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Citations sur le harnacheur

Il y a 29 citations sur le harnacheur.

• «Passionnée par les chevaux depuis l’enfance, j’ai eu la chance d’évoluer dans des milieux équestres variés allant du saut d’obstacle au dressage, en passant par la randonnée, l’équitation western, l’attelage de loisir et le spectacle. J’ai toutefois commencé ma carrière dans le domaine de la protection de la nature. J’ai ensuite eu envie d’un renouveau et de réaliser mes rêves en fondant ma propre entreprise, en relation avec le cheval. Je me suis orientée assez naturellement vers le métier de sellier harnacheur, puisque j’ai toujours été attirée par l’authenticité et les belles matières », explique Céline Gombert.

• Certains viennent au cuir par intérêt pour le monde du cheval – les Compagnons du devoir proposent ainsi une formation de sellier harnacheur (selles et attelage des chevaux). Présent sur le stand des Compagnons, Arnaud Guéville, 23 ans, est quant à lui formateur sellier garnisseur, filière qui attire autant de filles que de garçons… même si certains sont là faute de place en sellier harnacheur. Il forme des jeunes à garnir de cuir l’intérieur des véhicules (voitures, bateaux, avions, selles de moto), du tableau de bord aux sièges, en passant par les panneaux de porte.

• Sellerie Dollé, artisan sellier harnacheur, Les Préaux, à Saint-Médard-sur-Ille, au nord de Rennes. Tél. 06 11 17 52 88, [email protected], selleriedolle.com

• La formation, de 840 heures, coûte 9 000 euros et peut servir de préparation au CAP de sellier harnacheur. Une chose est sûre, pour postuler chez Laurence Bastide, il faut avoir la niaque. « Chloé et Maeva ont tout fait pour réaliser leur stage ici, elles ont trouvé les financements toutes seules. Je veux transmettre la passion qui m’anime, alors j’ai besoin qu’en face, les personnes soient super motivées ». Dès le 1er janvier, la formation aura la capacité d’accueillir deux personnes en plus. De quoi occuper Laurence Bastide pendant de nombreuses années.

• Une jeune femme de 22 ans aux yeux qui pétillent. Pauline Thoumelin se souviendra longtemps de ce 23 février 2011 passé sous les ors de la République, au Sénat, pour recevoir la médaille d’or du meilleur apprenti de France dans son métier : sellier harnacheur. En Charente-Maritime, ils sont deux à avoir eu ce privilège. Le second est un barman de La Rochelle.

• Cette Boulonnaise de 29 ans cumule les singularités façon poupée russe : seul sellier harnacheur et garnisseur du département, qui plus est femme et jeune. « Je suis spécialisée dans le sur-mesure, je fabrique le harnachement équestre et canin, comme les colliers pour chiens, des ceintures, des étuis à couteaux, des sacs à main, et je fais de la restauration et de l'entretien », résume-t-elle.

• Pénétrer dans l'atelier de Yves Tataud à Donzy-Le-Pertuis près de Cluny, est un vrai plaisir. Délicieusement saisi par l'odeur charnelle des cuirs, le visiteur ne peut s'empêcher de caresser les peaux stockées sur place, et surtout admirer la finition des œuvres présentées, licols, harnais, rênes, brides, bridons, selles...Depuis le décès de Jean Lapalus à Cluny, l'an dernier, il est désormais le seul sellier harnacheur à sévir dans le Clunisois Mâconnais.

• Installée à Damouzy dans les Ardennes, Amélie Halais est l'une des rares femmes à exercer le métier de sellier-harnacheur.

• En 2009, la passion des chevaux et du cuir va conduire Virginie Tinel à suivre une formation de sellier harnacheur-maroquinier au Haras de La Roche-sur-Yon. Très vite, elle se passionne aussi pour les chiens et se spécialise dans le secteur de l’élevage canin.

• Depuis quelques semaines, un panneau orne la propriété de Stéphanie Caulet à Suarce. Sous le titre La Sellerie du Grand Est, il annonce que le bourrelier-sellier-harnacheur est à la disposition des cavaliers en quête d’ergonomie. On parle ici de la selle pour que le cavalier et le cheval ne fassent plus qu’un.

• Un solide partenariat lie le groupe au site ornais. Hermès organise chaque année, pour les élèves de la formation CAP sellier-harnacheur du Pin, une présentation et une visite de l'entreprise. Tous les ans, un élève de ce CAP réalise son apprentissage chez le prestigieux sellier.

• Arnaud Sandrin est sellier-harnacheur, c’est-à-dire qu’il fabrique et répare des articles en cuir préférentiellement pour l’univers équestre. « À un moment où la question du développement durable est dans toutes les bouches, pourquoi continuer à remplacer au lieu de réparer ? Pourquoi aller chercher dans des enseignes à bas prix du matériel fabriqué en Inde, au Pakistan ? »

• Ce samedi, Jean-Michel Lemaitre participe pour la première fois à la foire agricole de Saint-Pol. Son activité ? Bourrelier, sellier, harnacheur. Une passion pour le cuir qu’il cultive depuis une douzaine d’années. Rencontre.

• Parmi les 197 lauréats du concours, Charly Palmieri est le seul sellier-harnacheur de l’édition 2018. Un exploit d’autant plus qu’il n’y a pas eu d’artisans de cette profession récompensés depuis 14 ans.

• Artisan sellier-harnacheur, quel drôle de nom pour un métier. C’est pourtant celui qu’a choisi Hélène Dujardin. Après plusieurs années passées dans les finances, elle a tout quitté pour vivre (de) ses passions. Elle est en lice pour les Trophées de l’artisanat, conjointement organisés par la chambre de métiers et La Voix du Nord.

• La jeune artisane, elle n'a que vingt-cinq ans, a passé son enfance au Maupas, c'est donc tout naturellement qu'elle a décidé d'y installer son atelier de création, après avoir obtenu son diplôme de sellier harnacheur à La Roche-sur-Yon, au haras de la Vendée.

• Celle qui aurait aimé devenir maréchal-ferrant a obtenu – haut la main -, au mois de juin, son CAP de sellier harnacheur, après une formation en Bourgogne chez Yves Tartaud, maître sellier près de Cluny (Saône-et-Loire).

• Ce sont quatorze élèves du lycée d’Artagnan-Nogaro (maintenance des véhicules), et du lycée professionnel de Mirande (Maréchalerie et sellier-harnacheur), qui ont été récompensés. « Les performances affichées, dira en substance Belmir Dos Reis, sur vos pièces témoignent de votre volonté d'améliorer vos connaissances professionnelles, de développer votre goût pour le travail de qualité, d'affirmer votre attachement au métier que vous avez choisi et aussi d'exprimer votre personnalité ». Des encouragements qui sont allés droit au cœur des lycéens.

• Car Jeanne Selo est avant tout adepte d’équitation depuis son plus jeune âge. Et ce choix de métier s’est presque imposé à elle. Elle a fait son apprentissage chez le maître sellier-harnacheur Yves Tartaud, à Cluny. Avant d’arriver à Saint-Étienne pour suivre son compagnon.

• A un an de la retraite, le major et maître sellier Jean-Jacques Le Leuch avoue ressentir un certain stress. « Si on veut que l’atelier perdure, il nous faut du personnel. L’idéal serait de tomber sur un sellier-harnacheur, en sachant qu’il faut entre quatre et sept ans pour savoir tout faire dans l’atelier. »