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Citations sur le du coin - Page 2

Il y a 102 citations sur le du coin.

• Dans la cour en rectangle, un marronnier au tronc noir est prisonnier, tout seul, à peu de distance du coin où s’alignent les dix cabines de water-closet. À cet arbre nostalgique, les propriétés mitoyennes ne montrent que leur fond : trois grands murs aveugles, avec des ébrèchements de poutres et de meulières.

• Il parait qu'elle roulait tranquille dans sa bagnole ; d'accord y'avait eu une alerte météo, mais jamais les gens du coin n'auraient cru que ça dracherait comme ça ! Des litres et des litres de flotte qu'il est tombé !

• «Il y a longtemps, longtemps, un jour que le Malin avait encore fait une diablerie sans nom, fut bien puni par un paysan du coin qui creusa un trou dans la pierre. Le démon qui se déplaçait à la vitesse de la lumière ne vit pas le travail du paysan et se retrouva dans les entrailles de la terre. Les villageois, sans doute pour se rassurer, sont convaincus encore aujourd’hui qu’il n’a toujours pas trouvé la sortie… »

• Joseph détourna la tête, mais il saisit du coin de l’œil le regard dédaigneux dont on le couvrit en passant, et le sang lui monta aux joues.

• Il aime mieux faire la cour à M. le Ministre de l'Intérieur qu'à l'épicier du coin de la rue

• Nous avons laissé nos colzatiers en dernier et il y a beaucoup de fermiers qui n’en sortiront jamais ; nous avons été dans le cas d’en faire faucher du coin du chemin du Blanc-Four.

• Après des heures à tenter de réparer mon pc seul (et pourtant je suis loin d'être une clinche en informatique), j'abandonne et je me tourne finalement vers vous, mon dernier rempart avant une mise réparation probablement couteuse à la boutique du coin :-)

• La camériste disait son chapelet ; mais elle se leva du coin de l’alcôve où elle s’était réfugiée, et sortit en courant pour obéir à sa maîtresse.

• Après quoi vient tout le baratin habituel : tu viens souvent ici, t'es du coin et patati et patata.

• Certains habitants du coin les connaissent déjà car ils sont à la tête du Baramousse, établissement réputé de la cité atrébate ouvert depuis 7 ans. « Ouvrir une cave à bières était une belle opportunité à saisir », commence la commerçante. « C’est complémentaire au bar et on devient enfin propriétaires de murs à Arras. » 

• Le médicopsy fit mine de n’avoir pas entendu — mais il avait entendu : les paroles de Varnan s’étaient détachées clairement dans le silence qui emplissait la coque du coin des soigneurs — ce silence épais de la cage que le vacarme extérieur n’entamait pas, silence uniquement violé par les grognements, les ahans des pugilistes, les chocs de leurs corps sur le ring, le bruit des coups qu’ils se portaient. — (Pierre Pelot, La Guerre olympique)

• Il passa contre nous, ne s’interrompit pas de parler à sa voisine, et nous fit du coin de son œil bleu un petit signe en quelque sorte intérieur aux paupières et qui, n’intéressant pas les muscles de son visage, put passer parfaitement inaperçu de son interlocutrice ; mais, cherchant à compenser par l’intensité du sentiment le champ un peu étroit où il en circonscrivait l’expression, dans ce coin d’azur qui nous était affecté il fit pétiller tout l’entrain de la bonne grâce qui dépassa l’enjouement, frisa la malice ;

• -Rien n 'est parfait , soupira le renard . Mais le renard revint à son idée : -Ma vie est monotone .Je chasse les poules,les hommes me chassent.Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent .Je m 'ennuie donc un peu .Mais, si tu m 'apprivoises ,ma vie sera comme ensoleillée . Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres .Les autres pas me font rentrer sous terre .Le tien m 'appellera hors du terrier , comme une musique .Et puis regarde ! Tu vois , là-bas, les champs de blé ? Je mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile.Les champs de blé ne me rappellent rien .Et ça , c 'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d 'or .Alors ce sera merveilleux quand tu m' auras apprivoisé Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi .Et j 'aimerai le bruit du vent dans le blé... Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince : -S 'il te plait ...apprivoise-moi ! dit-il . -Je veux bien, répondit le petit prince , mais je n 'ai pas beaucoup de temps .J 'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître . -On ne connaît que les choses que l 'on apprivoise, dit le renard .Les hommes n 'ont plus le temps de rien connaître .ILs achètent des choses toutes faites chez les marchands .Mais comme il n 'existe point de marchands d 'amis , les hommes n 'ont plus d 'amis, Si tu veux un ami , apprivoise-moi ! -Que faut-il faire ? dit le petit prince . -IL faut être très patient , répondit le renard .Tu t 'assoiras d 'abord un peu loin de moi , comme ça , dans l 'herbe .Je te regarderai du coin de l 'œil et tu ne diras rien .Le langage est source de malentendus .

• Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince : "S'il te plait…apprivoise-moi ! dit-il. - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître. - On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! - Que faut-il faire ? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répond le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près…" Le lendemain revient le petit prince. " Il eût valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai : je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur…il faut des rites.

• Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te re- garderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près.

• - Apprivoise-moi ! - Que faut-il faire ? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus.

• Qui a dit que la maille était réservée aux pulls et sweats qui nous habillent pour l’hiver ? Déclinée pour les mi-saisons dans des pantalons ajourés en maille crochet ou des robes en maille fine, c’est la jupe en maille de rentrée qui nous fait le plus du coin de l’œil parmi tous nos crush mode ! Dans des allures tantôt bohème avec une maille pointelle, tantôt sexy avec une mini jupe en maille colorée, tantôt comfy avec une jupe en maille midi plissée, c’est cet irrésistible combo comfy-sexy qui nous attire et nous donne envie de la porter sans modération.

• Les petites crampes se sont vite dissipées pour donner toute la place à cette douleur insupportable au niveau du coin inférieur droit de l’abdomen, comme elle le décrit.

• Les Raucoulois et autres habitants du coin ont été nombreux à partager les repas proposés chez eux, "afin de maintenir un moment convivial dans leurs familles."

• Sébastien Racineux compare avec l’Italie, « où les grains ne sont pas spécialement meilleurs, mais où les baristas du moindre troquet du coin savent tirer le meilleur des machines. L’expresso est à 1 euro, les Italiens ne s’équipent pas à la maison ».

• Les Assomptionnistes ont été très impressionnés par l’attachement des Pontilabiens à leur « séminaire », et au frère Roland. Les discours prononcés ont rivalisé d’éloges à l’égard de celui qui a marqué de son empreinte, durant cinquante ans, les jeunes du coin qui ont profité de l’organisation de vacances, voyages, stages de ski, etc. « La gentillesse, l’humilité, il avait le cœur gros comme une montagne, une vraie vocation », a-t-on notamment entendu. L’hommage a été conclu par un « Merci », un des plus beaux mots de la langue française.

• Depuis dix ans, les Léranais qui viennent chercher leur pain ont plaisir à se retrouver dans une ambiance chaleureuse, autour d’une table pour boire un café ou déguster une viennoiserie, ou encore autour des boîtes à livres du coin lecture récemment aménagé.

• Le moyen le plus simple est sans doute de soudoyer ce personnage. Que faire si nous n’avons pas suffisamment d’argent ? Ce dernier a justement un compte à rendre avec des locaux du coin et régler ce différend pourrait bien lui délier la langue. Ou alors tout simplement en faisant parler la poudre et en lui soutirant l’information de force. Tant de possibilités différentes qui s’offrent au joueur et qui récompensent ceux qui aiment chercher l’option B. De plus, les répercussions de nos actes sont réelles et on devra assumer nos choix plus tard dans l’aventure.

• Au PS, où il a longtemps été question d'union, on regarde le développement du projet du coin de l'oeil, en préparant, en parallèle, une candidature bien socialiste, tout en tenant les écologistes pour responsables de l'échec. "Nous avons été très impliqués dans le processus initial pour construire le socle d'idées communes, assure Christophe Clergeau, en charge des initiatives citoyennes au parti. Mais la décision des écologistes d'organiser leur propre primaire a sonné le glas à toute possibilité de démarche commune. Nous sommes donc rentrés dans une phase où chaque formation aura son propre candidat." 

• Beau garçon et motard en blouson de cuir, il fait autant tourner les têtes des paroissiennes que son prédécesseur, Sidney. D’ailleurs, la journaliste du coin Ellie Harding (Lauren Carse) – un nouveau personnage – ne lui est pas indifférente.

• Afin de le faire sortir de ses yeux, l’individu exerce une pression au niveau de l’arête de son nez où se situe le sac. L’ouverture du canal lacrymal est visible au niveau du coin interne de notre œil. Cette ouverture prend la forme d’une petite bosse qui se situe près de notre nez.

• Johanna : De par la taille compacte du Dual Clima 8400H, le technicien qui a assuré sa pose a pu le monter en lieu et place de notre lanterneau situé au dessus du coin cuisine. Grâce à ses quatre sorties, nous pouvons abaisser rapidement la température en redirigeant le flux d'air du côté de notre chambre, ou en direction du salon. Avec sa télécommande, la mise en route et le réglage de la température sont un jeu d’enfant.

• Vous en avez assez de dépenser des fortunes au café du coin pour avoir votre café glacé (ou votre Caramel Macchiato bien sucré, mais chut) ? 

