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Il y a 70 citations sur l'infecter.
Alors que le COVID-19 se propage partout dans le monde, une grande partie des efforts de la communauté scientifique et des autorités avait pour objectif premier d'endiguer la propagation du virus et de traiter au mieux les personnes infectées. Mais pour les virologues, il faut aussi porter notre attention sur un sujet corollaire : la recherche de futurs hôtes dans le règne animal. Les experts estiment qu'il est possible que le virus touche une nouvelle espèce, mute et puisse à nouveau infecter les Hommes à l'avenir. National Geographic — Qui sera le prochain hôte animal du coronavirus ?
Ce milieu humide sert de vecteur au virus, qui peut infecter quelqu'un d'autre s'il atteint sa bouche, son nez ou ses yeux, portes d'entrée vers les cellules des voies respiratoires. Les scientifiques jugent que cela nécessite un contact rapproché, d'environ un mètre, estimation que l'on retrouve dans les recommandations sanitaires officielles de distanciation physique. En revanche, ces gouttelettes de 5 à 10 microns sont relativement « lourdes » et retombent rapidement, elles ne se maintiennent pas en suspension dans l'air. Le Point — Coronavirus : « des preuves émergent » sur une transmission par l'air - Le Point
Des systèmes qui passaient pour être bien rodés cèdent sous le poids de l’épidémie. Des infrastructures sanitaires que nous croyions parées à toutes épreuves montrent aujourd’hui leurs limites face à l’étendue du mal. En occident, c’est un long mythe d’imprenabilité qui s’écroule. Alors, les leçons des grandes puissances économiques dans la tourmente doivent nous servir. Elles doivent nous conforter dans la certitude que le salut d’Etats vulnérables comme le nôtre réside dans la prévention, c’est-à-dire notre volonté et notre aptitude à limiter au maximum le risque de nous infecter les uns les autres. Adresse à la nation du Président IBRAHIM BOUBACAR KEITA suite à la découverte de cas de coronavirus au Mali - Bamada.net
Cette inflexion fait suite à la publication d’une lettre ouverte de plus de 200 scientifiques demandant l’application du principe de précaution face à l’accumulation d’indices sur "le potentiel de transmission aérienne du Covid-19". Dans ce texte, publié dans la revue Clinical Infectious Diseases d’Oxford, ils estiment qu’un malade peut infecter une personne au-delà de deux mètres. SudOuest.fr — Covid-19 : gouttelettes, contact, air… que sait-on de la transmission du virus ?
Cette inflexion fait suite à la publication d'une lettre ouverte de plus de 200 scientifiques demandant l'application du principe de précaution face à l'accumulation d'indices sur « le potentiel de transmission aérienne du Covid-19 ». Dans ce texte, publié dans la revue Clinical Infectious Diseases d'Oxford, ils estiment qu'un malade peut infecter une personne au-delà de deux mètres. Le Point — Coronavirus : « des preuves émergent » sur une transmission par l'air - Le Point
En attendant, comme les mandrills et les fourmis, nous pouvons maintenir un minimum d'interactions sociales tout en conservant une distance raisonnable avec les personnes les plus vulnérables que nous pourrions infecter par accident. Aussi étonnant que cela puisse paraître, nous n'avons qu'à suivre l'exemple de la nature. Slate.fr — Les animaux aussi pratiquent la distanciation physique en cas de maladie | Slate.fr
La nouvelle molécule cible dans un premier temps la protéine ACE2 qui se trouve à la surface des cellules. Le SRAS-CoV-2 utilise cette protéine pour infecter les cellules humaines, et notamment les cellules pulmonaires. La Presse — Une nouvelle molécule pourrait attaquer le coronavirus sur deux fronts
La première de ces études, publiée par des chercheurs chinois dans le Journal of Medical Virology, s'appuie sur des données acquises sur d'autres coronavirus – donc par analogie, et notamment sur le SARS-CoV 1, responsable du SRAS. Des échantillons prélevés au début des années 2000 ont « montré la présence de particules de SARS-CoV1 dans le cerveau, où elles se trouvaient presque exclusivement dans les neurones. » C'est ce qu'on appelle le neurotropisme d'un virus - sa capacité à infecter un type cellulaire spécifique, en l'occurrence, les neurones. France Culture — Coronavirus : des symptômes pas toujours clairs
Pour infecter les cellules nerveuses, cet agent pathogène se lie justement… au récepteur nicotinique de l’acétylcholine (nAChR). Cette association est le fait d’un motif particulier (une chaîne de peptides) dans la protéine externe du virus, qu’étonnamment on retrouve dans plusieurs toxines de serpents (les cobras Ophiophagus et les bongares Bungarus particulièrement venimeux) et, dans une certaine mesure, dans la protéine S du SARS-CoV-2 avec laquelle le virus se fixe aux cellules pour les infecter. De ces observations, les auteurs proposent que le nouveau coronavirus bloque également les récepteurs nicotiniques. Pourlascience.fr — Et si la nicotine entravait le SARS-CoV-2 ? | Pour la Science
