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Citations sur la grande aigrette

Il y a 21 citations sur la grande aigrette.

• Quel plus beau contraste que ce blanc immaculé de son plumage sous un ciel ténébreux ou sur une pièce d’eau éteinte ? Hivernante en Lorraine, la grande aigrette gagne les pays de l’Europe centrale pour sa nidification.

• Il s’est avéré que cet oiseau était une grande aigrette. Cet oiseau a bien failli disparaître d’Europe à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, pour être piégé ou abattu en très grand nombre car ses plumes servaient à l’époque de décoration pour les chapeaux des dames. Par la suite, sa survie avait été une nouvelle fois menacée à cause de la disparition des zones humides, où il s’arrête en migration, et de la prolifération des pesticides.

• Aigrette. La Grande Aigrette (Ardea alba) est une espèce d'oiseaux échassiers. La grande aigrette est beaucoup plus présente l'hiver que l'été. Elle est facilement identifiable grâce à son bec jaune et le haut de ses pattes jaunes au bas noir.  

• Mais, dans le même temps, certaines espèces iconiques, qui avaient disparu à la suite d’une intense persécution, reviennent. Soit spontanément, comme le loup, le phoque-veau marin, le phoque gris, la cigogne noire, la spatule blanche, la grue cendrée, la grande aigrette, l’ibis falcinelle, le pygargue à queue blanche, la tortue caouanne… soit grâce au coup de pouce de l’homme, qui a, par exemple, réintroduit les deux espèces de bouquetins (celui des Alpes et l’ibérique), le lynx, le gypaète et le vautour moine.

• Il est différentes espèces d’ardéidés dans le Loiret, du héron garde-bœufs à la grande aigrette, en passant par l'aigrette garzette. Le héron cendré est le plus populeux.

• Le groupe a pu poser des questions, s’initier aux chants d’oiseaux : rouges-gorges, pics verts, pinsons des arbres, sittelles, étourneaux… Puis chacun a pu observer à l’aide d’une longue-vue plus particulièrement le verdier, les tarins des aulnes, le grimpereau des jardins, une grande aigrette sur la rive et enfin les hérons nicheurs déjà perchés sur leurs nids qui seront bientôt rejoints par les aigrettes garzettes, les hérons bihoreaux et gardes-bœufs.

• Depuis des années, des "hérons" au plumage blanc immaculé envahissent nos campagnes. Près des cours d’eau ou dans les champs, des groupes sont visibles. Route d’Estirac, de Labatut, de Sauveterre, de Hères, de Caussade… Héron garde-bœuf, aigrette garzette et grande aigrette ? : ce sont les cousins du héron cendré.

• La grande aigrette n’est, quant à elle, présente qu’à la saison froide et le héron pourpré (espèce menacée), qui ne niche plus sur le site, continue de visiter les bassins pour pêcher. Le petit blongios nain, qui nichait autrefois dans une roselière aujourd’hui disparue, n’est plus observé qu’exceptionnellement lors des passages migratoires.

• Les étangs de Trévignon, c’est un peu le paradis des oiseaux d’eau, notamment des canards. En ce moment, sarcelle d’hiver et canard souchet sont là. À la limite des roseaux, il est possible d’observer la bécassine des marais. Et puis il y a la grande aigrette et une foule d’échassiers. Sans parler du grèbe huppé et de la foulque, présents toute l’année. À voir aussi, le balbuzard pêcheur, de passage en ce moment.

• Cet échassier (ardea alba), photographié ce dimanche 20 janvier, fait partie de la même famille que le héron cendré (les ardidae). Il est légèrement plus grand et son plumage est entièrement blanc. La grande aigrette ne possède pas de huppe. En revanche, en période d’accouplement, de longues plumes appelées aigrettes apparaissent sur les épaules pour descendre sur le dos et sur la queue. Les yeux sont jaunes, la pupille noire et son bec jaune-orange se fonce en été. La grande aigrette se nourrit d’insectes, de poissons, de reptiles et de batraciens.

• Grande aigrette, canard, cygne, héron et grand cormoran… Plus de 255 espèces d’oiseaux trouvent refuge aux étangs de Saclay. Les amoureux des volatiles à plumes ne s’y trompent pas puisqu’ils sont nombreux à y faire le pied de grue avec leur appareil photo pour les immortaliser. Depuis septembre dernier, un observatoire ornithologique permet de s’émerveiller devant ces oiseaux dans des conditions optimales. Mais ce spot étant implanté à proximité d’un site militaire, il est rarement ouvert. Deux nouvelles dates viennent de tomber pour permettre au public d’en profiter.

• Stéphanie Remaud, technicienne à la fédération, participe tous les ans à ce comptage, sur les étangs de Beaulon, Paray-le-Frésil et La Chapelle. Ce matin-là, sur la berge de l’étang des Treffoux, jumelles rivées aux yeux, dans les frimas de l’hiver, elle décompte seulement 2 cygnes, 2 cols verts, 1 héron cendré et 1 grande aigrette. Deux ragondins tentent de rejoindre la berge, effritant de leurs griffes la glace.

• «Je m’adonnais à passer par là en vélo, au début de la semaine, quand j’ai vu une tache blanche. Elle m’intriguait parce que ce n’est pas commun. Comme j’ai toujours mes jumelles avec moi, je me suis mis à l’observer. J’ai vu que c’était une Grande aigrette», raconte ce passionné des oiseaux.

• Cet oiseau semble avoir trouvé ici les conditions favorables réunies : la ressource alimentaire et la quiétude nécessaire sur le plan d’eau à niveau constant. Les rives boisées et sauvages sont des zones très propices connues pour abriter les dortoirs et reposoirs de grande aigrette et héron cendré. Cet oiseau va probablement reprendre prochainement son envol vers de nouveaux horizons.

• Une grande aigrette d’une blancheur immaculée

• « Les pays scandinaves ont connu des températures clémentes. Les oiseaux ne sont pas descendus. Ce n'est pas une année très spectaculaire », prévient le spécialiste. Peu importe. « Il fait beau, on est dehors, c'est calme. C'est le plus important », résume une participante. Une grande aigrette, pour faire simple une sorte de héron aux plumes blanches et bec jaune, réveille l'espoir.

• L’animation comprenait également des masques d’animaux emblématiques présents sur le lac à niveau constant comme le pic épeiche, la grande aigrette, la pipistrelle ou encore la musaraigne et le hérisson, la chouette, la grenouille, le triton marbré, le grand murin, le martin-pêcheur et bien sûr la loutre, symbole du collectif.

• Une grande aigrette – CC0 Creative Commons

• Cette exposition est née de la rencontre de trois photographes animés par la même passion pour la nature, particulièrement pour les oiseaux du lac au Duc. Du héron cendré à la grande aigrette, en passant par le discret martin-pêcheur d’Europe, la faune qui peuplent ce site naturel est très diversifiée et importante. Les objectifs de Nicolas Maupomé, André Fortin et Philippe Surel les ont immortalisés et vous invitent à découvrir leurs clichés mais également à prendre conscience de la fragilité de ce milieu et de la nécessité de le protéger.L’exposition Envol, installée en extérieur, est visible toute l’année à la base de loisirs de Taupont.

• Après l'absence de quelques année de la grande aigrette en territoire limoulois, la Société de la rivière Saint-Charles soulignait son retour en août 2017 dans une vidéo sur sa page Facebook.