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Citations sur le gastronomiquement

Il y a 28 citations sur le gastronomiquement.

• Toujours plus loin des étoiles : la Vienne reste gastronomiquement sinistrée selon le Michelin qui fait depuis des décennies référence en matière de bonnes tables. Hier le fameux Guide rouge dévoilait son cru 2020. Las, depuis l'édition 2018 et le départ de Richard Toix sous des cieux exotiques, la Vienne ne compte plus de restaurant étoilé.

• DG : C’est le plus prestigieux concours culinaire de la télévision française ! Dans Top Chef, on ne parle plus d’étoiles car on vit une grosse remise en question, on se dévoile gastronomiquement parlant et tous les compteurs sont remis à zéro !

• Le San Regis ? A ne pas confondre avec son fameux homologue new-yorkais. Ce mini-palace parisien discret, proche des Champs-Elysées, rue Jean Goujon, appartenait jadis aux Terrail de la Tour d’Argent. La maison a été reprise par la famille Georges qui en a fait, avec ses 42 chambres un boutique hôtel de grand charme, avec vue, depuis les derniers étages, sur la Tour Eiffel. La demeure ne faisait guère parler d’elle, gastronomiquement s’entend. Voilà qu’elle vient d’embaucher Romain Leydier, formé à l’Hôtel de Vendôme aux côtés de Gérard Sallé, à La Tour d’Argent, à La Marée, mais aussi au Vernet époque Briffard.

• Les cafés et restaurants hexagonaux devront attendre fin mai pour connaître la date et les modalités d’une éventuelle réouverture. Si la fin juin a été évoquée, après un mois et demi de fermeture et face à une crise qui menace de s’installer dans la durée, nombre de chefs ont repris dès à présent le chemin des fourneaux. Et se tournent vers la vente à emporter ou la livraison. Même les étoilés s’y mettent. Contraints d’imaginer des plats transportables, faciles à réchauffer et assembler, ils doivent repenser une offre moins gastronomiquement pointue mais tout aussi savoureuse. L’occasion de déguster un repas de grands chefs à des tarifs plus abordables que dans leurs restaurants.

• Nourritures festives ou du quotidien, les 5 continents révèlent leurs saveurs et leurs histoires culinaires à travers ces pages. Des Amériques à l’Europe, en passant par l’Asie et les gastronomiquement moins connues Afrique et Océanie, les spécialités culinaires sont abordées par grands thèmes. L’incontournable viande pour l’Argentine, le bayou pour la Louisiane, la cuisine de rue pour la Thaïlande, jusqu’à la pizza des mammas napolitaines.

• Je ne sais pas comment qualifier l'année qui se termine, gastronomiquement parlant.

• Forkinating ou comment voyager gastronomiquement sans bouger de son canapé. On valide !

• Des bars éphémères seront installés pour l'occasion et des espaces de restauration proposant spécialités thaï ou encore rouleaux givrés sucrés. Bref, musicalement et gastronomiquement, le choix sera au rendez-vous ce soir, dans l'un des plus beaux endroits de la cité phocéenne.

• Les fêtes ont beau être passées, il reste des gens qui, gastronomiquement parlant, continuent à vouloir se faire plaisir. Cela tombe bien nous direz-vous, car jusqu'en février, nous sommes en pleine saison de la truffe. Ils étaient encore hier très nombreux à Castelnou pour un nouveau marché aux truffes organisé par le Syndicat des trufficulteurs catalans. Son secrétaire général, Jean-Luc Magenti et Alec, producteur à Caixas, ont bien voulu nous expliquer ce qui se cache derrière ce champignon pas comme les autres.

• Après avoir randonné dans les environs de Saint-Hubert, où poser son sac et ses bâtons nordiques? Sans hésiter chez ces "Gamines", le projet de deux soeurs gastronomiquement délurées ayant redonné vie à un hôtel familial plutôt moche.