Dans ces conditions, «Les gens vont avoir peur de se faire infecter et de tomber gravement malade, c’est ce qu’on appelle la nosophobie. Quand ils vont sortir, même avec des gants et un masque, ils vont s’imaginer le pire. Avec le déconfinement, certaines personnes qui n’étaient pas hypocondriaques, vont le devenir.», souligne-t-il. CNEWS — Quels seront les risques psychologiques du déconfinement ? | CNEWS
Les maladies parasitaires sont liées à des parasites qui viennent infecter un organisme appelé "hôte". Il peut s'agir d'un animal (chien, chat, poisson...) ou d'un être humain. L'animal peut aussi être vecteur de la contamination humaine. Parmi les parasitoses les plus connues : la toxoplasmose, le paludisme et les oxyuroses (ver solitaire). Maladies parasitaires : liste, symptômes, diagnostic, traitements
Une nouvelle approche pour traiter tous les types d’herpès a vu le jour, amenant l’espoir de développement d’un médicament efficace. Des chercheurs de l’université de Lund (Suède) ont découvert que viser les propriétés physiques du génome du virus, plutôt que les protéines virales qui constituent la méthode traditionnelle, empêchent les gènes de quitter le virus pour infecter les cellules en pénétrant l’enveloppe protéique du virus. Leurs résultats ont été publiés le 23 juillet dans la revue PLOS Pathogens. www.pourquoidocteur.fr — Un nouveau traitement contre l'herpès empêche l’infection virale
La mutation du coronavirus originel, qui infectait les chauve-souris, est une « recombinaison cellulaire » de certaines de ses protéines lui servant à s’accrocher aux récepteurs des cellules hôtes. Ce sont donc des protéines clés de l’infection, car ce sont elles qui permettent au coronavirus d’entrer dans un certain type de cellules pour infecter son hôte. Cela a donc du sens qu’une mutation sur ce versant de son code génétique ait été la cause de sa capacité à passer d’espèce en espèce, chez les serpents puis chez les humains. Numerama — Virus chinois : tout serait parti d'une mutation chez des serpents
La mutation du coronavirus originel, infectant les chauves-souris, est une "recombinaison cellulaire" de certaines de ses protéines lui servant à s’accrocher aux récepteurs des cellules hôtes. Elles permettent au coronavirus d’entrer dans un certain type de cellules pour infecter son hôte. Une mutation du code génétique a donc été la cause de sa capacité pour se transmettre entre les espèces, chez les serpents puis chez les humains. Atlantico.fr — Wuhan : des serpents pourraient être la source de l'épidémie du coronavirus chinois | Atlantico.fr
«De nombreuses mutations aléatoires et événements de recombinaison sont nécessaires avant qu’un virus transmis par une chauve-souris puisse infecter l’homme. Généralement, un hôte intermédiaire et une interaction constante sont nécessaires pour que cela se produise», renseigne la chercheuse postdoctorale Diana Moreno Santillán, à l’Université Texas Tech. Le Journal de Québec — Les chauves-souris dans la mire de chercheurs | JDQ
Herpès, adénovirus, rougeole, parvovirus, réovirus, vaccine, une demi-douzaine de virus sont actuellement testés dans le monde pour leurs propriétés oncolytiques, c'est-à-dire leur capacité à infecter et à détruire exclusivement les cellules cancéreuses. La Presse — Des virus pour lutter contre le cancer: recherches prometteuses
Cinq espèces de schistosomes sont connues pour infecter l’Homme. Durant leur cycle de vie, les larves ayant éclos dans l’eau douce parasitent un type spécifique de mollusque dans le milieu — qui va servir d’hôte intermédiaire — puis se développent dans son organisme et s’y reproduisent de manière asexué. Trust My Science — Un parasite tropical arrive en Europe, et serait un hybride entre deux vers infectieux
Le streptocoque B est une bactérie naturellement présente dans le système digestif, la bouche ou le vagin. Il peut en revanche devenir pathogène pendant la grossesse et infecter le foetus. Quels sont les risques et comment s'en prémunir ? On vous explique tout. Femme Actuelle — Streptocoque B : quels sont les risques pendant la grossesse ? : Femme Actuelle Le MAG
Depuis quelques semaines, le coronavirus est l'objet de toutes les conversations. Un autre virus risque aussi de faire parler de lui, surtout chez les jardiniers amateurs : le tobamovirus. S'il est inoffensif pour l'homme, il fait des ravages chez les tomates puisqu'il peut infecter 100% d'une production. Installée à Pecq, la société Greet Biesbrouck est le plus gros producteur wallons de tomates. Des mesures draconiennes sont de mise depuis quelques mois. Des mesures draconiennes pour éviter le virus qui attaque les tomates à Pecq
Un botnet est un réseau de milliers d'ordinateurs dits zombies, contaminés par un code malveillant (malware) et ainsi asservis à un ordinateur central qui les pilote à l'insu de leur propriétaire. Les cybercriminels les utilisent pour réaliser toutes sortes d'opérations illégales, comme se connecter massivement sur un site afin de le faire "tomber" puis rançonner le propriétaire pour faire cesser l'attaque. Ils sont aussi utilisés pour envoyer des spams voire infecter d'autres machines. Sciences et Avenir — La France démantèle un réseau d’ordinateurs zombies - Sciences et Avenir