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Il y a 45 citations sur la ghréline.
Selon Kapadia, “un sommeil insuffisant augmente les niveaux de ghréline, une hormone qui vous incite à manger”. Lorsque vous dormez tard, vous avez plus faim, ce qui vous pousse à vous goinfrer tard le soir. De même, un manque de sommeil adéquat entraîne une réduction des niveaux de leptine, qui est sécrétée dans les cellules graisseuses et diminue la faim. GQ France — Les 5 meilleurs aliments qui vous aideront à mieux dormir | GQ France
DÉCOUVERTE. La ghréline, hormone qui déclenche l'appétit, permet-elle également de réguler l'activité sexuelle ? C'est ce que suggère une étude suédoise, publiée dans Addiction Biology : celle-ci montre que des souris qui reçoivent une dose de ghréline (0,33 mg/kg) voient leur activité sexuelle augmenter. Si des recherches ultérieures montrent que la ghréline a le même effet chez les humains, ces chercheurs tiennent peut-être une solution pour mettre au point des traitements contre la dépendance au sexe. Sciences et Avenir — L'hormone de l'appétit stimule l'activité sexuelle des souris - Sciences et Avenir
La ghréline, sécrétée le jour, stimule l’appétit tandis que la leptine, hormone de la satiété secrétée pendant le sommeil, l’inhibe. Cela provoque ainsi une diminution de la faim et une augmentation de sa sensation de satiété nocturne si l’on dort assez. Or, une réduction du temps de sommeil met à mal cet équilibre. Marie Claire — L’impact du sommeil sur la nutrition, le métabolisme et la santé - Marie Claire
Cette étude réhabilite le temps tranquille du repas, en démontrant, chez la souris, qu’un accès limité à la nourriture entraîne une consommation alimentaire plus importante. Ces conclusions, présentées dans la revue eLife révèlent l’ensemble du processus qui conduit à cette augmentation rapide de l’apport alimentaire : la ghréline ou hormone de la faim est directement stimulée par le « temps » du repas. santé log — OBÉSITÉ: Manger trop vite stimule encore plus l'hormone de la faim | santé log
Alizé Pharma, société spécialisée dans le développement de produits biopharmaceutiques pour le traitement de désordres métaboliques et de maladies rares, a annoncé mercredi les résultats de deux essais cliniques de phase I avec AZP-531, son analogue de ghréline non acylée, chez 76 sujets comprenant des volontaires sains et des patients en surpoids ou obèses. » Alizé Pharma : résultats positifs pour AZP-531, son analogue de ghréline non acylé MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé
En cas de stress, l'organisme pourrait produire davantage d'hormone ghréline, une hormone de l'appétit, ce qui disposerait à choisir des aliments plus caloriques, selon une étude américaine publiée dans le Journal of Clinical Investigation. Des études précédentes ont également montré que le stress favorise une prise de poids. Psychomédia — Le stress stimulerait une hormone de l'appétit et ferait choisir des aliments plus caloriques | Psychomédia
Parmi ces hormones, on retrouve la ghréline, le peptide tyrosine-tyrosine (PYY) et le glucagon-like peptide-1 (GLP-1). l-express.ca — Oui, manger lentement, c’est bon pour la santé
Selon une étude américaine, la quantité de nourriture que nous consommons dépendrait de l'action d"une hormone, la ghréline. Cette nouvelle découverte des chercheurs américains pourrait ouvrir la voie à de nouvelles thérapies pour perdre du poids. Luxemburger Wort - Edition francophone — Une hormone responsable de notre quantité de nourriture
Le système qui régule la production d’orexines est capable de détecter les changements dans l’équilibre énergétique et d’augmenter leurs niveaux en réponse au jeûne notamment. Et ces molécules ne travaillent pas seules : elles interagissent avec d’autres protéines impliquées dans la régulation de l’appétit, comme la leptine et la ghréline. Régulation de l’appétit : Les orexines sont-elles à l’origine de nos irrépressibles besoins de grignoter ?
