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Citations sur l'eau pluviale

Il y a 32 citations sur l'eau pluviale.

• Depuis une semaine, les rues de La Grenne, La Marette et La Croix-Hingant sont en travaux : réfection et séparation des réseaux eau assainissement et eau pluviale. Avec la maîtrise et le contrôle du service des eaux de Lamballe Terre et Mer, la municipalité d’Andel a engagé le chantier. Les premiers réseaux d’assainissement ne sont plus aux normes et l’entreprise SRTP de Lamballe a débuté les travaux de réfection, en supprimant les anciennes conduites et créer deux circuits indépendants. Les travaux vont durer quatre mois. Un accès aux commerces sera assuré.

• Les principales dépenses seront : restauration de l’église pour 2 300 000 € sur trois ans, l’extension du restaurant scolaire et des locaux périscolaires (350 000 €), la mobilité douce et la sécurité, boulevard de la Houle (270 000 €), la poursuite des chemins piétons avec modification du réseau d’eau pluviale (512 000 €), l’acquisition de la salle de la Vigie (300 000 €), effacements de réseaux (389 000 €), un nouveau bâtiment à la salle des sports (1 M€). Les investissements courants mobiliseront 643 000 € dont 300 000 € d’entretien de voirie.

• On fait le point sur les travaux de la rue de la Poste et de la place du Grand chemin. Ceux-ci ont permis l’enfouissement et la mise aux normes des réseaux d’électricité, de gaz, de téléphone, de fibre optique, d’éclairage public, d’eau potable, d’eau pluviale ainsi que la résolution des problèmes présents sur...

• Jean-Pierre Omnès, vice-président chargé de l’eau potable, de l’assainissement et de l’eau pluviale, à Lamballe Terre et Mer, souligne : « Les tarifs ont augmenté seulement de 3 %. Nous utilisons aussi de l’électricité. Comme les prix de cette dernière ont augmenté, nous sommes aussi obligés de répercuter cette hausse. »

• Si vous êtes un peu attentif lorsque vous marchez dans les rues de Jonzac, vous avez sûrement constaté que des inscriptions ont été peintes un peu partout en ville, à l’entrée des regards d’eau pluviale. Précisément, l’inscription « Ici commence la rivière La Seugne. Ne rien jeter ». Le message est limpide. On comprend...

• Le gazon bien entretenu absorbe l’eau pluviale, a un effet refroidissant important en été et fournit de l’oxygène. De plus, l’herbe capture la poussière et la saleté de la rue et prévient l’érosion du sol tout en favorisant le développement de microorganismes bénéfiques. Sans même mentionner sa valeur décorative en aménagement extérieur ! Mais comment avoir une belle pelouse où l’on peut relaxer pendant que les enfants et les animaux de compagnie jouent ? Peut-on l’entretenir en état parfait sans investir des heures et des moyens importants et sans utiliser des pesticides dangereux ?

• Concrètement, Razel-Bec construira des caniveaux latéraux en béton armé, des voies pavées, des collecteurs, des dalots et des aménagements paysagers. Le contrat de Razel-Bec couvre également Bohicon. Dans cette commune de plus de 180 000 habitants, les travaux porteront sur l’extension d’un collecteur d’eau pluviale sur 10,6 km, le terrassement d’environ 500 000 m3 de déblai/dépôt, la construction de neuf dalots et des aménagements paysagers.

• Les deux paysagistes-concepteurs commencent à imaginer cette rénovation. « Nous allons enlever une partie de l’enrobé pour le confort thermique mais nous conserverons un peu de béton pour que les enfants puissent courir et faire du vélo. Nous travaillerons sur la gestion de l’eau pluviale », détaille Héloïse. « La zone de protection autour des jeux coûte chère, est moche et n’est pas écologique. Nous imaginerons des jeux, en rapport avec la nature », ajoute son collègue, Virgile.

