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Citations sur le fertiliser

Il y a 35 citations sur le fertiliser.

• Adversativement, les grands esprits contestent les normes établies, non pour semer le chaos mais pour fertiliser le sol du progrès.

• En ces temps anciens, l'amendeur, véritable artisan de la terre, œuvrait inlassablement pour enrichir et fertiliser nos sols afin d'assurer une récolte prospère.

• La veille de l'automne, sur le plateau agricole, l'écobuer était en cours : les agriculteurs arrachaient les herbes du champ avec leur motte de terre, allumaient d'impressionnants feux d'écobue et dispersaient ensuite les cendres sur leurs terres afin de les fertiliser pour le prochain cycle de culture.

• En à peine 2000 ans, ils ont troqué un mode de vie nomade – qui était loin d’être une partie de plaisir – contre des habitudes sédentaires qui ont engendré une kyrielle de nouvelles contraintes (défricher, désherber, désempierrer, irriguer, protéger et soigner, fertiliser la terre, etc.). Sans apporter notablement plus de confort, mais en permettant « de maintenir plus de gens en vie ». Des 5 à 8 millions de chasseurs-cueilleurs qui vivaient sur terre il y a 11 000 ans, on est passé à 250 millions de cultivateurs, 9 000 ans plus tard.

• L’épandeur Deguillaume ouvre le bal, la benne Féline lui emboîtera le pas. La licence Deguillaume est enfin là et permettra à ces 2 premiers mods d’être disponibles sur tous les supports. Les joueurs PC/MAC, PS4 et Xbox One vont pouvoir fertiliser leurs parcelles grâce à cet outil compact, maniable et précis. Ses 14m de largeur d’épandage à 20 km/h assurent un bon débit de chantier. En boutique, vous trouverez une large collections de montes de pneus.

• Si le mulching a largement fait ses preuves, il nécessite un peu de discipline. Il est important de procéder à des tontes régulières. Si votre gazon est trop haut au moment de la tonte, la quantité de fragments produits sera trop importante. Au lieu de fertiliser le gazon, vous risquez donc de l’étouffer, ce qui serait contre-productif !

• La start-up suisse Climeworks a lancé en mai 2017 la première centrale au monde d'extraction du CO2, en filtrant l'air ambiant. Le CO2 extrait est ensuite commercialisé et recyclé. De manière inédite, il s’agit d’une exploitation commerciale de CO2 : celui-ci est revendu aux exploitations agricoles voisines notamment pour fertiliser des plantes sous serres. Il sert aussi à gazéifier des boissons ou encore à fabriquer des agrocarburants. 

• Outre le biométhane, avec la matière organique résiduelle après méthanisation, ce site crée aussi un fertilisant agricole organique et inodore, utilisé pour fertiliser les sols en apportant aux cultures un engrais d'origine naturelle, qui contribue en moyenne à réduire de 80 % l'achat et d'engrais de synthèse.

• Près d'Annecy, en Haute-Savoie, un jardinier a décidé d'utiliser son urine pour fertiliser ses tomates. "Il faut briser le tabou, c'est un excellent engrais", assure-t-il.

• Vous êtes "coincés" dans votre appartement ? Profitez en pour prendre soin de vos plantes d'intérieur. Avril, c'est le mois pour rempoter ou fertiliser par exemple. On vous explique tout dans notre infographie interactive.

• L’accaparement des milliers d’hectares de terres les plus fertiles et les plus proches des eaux du lac de guiers, accompagné d’un bouleversement du vécu des populations autochtones, ne suffit pas pour cette entreprise d’agro-business étrangers, installéedans la commune de Mbane, dénommée SENINDIA. Elle récupèreen grande quantité (par des véhicules) les déjections animales auprès des exploitations familiales d’élevage, pour fertiliser ses exploitations agricoles ; ce qui est undanger écologique.

• En clair, les pêcheurs, goémoniers, agriculteurs professionnels pourront bénéficier de dérogations s'ils en font la demande (1). Mais pas les retraités ni les particuliers, qui sont pourtant de fervents pratiquants de ce ramassage du goémon de rives pour fertiliser leurs potagers, surtout sur la côte nord du Finistère.

