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Il y a 21 citations sur le Janjawid.
Musa Hilal a été libéré, le chef des tristement célèbres Janjawids, les miliciens arabes accusés d’avoir commis des atrocités au Darfour a bénéficié d’un pardon. Pardon accordé par le Conseil Souverain, l’institution qui chapeaute la transition au Soudan. Musa Hilal est toujours sous sanctions de l’ONU et est accusé de graves crimes au Darfour. RFI — Soudan: libération de Musa Hilal, l'ex-chef des miliciens Janjawids
Depuis la prise de Sanaa en 2014, les rebelles se sont emparés de la majeure partie du nord du Yémen en dépit de l'intervention de la coalition, dont les Émirats arabes unis sont également membres. Le Soudan, l'un des pays les plus pauvres au monde, avait envoyé des dizaines de milliers de soldats, issus notamment des Janjawid, ex-milices accusées de multiples exactions au Darfour. L'Orient-Le Jour — Neuf soldats soudanais tués par les rebelles, selon le gouvernement - L'Orient-Le Jour
Le Comité des médecins accuse "les forces janjawid et le Conseil militaire putschiste" d'être derrière cette mort. La milice des Janjawid, accusée par de nombreuses ONG d'épuration ethnique et de viols collectifs au Darfour, a été intégrée dans les rangs des Forces de soutien rapide (RSF), une force paramilitaire dirigée par Mohamed Hamdan Daglo dit "Hemedti", numéro deux du général Abdel Fattah al-Burhane, qui a dissous lundi toutes les institutions au Soudan. France 24 — Coup d'État au Soudan : au moins un manifestant tué dans des affrontements avec les militaires
Le nouvel homme fort du régime militaire a fait ses premières armes au Darfour (ouest) dès 2003. Chef d’une petite milice, il finit par prendre la tête des Janjawid. Ces combattants arabes nomades étaient formés par le pouvoir pour mater l’insurrection des rebelles issus des tribus non-arabes. Les ex-milices dirigées par "Hemetti" sont accusées de multiples exactions. Viols, pillages et tortures à l’origine des poursuites de la Cour pénale international contre Omar el-Béchir. Franceinfo — Qui est "Hemetti", le chef de milice devenu homme-clé du pouvoir au Soudan?
Elle a été publiée le 17 mars 2014 par le compte Dr. Asaad Ali Hassan, qui indique dans la légende en arabe “#Darfour #Janjawid #Frères #Al-Bashi”, en référence aux Janjawid, terme utilisé pour désigner les miliciens qui ont terrorisé les populations non-arabes lors du conflit au Darfour en 2003. Le terme “Al-Bashi” fait référence à Omar el-Bechir, ancien dirigeant du Soudan, accuse de "génocide" et crimes contre l'humanité lors du conflit au Darfour, et dont les autorités soudanaises ont récemment annoncé son envoi à la Cour pénale internationale. Les Observateurs - France 24 — Cameroun : des fausses images des récents affrontements entre Arabes choas et Mousgoum
Au Darfour, à l’ouest du Soudan, les habitants d’un village ont été massacrés par des miliciens Janjawid lundi 10 juin. Des violences qui rappellent les heures les plus sombres de la région. La Croix — Au Darfour, les miliciens massacrent et marquent leur territoire
Les miliciens arabes Janjawid, envoyés par le pouvoir de Béchir contre les différents groupes ethniques du Darfour, sont également accusés de «nettoyage ethnique» et de viols. Le Journal de Montréal — Darfour: 35 morts dans des affrontements pour des chameaux volés (responsables) | JDM
Quand Usumain Baraka avait 9 ans, les Janjawid sont arrivés dans son village du Darfour occidental. Sans espoir, les migrants africains désespèrent de trouver refuge en Israël - The Times of Israël
Ali Kushayb, chef présumé de la milice Janjawid, accusé d’avoir commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre au Darfour entre 2003 et 2004 et recherché depuis 2007 s’est rendu à la justice dimanche dernier à Birao, une ville centrafricaine à l’extrême nord-est du pays, proche de la frontière avec le Soudan. La première comparution d’Ali Kushayb, chef présumé de la milice Janjawid, prévue ce lundi à la Haye
Le conflit du Darfour a débuté en 2003 entre les forces gouvernementales soudanaises, soutenues par des milices alliées connues sous le nom de Janjawid et les mouvements rebelles du Darfour. Des centaines de milliers de personnes ont été tuées, tandis que des quantités d’autres ont été déplacées. Connectionivoirienne — Une action concrète est essentielle pour remplir la promesse faite au Darfour, selon le Procureur de la Cour pénale internationale - Connectionivoirienne