• C’est en raison de cet argument qu’aucuns travaux de curage des écoulements d’eau ne sont longtemps intervenus jusqu’à ce qu’enfin, au début du mois de novembre, Mohammed Jaffal reçoive un coup de téléphone lui affirmant que les opérations de débouchage des avaloirs d’eau pluviale seraient bientôt réalisées. Ce fut effectivement le cas, sans qu’aucune explication de ce retard, et des dysfonctionnements qui l’ont entraîné, ne soit cependant fournie.

• Désagréable surprise pour les services techniques de la ville de Boé jeudi 23 décembre au matin, qui ont eu la désagréable surprise de découvrir près d’une dizaine de regards en fonte, couvrant le réseau d’eau pluviale ou le réseau téléphonique, dérobés.

• L'eau pluviale est récupérée et stockée dans un réservoir situé sous un des bâtiments pour être potabilisée. Elle est ensuite mélangée à 30 % d'eau du réseau et envoyée dans les logements en remplacement de l'eau potable du réseau conventionnel. De même, « l'eau grise » rejetée par la douche et le lave-linge est réutilisée, après traitement, pour l'arrosage et l'alimentation en eau des toilettes (et ses calories récupérées par une pompe à chaleur). Seule la réglementation sanitaire française a empêché d'aller plus loin en alimentant également, avec cette eau de réemploi, les lave-linge des habitants.

• Lors de sa séance du mois de novembre, le conseil municipal de Pfaffenheim a validé un avenant qui permettra de créer un réseau d’eau pluviale depuis l’intersection des rues de l’Église et de la Lauch, jusqu’à la fontaine Notre-Dame.

• Lors de l’inondation historique de juin 2018 qui avait touché une trentaine d’habitations du faubourg de Brevoines à Humes, le réseau d’eau pluviale avait explosé sur la route de Perrancey. Un chantier vient d’être lancé pour doubler le diamètre des canalisations.

• Les travaux sur les réseaux d’eau potable sont terminés, au Faou. Ceux concernant l’eau pluviale commencent cette semaine : en novembre, route de Quimerc’h et de la fontaine à la sortie du bourg vers Le Cranou ; en décembre, de l’entrée du bourg (vers Le Faou) jusqu’à la route de Quimerc’h.

• « Sans traitement, les eaux polluent les sols », précise Laurent Roy, directeur général de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. En effet, dès qu’une goutte touche les aménagements de voirie, l’eau pluviale se mélange aux matières de carburant. L’eau glisse sur la...

• Brest métropole a lancé une campagne de vente de récupérateurs d'eau pluviale à tarif préférentiel, destinée aux propriétaires ou locataires qui résident dans le territoire.

• Après avoir expliqué le cheminement de l’eau de pluie, depuis l’avaloir d’eau pluviale à la mer, le représentant du Sivalodet (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux de l’Odet) a sensibilisé les enfants aux gestes à effectuer pour préserver la qualité de l’eau ainsi que la vie des poissons. Il a répondu aux interrogations des enfants, les invitant à véhiculer l’information auprès des familles.

• « C’est à la fois économique et écologique, résume Murielle Wolski, adjointe au maire en charge de l’environnement. Plus les riverains récupèrent d’eau pluviale, moins ils ouvrent le robinet pour arroser leur potager et plus la facture diminue. »

• 1,7 tonne, le poids du système D’Rain mis en place dans le Vieux-Port. Il a fallu l’aide d’un camion-grue pour apporter le dispositif et l’immerger. Ensuite, une équipe de 4 scaphandriers a commencé la fixation de la collerette autour de la sortie du réseau d’eau pluviale, aussi appelé exutoire, côté Quai Rive Neuve.

• Ce vendredi matin, vers 9 h, une pollution de l’Elorn a été détectée au niveau d’une buse d’eau pluviale. Cette dernière se déverse dans la rivière au niveau du parking qui se situe dans le prolongement du boulevard d’Estienne-d’Orves. Nous sommes ici juste sous le pont SNCF, qui est à mi-chemin entre la base de kayak, située en amont, et l’école Marie-Curie, située en aval.