Passé ce préambule, on peut fournir les résultats d’une petite étude présentée ce lundi au Congrès International de la Société Respiratoire Européenne (ERS). Les travaux, menés sur 14 hommes, montrent que le fait de fumer réduirait bien l’apport calorique. Une théorie connue, dont les auteurs expliquent le fonctionnement. Selon eux, cela aurait en effet pour origine une modulation des niveaux de ghréline, une hormone digestive qui stimule l’appétit, connue sous le nom d’« hormone de la faim ». www.pourquoidocteur.fr — Tabagisme : fumer inhibe l’activité de l’hormone de la faim
Un régime hypocalorique déclenche la sécrétion de ghréline jusqu’à deux ans après le début de celui-ci. La faim persiste deux ans après un régime
Une autre étude réalisée en 2004 par « Public Library of Science » a révélé que lorsque les participants passaient de huit heures à cinq heures de sommeil, leur taux de ghréline augmentait de 15 %. La ghréline est directement liée à nos envies de sucre et de glucides simples. Des idées de l'intérieur, du jardin, de l'ameublement et de la décoration. — Comment perdre du poids sans sport ? 15 habitudes saines à adopter
Les obèses ont dans le sang des immunoglobulines qui viennent protéger l'hormone de la faim, la ghréline. Celle-ci peut ainsi agir plus longuement sur le cerveau pour stimuler l'appétit. Obésité : un anticorps trouble la régulation de l'appétit
Aucun effet secondaire majeur n’a été enregistré, les niveaux de ghréline observés étaient à la baisse et la sensation de faim divisée environ d’un tiers, trois mois après l’intervention. Une efficacité qui reste évidemment à confirmer par d’autres études. 20 patients doivent être inclus dans un prochain essai. Sciences et Avenir — Des billes dans l'estomac pour perdre du poids - Sciences et Avenir
La leptine (visuel ci-contre), l'hormone de satiété produite par les cellules adipeuses, aide à réguler l'équilibre énergétique en inhibant la faim. Son action s’oppose à celle de l'hormone ghréline, l'hormone de la faim. santé log — OBÉSITÉ : Une mutation dans le gène de la leptine peut aussi l’expliquer | santé log
Pourquoi le manque de sommeil fait-il grossir ? Les explications sont multiples : primo, parce que le manque de sommeil favorise la somnolence diurne (on se sent fatigué pendant la journée) et la déprime, il accroît le risque de grignotages trop sucrés et trop gras. Deuzio, parce que le manque de sommeil a un impact sur le système hormonal : la leptine (l'hormone responsable de la sensation de satiété) diminue tandis que la ghréline (l'hormone qui stimule l'appétit) augmente. Topsante.com — Sommeil : se coucher tard augmente le risque d'obésité - Top Santé
On résume souvent le sommeil à un processus passif alors qu'il s'y passe des choses absolument extraordinaires. Pendant la nuit, on produit notamment de la leptine, une hormone responsable de la satiété qui empêche de vous réveiller la nuit pour manger. Car la nuit correspond en fait à une période de jeûne. A l'inverse, on bloque à cette période la ghréline, hormone responsable de l'appétit. Europe 1 — Pourquoi il est crucial de bien dormir si on veut garder la ligne
Des chercheurs ont demandé à 59 adultes obèses de participer à un programme de huit semaines pendant lequel ils alterneraient des périodes de jeûne avec des périodes d’alimentation classique. Après avoir mesuré les niveaux de ghréline chez les participants, les scientifiques n’ont pas trouvé de véritable lien entre la faim et la concentration de l’hormone de l’appétit. Les jours de jeûne, les taux de ghréline étaient très hauts, mais pour des raisons inconnues, les volontaires n’avaient pas forcément plus faim que d’habitude. Santé Magazine — Pourquoi la sensation de faim disparait-elle lorsqu'on l'ignore ? | Santé Magazine
Les effets du dioxyde de carbone ne s’arrêtent pas là. L’accumulation de graisse dans le foie des rongeurs est plus marquée et la production de ghréline – hormone de la faim – est multipliée par six. Voilà qui expliquerait pourquoi les amateurs de soda sont plus nombreux à développer une stéatose hépatique non alcoolique (NASH). www.pourquoidocteur.fr — L'eau pétillante stimule la prise de poids
Des chercheurs australiens affirment qu'il existe un lien entre le stress chronique, des problèmes de fertilité chez la femme et des niveaux élevés de ghréline aussi appelée « hormone de la faim ». Santé Magazine — Le stress chronique aurait des effets négatifs sur la fonction ovarienne | Santé Magazine