où nous sommes bien fatigués. Notre cœur est alors endormi, peut-être déjà un peu lassé. L’Évangile de ce dimanche se présente, au seuil de cet été, moment de repos, comme un stimulateur cardiaque. Il nous donne à voir le cœur de Jésus pour nous aider à battre à l’unisson de l’amour de Dieu. Jésus nous donne deux «décharges» bienfaisantes venues de son cœur pour reprendre pieds dans notre vie chrétienne. cath.ch — Evangile du dimanche: Pacemaker spirituel – Portail catholique suisse
Le Vendredi-Saint, nous faisons mémoire de l’ensevelissement de Jésus (St Math. 27, 57-61/ Marc 15, 42-47/ Luc 23, 50-56/ Jean 19, 38-42 et de la fermeture du tombeau (Math. 27, 62-66). Le corps supplicié de Jésus est descendu de la croix par Joseph d’Arimathée (Math. 27, 57-60), placé dans un linceul et déposé dans un caveau creusé dans la roche. On scelle l’entrée du tombeau à l’aide d’une pierre taillée. Et, puisque selon la loi juive c’était un jour de repos, les disciples de Jésus quittent les lieux avec l’idée qu’ils reviendront le lendemain pour oindre et encenser le corps de Jésus. « L’office de (...) L’office de l’ensevelissement [Gark taghman] - Nouvelles d'Arménie en Ligne
Nue à Lourdes, prière punk, Jésus en érection… Quand l’art provoque l’Eglise Le Monde.fr — Avec la crise sanitaire, le monde est entré dans l’ère de l’argent gratuit
Certains manuscrits esséniens retrouvés à Qumran semblent évoquer une forme de résurrection. Celle-ci ressemblent-t-elle à celle de Jésus décrite dans les Evangiles ? Dans cette émission, Dominique Villars et Laurent Verpoorten chercheront également à savoir si l'hostilité des esséniens à l'encontre du Temple de Jérusalem s'apparente aux critiques qu'il arriva à Jésus de formuler à son encontre. Jésus et les autres mouvements religieux : les Esséniens (2)
On parle beaucoup de guérison de la mémoire, n’est-ce pas dans la communion eucharistique que cela peut prendre tout son sens ? La communion eucharistique est le grand moment de la purification de la mémoire ! Elle nous apprend à unir notre histoire à celle de Jésus qui a traversé la mort pour nous afin que nous ressuscitions avec lui. C’est ainsi que l’eucharistie nous apprend à vivre notre passé de façon surnaturelle. Aleteia : un regard chrétien sur l’actualité, la spiritualité et le lifestyle — Fête de Dieu : quand l’eucharistie unit le temps terrestre à celui du Seigneur
L’écoulement du temps auquel nous sommes soumis peut être une épreuve très rude pour chacun d’entre nous. Mais n’y a-t-il donc aucun moyen ici-bas d’échapper à cette fuite du temps ? N’y aurait-il en cette vie quelque chose qui soit plus fort que le temps, plus puissant que le destin ? Oui, il y a l’eucharistie. Jésus nous en a donné l’assurance : « Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle »(Jn 6, 54). Aleteia : un regard chrétien sur l’actualité, la spiritualité et le lifestyle — Fête de Dieu : quand l’eucharistie unit le temps terrestre à celui du Seigneur