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Il y a 65 citations sur la démographie.
Pour le président de Century 21, le fait de voir le marché se fermer peu à peu pour cette part de la population, souvent primo-accédante, est inquiétant. « C’est problématique parce que ce qui va réguler le marché immobilier dans les 30 ans qui viennent c’est la démographie et les primo-accédants », déclare-t-il au micro de BFM. « Malheureusement cette tranche d’âge, et souvent ce sont des primo-accédants, eux ils sont très affectés par tous les facteurs négatifs du marché », souligne Charles Marinakis. Mieux Vivre Votre Argent — Immobilier : la part des acheteurs de moins de 30 ans en recul
Le dernier rapport du Conseil d’orientation des retraites confirme ce que nous savions. Même si un effet conjoncturel met notre système à l’équilibre, sa trajectoire reste préoccupante. En 2030, le déficit du système serait autour de 25 milliards d’euros. Une somme qu’il faudrait financer par l’impôt ou la dette (qui n’est qu’un impôt différé). La loi d’airain de la démographie fait son œuvre. La retraite était initialement une aide pour ceux qui avaient la chance de vivre au-delà de la vie professionnelle. Réforme des retraites, c'est la bonne ? Le match de la rédaction
L'ambition de l'édile est donc de réinventer la zone, centrée sur l'habitat intermédiaire à destination des jeunes actifs. « Dans quelques années nous pourrons être très attractifs pour cette typologie d'habitants, entre les emplois de la zone industrielle Val Francilia , qui prend de l'essor, et la gare de la ligne 16 du Grand Paris Express qui doit s'implanter dans le quartier », se réjouit l'édile. Mais pour cela, estime-t-il, il faut anticiper une augmentation de la démographie scolaire, les actifs de 23 à 30 ans étant souvent de jeunes parents. D'où les cinq classes encore vides. Les Echos — Aulnay-sous-Bois créé une école pour changer le visage du quartier «Vieux Pays» | Les Echos
“Jusqu’à la fin des années 90, l’effet de décohabitation contribue plus que la croissance de la population à l’augmentation du nombre de résidences principales dans la région”, écrit l’Insee. Mais depuis les années 2000, la tendance s’est inversée. Ainsi entre 2013 et 2018, la démographie galopante que connaît l’Occitanie contribue à 55% à cette hausse des résidences principales (contre 45% pour la diminution de la taille des ménages). Le Journal Toulousain — Les divorces ont fait doubler les résidences principales en Occitanie
Des besoins croissants pour répondre à l'inflation des prix, au mal-logement, à la démographie dynamique, à l'accueil de nouvelles populations, aux recompositions familiales, à la décohabitation des jeunes étudiants, au développement économique des territoires, etc. Notre pays connaît une crise de l'offre de logements dont les conséquences humaines seront dramatiques. Les prix vont continuer à monter fortement, amputant le pouvoir d'achat des populations modestes et des classes moyennes, les reléguant vers des logements dégradés et bloquant l'ascension sociale par l'accession à la propriété. La Tribune — Refuser de construire, c’est renoncer à loger