• Autre observation, les femelles s'étirent mieux que les mâles. Là, les scientifiques sèchent. Et se replient vers la différence majeure observée entre mâles et femelles. Si les deux sexes de poulpe utilisent plus volontiers leur bras le plus long, le L3 - les bras des poulpes sont notés, de l'avant vers l'arrière, de L1 à L4 sur le côté gauche et de R1 à R4 sur le côté droit - les mâles ont une capacité d'extension particulièrement réduite lorsqu'ils ont recours à un bras bien spécifique, l'hectocotyle. Ce dernier est en effet spécialisé dans la reproduction, et permet au mâle de fertiliser la femelle lors de l'accouplement.

• Enfin, c’est l’hippocampe qui bat les records d'implication : il existe une trentaine d’espèces et c’est toujours le mâle qui va être en gestation - enceinte, donc. Il a une poche incubatrice, située dans la partie ventrale de l’animal. A la saison des amours, c’est la femelle qui se met en quête d'un mâle qui a une poche vide : les deux vont s’accrocher l’un à l’autre, et la femelle va transférer ses œufs vers la poche du mâle. Ce dernier va les fertiliser à l’intérieur de la poche, c’est lui qui va les couver et il va rester seul. La femelle, qui a donné ses œufs, s’en va pour refaire sa vie. Au moins, l'hippocampe est sûr d’être le père !

• Le 23 juin de cette même année, Jacques organise une rencontre entre Jean Boucher (ingénieur agronome) et Raoul Lemaire. C'est la création de la méthode agrobiologique dite Lemaire-Boucher, basée sur l'utilisation d'une algue, le lithothamnium, pour fertiliser les sols. Alors commence une série de conférences dans toute la France, réunissant les milliers d'agriculteurs et le premier marché bio à l'automne 73.

• Place Marie-Rose-Pons, en plein cœur de Caissargues, un pigeonnier se dresse entre une boulangerie et la jolie bâtisse qui abrite la Poste. Déjà présent au XVIe siècle, comme en attestent des relevés de réparation de 1596, 1604 et 1612, l’édifice avait une double utilité. D’une part, il permettait d’abriter les pigeons utilisés comme moyen de communication par le seigneur local. D’autre part, la collecte des fientes permettait de fertiliser les terres environnantes.

• Marie Curie n'est plus que le nom donné au parking construit en 2013. La physicienne qui extrayait ici, à Nogent-sur-Marne, du radium de l'uranium dans une usine dédiée à ce minerai radioactif dès 1904 n'aurait peut-être pas goûté l'hommage. Elle aurait encore moins apprécié de savoir que plus d'un siècle plus tard, le site porterait encore la trace de son passage et de la gloire qui fût faite jusque dans les années 1960 à l'élément chimique hautement dangereux, dont même les riverains grisés se servaient pour fertiliser leurs potagers.

• Le constructeur d’outre-Manche Claydon, spécialiste du semis direct, propose à son catalogue un semoir porté type Strip-Till, muni de 2 trémies, et équipé d’une dent de fissuration suivie d’une dent semeuse. L’outil permet à la fois de fertiliser et semer en un seul passage.

• Peu utilisés car peu connus par les jardiniers, les engrais vertssont pourtant des atouts fantastiques, surtout quand on cultive bio. C’est ainsi parce qu’un sol vivant est fondamental dans cette pratique et que les engrais verts permettent de le protéger, d’y favoriser la vie des organismes, de fertiliser et d’ameublir la terre, de diminuer le désherbage et d’attirer les auxiliaires. Que demander de plus !

• En effet, des nichoirs, perchoirs et structures d’accueil de la faune urbaine permettent de fertiliser naturellement ces toits qui sont végétalisés progressivement par les graines amenées par le vent (anémochorie) ou les oiseaux (ornithochorie). « L’intérêt d’un tel système est qu’il ne nécessite que très peu d’entretien, un ou deux jours trois fois par an, qu’il a un poids limité à 120 kg/m² maximum et un coût aux alentours de 30 euros du m², inférieur aux toitures végétalisées du marché » indique Anthony Robard.