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Citations sur le fumier

Il y a 25 citations sur le fumier.

• Honneur au slogan, véritable fumier qui fait pousser le désir et transforme les hommes tranquilles en clients passionnés.

• Le pré qui donne aux bœufs sa riante verdure, D'une grasse litière attend la fange impure, Et des sels du fumier se forment en secret Le parfum de la rose et le teint de l'œillet.

• La richesse amassée est un fumier puant ; la richesse répandue est un engrais fertile.

• Plus met-on de paille en l'étable et plus il y a de fumier.

• Qui vend sa paille vend son grain, Qui vend son fumier vent son pain.

• Une jument de noble race n’a pas honte de son fumier.

• Le malheur est à l’art ce que le fumier est à la culture maraîchère.

• C'est dans le fumier qu'éclosent les fleurs magiques.

• Le fumier n’est pas sacré mais il fait bien des miracles.

• Qu'est-ce que la France, je vous le demande ? Un coq sur un fumier. Otez le fumier, le coq meurt.

• Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles.

• Les hommes politiques poussent sur le fumier humain.

• L’ambition est le fumier de la gloire.

• Balaye le fumier qui est devant ta porte.

• Le coq est roi sur son fumier.

• Si Job avait planté des fleurs sur son fumier, Il aurait eu les fleurs les plus belles du monde !

• Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde, Et comme du fumier regarde tout le monde.

• Qu'est-ce que la France, je vous le demande ? Un coq sur un fumier. Otez le fumier, le coq meurt.

• Les bourgeois, par une vanité ridicule, font de leurs filles un fumier pour les terres des gens de qualité.

• La fleur est produite par le fumier et le fumier est produit par la fleur.

• L’étable fumière est d’abord destinée à loger et gérer les animaux (repos, alimentation, abreuvement, contention, soins, etc.) ; mais elle vise aussi la production d’un fumier de qualité, stocké sous l’étable, à l’abri du soleil et de la pluie, et élaboré par les animaux eux-mêmes sans manutention de la part de l’éleveur.

• Il m'expliqua prolixement, […] ; qu'on ne devait s'attendre à rien d'autre de la part d'un pareil fumier ; que la seule riposte convenable, lui Poirson m’en fichait son billet, c'était, un soir, de s'embusquer au coin d'une rue, d'y guetter Jean-Loup et de « lui faire sa fête ».

• Il crut marcher une dernière fois dans la grande rue, criblée de soleil, parmi les tas de fumier, suant les flots noirs de purin […]

• Clérambard. − Mon fils est un cornichon, mais c'est aussi un tombereau d'impureté. Mon fils est un tas de fumier. Comme moi, d'ailleurs. Comme sa mère

• Tout me presse. Et je coule encore, je tombe dans ce puisard, dans cette fosse septique qui me dissout chaudement, froidement, au fur et à mesure, de sa masse toute vibrante et toute colorée de fumier organique, de riche bête vivante au long intestin acéré.