Le mouvement de contestation lancé en décembre 2018 à la suite de la décision du gouvernement de tripler le prix du pain, considère les RSF comme une émanation des milices arabes Janjawids, accusées d'exactions lors du conflit au Darfour qui a fait près de 300 000 morts depuis 2003 selon l'ONU. Franceinfo — Soudan : les milices paramilitaires de Hemetti maintiennent une répression sournoise
"Les villageois ont été exécutés devant mes yeux", raconte M. Yakoub, 59 ans, habitant de Shattaya, village du Darfour attaqué par la milice des Janjawids en février 2004, au plus fort du conflit dans cette région de l'ouest du Soudan ravagée par la guerre. Le Point — Darfour: 15 ans après l'horreur, des villageois vivent encore dans la peur - Le Point
Les enquêtes de la CPI se concentrent sur des allégations de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, commis lors de combats qui ont commencé deux ans plus tôt entre les forces gouvernementales, soutenues par des milices alliées connues sous le nom de Janjawid et les mouvements rebelles du Darfour. Guineelive — Avant de quitter la CPI, Fatou Bensouda exhorte le Conseil de sécurité à se concentrer sur la justice au Darfour | Guineelive
La Cour pénale internationale (CPI) exige de juger le dictateur chassé en 2019 Omar el-Béchir pour « génocide » et crimes contre l’humanité pendant la guerre au Darfour. Les miliciens arabes Janjawid, envoyés par le pouvoir de Béchir contre les différents groupes ethniques du Darfour, sont également accusés de « nettoyage ethnique » et de viols. SudOuest.fr — Soudan : 48 morts « par balles » dans des affrontements au Darfour
Paris, Khartoum, Kampala, 10 juin 2020 - La FIDH, l’African Centre for Justice and Peace Studies (ACJPS) et le Sudan Human Rights Monitor (SHRM) se félicitent du transfèrement d’Ali Kushayb, ancien chef Janjawid, à la Cour pénale internationale (CPI). Il devra répondre de cinquante chefs d’accusation de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre qui auraient été commis dans la région du Darfour entre 2003 et 2004. Ce transfèrement renouvelle l’espoir que la justice pour les crimes commis au Darfour est possible, même face à un manque de coopération acharné dont ont fait preuve du Soudan et des autres États parties. Fédération internationale pour les droits humains — Transfert d'Ali Kushayb à la CPI : Un pas important vers la justice pour les crimes commis au Darfour
En juin 2020, le chef de la milice des Janjawid, force supplétive du gouvernement soudanais accusée d’atrocités au Darfour, Ali Kosheib, s’était rendu à la CPI après 13 ans de fuite. Connectionivoirienne — CPI: Khartoum profite d'une visite de Khan pour annoncer "un transfert" encore improbable de Béchir vers La Haye - Connectionivoirienne
Au lieu de cela, la direction du pays a été cédée à un acolyte d’Omar el-Béchir, Mohamed Hamdan Dagalo, numéro deux du Conseil militaire de transition. Surnommé "Hemedti", il a commandé les milices Janjawid accusées d’avoir commis des crimes de guerre durant le conflit du Darfour. France 24 — Quand les milices ont recours au viol contre les activistes soudanaises
"Dans les années 2000, (Awad Ibn Ouf) dirigeait le service de Renseignement militaire et à ce titre, il a joué un rôle clé dans la répression au Darfour. Avec Salah Gosh (à la tête du NISS), il a notamment fondé la Garde-frontière, le premier corps paramilitaire dans lequel les Janjawid ont été intégrés" afin d'officialiser leur existence, précise-t-il. Le Point — Soudan: Awad Ibn Ouf, nouvel homme fort du Soudan - Le Point
Une milice les réceptionne. Ses membres sont libyens, tchadiens et soudanais. Certains font partie des Janjawid. InfoMigrants — Exclusif - Un passeur repenti explique en détail le parcours des migrants vendus aux trafiquants en Libye - InfoMigrants
Dirigées par Mohammed Hamdan Daglo, aujourd'hui numéro deux du Conseil militaire au pouvoir, les RSF sont présentées par certains comme un avatar des milices Janjawid accusées de crimes de guerre au Darfour sous le régime Béchir. VOA — Une redoutée force paramilitaire s'empare des sièges du parti de Béchir