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Citations sur l'éloge

Il y a 21 citations sur l'éloge.

• [Faire] preuve d'une intrépidité et d'un sang-froid au-dessus de tout éloge

• Les journalistes, dont il récompensait, de son vivant, les tumultueux éloges, se taisent aujourd'hui. Nous pouvons parler de l'homme sans soulever des récriminations à gages et des tempêtes soldées.

• Oh ! comment pourrais-je chanter tes mérites avec convenance, quand tu es la meilleure partie de moi-même ? Que me servirait de faire mon propre éloge, et ne fais-je pas mon éloge en faisant le tien ?

• Je quitte Dollero tout heureux car, au milieu de ses éloges, il a, prétend-il, trouvé une épigramme, inspirée par Epitalion, le maréchal des logis du commandant Gérard, qui a envie de se fiancer: […]. Je l'attriste en soutenant que c'est encore un éloge et pas une épigramme.

• Sans liberté de flatter, il n’est pas d’éloge blâmeur.

• L'éloge des absents se fait sans flatterie.

• A vouloir gagner des éloges, on perd son souffle.

• Il est honteux de faire son propre éloge.

• La poésie, c'est l'art de faire l'éloge des choses qui ne le méritent pas.

• Peu de gens sont assez sages pour préférer le blâme qui leur est utile à la louange qui les trahit.

• Quand votre oreille gauche Grand éloge de vous on fait. Quand bourdonne votre oreille droite Votre éloge est mis de côté.

• Le théâtre est le désordre incarné et pour faire l'éloge du théâtre il faut commencer par faire l'éloge du désordre.

• Chaque fois qu'on me loue, je respire mon tombeau.

• Qui fais ton éloge t’assassine.

• […] Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

• Les justes éloges ont un parfum que l'on réserve pour embaumer les morts.

• On place ses éloges comme on place de l’argent, pour qu’ils nous soient rendus avec les intérêts.

• Il n’y a point d’éloges qu’on ne donne à la prudence. Cependant elle ne saurait nous assurer du moindre événement.

• Partager la publication "L’éloge de la lenteur"

• En réponse au capitalisme débridé, Patrick Pharo fait l’éloge d’une philosophie du commun, reposant sur deux principes : « Libre accès de tous aux biens communs et libre usage dans la limite de leur préservation » et « disponibilité pour tous des ressources d’existence ». Ces principes n’exigent pas l’égalisation arbitraire des positions sociales comme les régimes communistes ont pu la pratiquer. Ils ne visent nullement à forcer les plus riches ou les plus talentueux à travailler pour les plus pauvres. Ils visent « seulement à garantir qu’il reste suffisamment de biens disponibles et en qualité suffisante » pour tous et chacun.