• Cette idée a germé il y a bientôt sept ans, dans la tête de ces deux Gardoises. « Nous nous sommes rencontrés dans un laboratoire de cosmétiques bio, dans lequel on travaillait toutes les deux, confie Amandine Colle, qui était formulatrice de produits, au sein de cette structure. Nous étions dans un moment de nos vies, toutes les deux, où l’on voulait évoluer différemment, faire autre chose. » Rapidement, le souhait d’utiliser des produits du coin réunit les deux entrepreneuses. « C’était ça, notre idée, note Caroline Picard. Valoriser les Cévennes, qui est notre terre natale. »

• Impossible de faire du shopping dans la Ville Lumière sans faire un détour par le charmant quartier du Marais. Typiquement Parisien, le quartier regorge de bonnes adresses. Des enseignes très fréquentées aux adresses plus confidentielles en passant par les incontournables friperies du coin... il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. Entre deux boutiques, on profite de la Place des Vosges et des cafés qui l'entourent pour s'accorder une pause au calme. Le plus ? La plupart des boutiques du coin sont ouvertes le dimanche.

• Ce dernier sera donc aux fourneaux pendant qu’Aude s’occupera du service et du coin épicerie. Le couple, qui se connaît depuis 21 ans, promet une cuisine servie dans des bols, avec tous les apports nutritionnels nécessaires. « On se démarque vraiment du traiteur chinois classique. L’idée ici c’est de faire de la street-food avec des pâtes thaï, des bo bun, mais aussi des choses plus élaborées avec comme la cuisine japonaise ou les sushis et makis le week-end », détaille Franck.

• Marie Béal, la cheffe du restaurant " Le Jardin des 4 M" à Saint- Régis du Coin dans la Loire, est personnellement touchée par cette maladie appelée maladie Coeliaque. Elle a ainsi mis au point toute une série de recettes "sans gluten" pour elle, ses proches et son restaurant. 

• Le dernier passage remonte à 1969 lors d’une étape qui, comme cette année, était partie de Mourenx dans le Béarn. Des Barsacais se souviennent encore avoir vu passer Eddy Merckx ceint du maillot jaune. Mais le passage qui a le plus marqué la bourgade est celui de 1955 : on avait vu passer, échappé solitaire, le Parisien Henri Sitek. Ce dernier avait brillé dans les courses du coin en 1953 et avait été retenu à Barsac par la belle Pierrette qu’il avait épousée, rejoignant ainsi le VC Barsac.

• C’est une première. Et une première ô combien originale ! Le cinéma d’Avesnes proposera dès demain le premier pop-corn 100 % Avesnois. Comprenez par-là que du maïs, matière première, jusqu’à la machine qui le transforme en pop-corn, tout se fera localement. “C’est un agriculteur du coin qui produit le maïs”, confie Marie Meurant, médiatrice culturelle au sein du collectif Parasites. Collectif qui, en partenariat avec la municipalité, tient à favoriser les circuits-courts. “Avant on recevait les pop-corn dans des grands sachets, et il suffisait de les réchauffer.”

• Michel Bescou, Paul Cornec et Jean-Jacques Doaré, bien connus des Audiernais et des Capistes, n’ont pas manqué de rassembler autour d’eux nombre de connaissances et d’amis ainsi que des passionnés d’histoire locale, samedi, lors d’une séance de dédicaces de leur ouvrage commun « Audierne au fil du temps », à Ar Vro. « Les retours sont très positifs. Les gens du coin retrouvent des photos de leurs ancêtres ou d’eux-mêmes, parfois plusieurs fois », s’amusait Paul Cornec.

• Le Centre Vidéotron est gros, blanc et vide ! Afin de cacher cet éléphant blanc, on l’a entouré à grands frais du Grand Marché. Heureusement, celui-ci répond réellement à un besoin pour les gens du coin et est devenu une destination intéressante pour les gens de la banlieue. Ce ne sera malheureusement pas le cas avec le nouveau projet concernant l’ancien Colisée. En effet, malgré tout l’effet « wow » avec lequel on essaie de l’envelopper, il y a déjà un skate park et de l’escalade offerts par le Rock Gym juste à côté du site !

• Il se dit que les Embiez, l’île voisine du Gaou, bénéficient déjà de belles retombées économiques, grâce aux chambres d’hôtels réservées par l’équipe de tournage. Sans compter les restaurants, les commerces du coin qui pourraient aussi en profiter…

• III- d’arrêter cette croissance de centres commerciaux périphériques, goudronnant des milliers d’hectares de nature où l’eau ne sait plus aller que pour gonfler les anciens fleuves et créer des catastrophes. De conclure des traités avec des pays qui ne respectent pas nos normes alimentaires (pesticides). Le coup du potager-kolkhose du coin des communistes, on ne nous la refera pas. Produire local, et sans obsession de profit en croissance démesurée, oui —

• @Contra Injusticia retorns ... Réfléchis un tout petit peux.... A Salse cela brule tout les ans au même endroit ... Un touriste vachard qui n aime pas Salse ??? ou plutôt un Pekin du coin ??

• Et une fois pourvu d’ancrage dans la capitale politique, on se nourrit de la mamelle de la corruption politique, on se donne une fausse représentation de sa contrée d’origine, on s’approprie de façon unilatérale de la voix légitime de sa Région éloignée, le statut de petit spoliateur du coin est dépassé pour devenir une fois dans la capitale un vaurien voulant s’occidentaliser à coup de banditisme organisé nécrophage au détriment de tout un peuple…