• Le bœuf bourguignon est un de mes plats préférés. Une des choses qui font (avec mon amour pour le fromage et les croissants, entre autres) que je suis bien française, gastronomiquement parlant

• Brooklyn? Sooo convenu... Pour un concert autour d'une bière, un donut nappé de chantilly (à l'aide d'une seringue!) ou une séance chez un barbier tatoué de la tête aux pieds, rien ne vaut ce quartier. Situé à quelques minutes du centre d'Auckland, articulé, d'une part, autour de Ponsonby Road, dont l'architecture hésite entre ambiance western et style néobaroque, et, d'autre part, de Ponsonby Central, vaste marché couvert, aussi gastronomiquement varié qu'une cantine world de l'ONU, l'endroit offre une telle concentration de buveurs de latte et de boutiques tendance qu'on en oublierait presque son passé canaille.  

• A priori, rien ne différencie gastronomiquement le Lot-et-Garonne de ses voisins : le canard y est roi, les cèpes sont légion et la truffe est un mets de choix. Les plus aigris diront même que le canard est meilleur dans les Landes, les cèpes dans le Gers et la truffe en Périgord ou dans le Lot.

• Ce qui vous attend là, gastronomiquement s’entend? Des choses simplettes et sans histoire, comme cette planche de charcuteries italiennes et de fromages (guère affinés), cette soupe de potiron (qui manque un peu de relief), cette jolie quiche feuilletée aux légumes, au jambon ou thon (bien qu’on ne sente guère ce dernier), sans omettre une brave salade, qui manque simplement d’assaisonnement.

• On a payé 47 € par personne, en étant très raisonnables sur le vin. Pas cher, vu la qualité. Le nom du restaurant aurait été choisi pour inspirer les titres des critiques que ça ne nous étonnerait qu’à moitié. Cet endroit est une pépite, particulièrement dans une ville qui, gastronomiquement parlant, se montre parfois fort rétive aux bouleversements. Qui plus est, la carte des vins (en partie héritée de l’ancien étoilé) demande clairement à être explorée, au verre ou à la bouteille. On y retourne ? Oui, mais à dos d’âne, trop difficile de se garer ! 

• Chemise à carreaux, gapettes d’artisans vissées sur la tête, les salariés Big Fernand cultivent le style « franchouillard ». Le contenu de l’assiette est également made in France et préparé sur place. Pas de sous vide donc, du vrai fromage au lait cru (pas de toastinettes). Big Fernand, coche à peu près toutes les cases du gastronomiquement correct. Sauf le bio : « pas nécessairement un gage de qualité gustative », constate Steve Burggraf. A noter aussi que les viandes (charolais, blondes d’Aquitaine, porc capelin et porc d’Auvergne...) sont toutes achetées à Roanne auprès de Despierre SA devenu le fournisseur exclusif maison.

• Henri Gagneux, c’est la surprise et la créativité dans l’assiette. Il fait partie de ces chefs qui ont dépassé depuis belle lurette le stade du « gastronomiquement correct » pour arriver à surprendre à chaque fois leurs convives. Il revendique cette « liberté dans la rigueur et le respect des bases. Cela permet de faire une cuisine de plaisir, amusante aussi, colorée, avec des saveurs particulières qui surprennent ! » Un exemple ? « De la lotte à la framboise avec une pastèque rôtie ou une tartine de plie avec du miel de tilleul. »

• Maquereaux marinés maison dans une nage aux agrumes et aux 4 épices, poêlée de champignons aux noisettes, échalotes confites et noisettes torréfiées, salade César avec son poulet pané, joli burger ou encore viande issue de la rôtisserie, comme ce gigot d’agneau du jour cuit rosé, proposé avec la garniture de votre choix dont d’exquises frites maison. Cela ne va pas loin, gastronomiquement s’entend, mais c’est à la fois savoureux, léger, frais, bien honnête. Et le bourgueil cuvée « mademoiselle bleue » de la cave des vignerons de Bourgueil passe là dessus avec aise.

• En tant que commune italienne, Positano se devait d’être à la hauteur de sa beauté gastronomiquement parlant. Et le fait d’être un village de pêche l’y aide beaucoup : fruits de mer et poissons particulièrement délicieux !

• Rue Notre-Dame Ouest, un après-midi d'hiver. Un vent à écorner les boeufs souffle le long des trottoirs. Du côté des rues de Lévis et Vinet, les vitrines coquettes des restaurants Joe Beef, Liverpool House, et Le vin papillon rappellent que ce petit quartier niché entre Griffintown et le marché Atwater se porte gastronomiquement bien.