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Citations sur le d'entre - Page 5
Il y a 510 citations sur le d'entre.
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Susan Sontag, dans sa postface à L’Affaire Toulaév (le roman des grandes purges staliniennes, inspiré par l’assassinat de Kirov et les procès de Moscou, d’une ambition proprement dostoïevskienne), suggère que le cosmopolitisme forcé de Serge, né russe en Belgique de parents exilés politiques, puis fréquentant les anars en France et à Barcelone avant de rejoindre la révolution des Soviets, de monter en grade à Petrograd, de rôder à Vienne et à Berlin comme agent de la Troisième Internationale, de participer à l’Opposition de gauche avec le who’s who des futurs fusillés et... Serge d'entre les morts
Le Devoir.com -
Malgré ces défis, la confiance des dirigeants dieppois augmente pour le second semestre 2023, avec 66 % d'entre eux se déclarant confiants, par rapport à 52 % au semestre précédent. Les freins au développement des entreprises montrent des signes de régression, bien que la hausse des prix des matières premières et de l'énergie reste une préoccupation majeure.
Dans le pays dieppois, un ralentissement économique mais la confiance des dirigeants progresse selon la CCI | La Gazette Normandie -
Il faut aussi bénéficier d'une relation de confiance et celle-ci s'établit avec la population quand le candidat à la députation a su démontrer sa compétence comme élu local en étant tout à la fois l'élu de tous, mais aussi l'expression d'une fraction d'entre eux ; sa sensibilité politique est aussi un des facteurs de sa légitimité à court terme et à moyen terme.
Jacqueline Sainclivier — « La légitimité des députés bretons dans l'entre-deux-guerres : approche prosopographique » -
Les femmes ne sont pas en reste, puisque 46% d'entre elles considèrent que les hommes doivent eux aussi se dépiler pour être séduisants. Un chiffre bien éloigné de celui de leurs homologues masculins, mais qui indique que la pilosité peut également devenir une préoccupation masculine.
RTBF — Epilation et rasage : la majorité des hommes conscients de la pression subie par les femmes - rtbf.be -
Peu d'entre eux ont pris en considération le rôle des mrabtin dans la communauté villageoise. Leur ignorance et leur approche dénigrante de l'islam ont exigé des convertis des grands écarts et des sauts culturels et identitaires impossibles à accomplir.
Karima Direche — Convertir les Kabyles : Quelles réalités ? -
Après un précédent mouvement le 24 décembre puis le 14 janvier, c'est ce samedi que des employés pourraient à nouveau décider de débrayer entre 14h et 17h. Un appel a été lancé en ce sens par certains d'entre eux, sans concertation préalable avec les représentations syndicales, d'après ce que nous a expliqué l'une d'entre elles.
MacGeneration — Apple Store : un appel à débrayer suivi par des salariés ce samedi 1er avril 🆕 | MacGeneration -
Il y eut aussi un petit courant « pacifiste » en France même, le courant zimmerwaldien, rassemblant des socialistes et des syndicalistes qui rejetaient, pour une part d'entre eux, l'idée révolutionnaire.
Jean-Jacques Becker et Gerd Krumeich — La grande guerre -
Poursuivant des cavaliers ennemis sur la grande route dans la direction de Gérone, [Sans-Gêne] reconnaît que plusieurs d'entre eux portent l'uniforme des émigrés français. Elle leur crie qu'ils vont être coupés, et leur indique le bon chemin avec le conseil de fuir au galop.
Émile Cère — Madame Sans-Gêne et les femmes soldats -
Nous laissons beaucoup trop les Alsaciens « cuire dans leur jus », nous les abandonnons trop à l'horizon confiné de ce couloir d'entre Vosges et Rhin où la fermentation d'un particularisme fanatique finit par exhaler une agressive odeur de renfermé.
Ludovic Naudeau — La France se regarde : le Problème de la natalité -
Il ne s'arrête pas aux fruits savoureux seulement, il recueille tous ceux qui ont quelque beauté de couleur ou forme; il en fait des chapelets... Il donne à quelques-uns d'entre eux des noms charmants: carribonnets (les fruits du fusain), cochonnets et nioniottes ou petits riens (les fruits églantier).
Eugène Noël — La Vie des fleurs. -
Ces événements tragiques avaient été tournés en dérision par des internautes chinois, parlant de climacophobie généralisée (la peur d’utiliser des escaliers). Plusieurs d'entre eux s’étaient mis en scène, souvent avec humour, pour montrer comment éviter d’avoir un accident.
Les Observateurs - France 24 — Mais pourquoi les escalators chinois font ils si peur ? -
Pour la prévenir, il est un remède, le châtrage. Voici succinctement comment le charron y procède. D'abord il retire tous les rivets du fer et le fer lui-même. Puis il désassemble quelques-unes des jantes qui composent la jante totale et, sur les faces de deux, ou de quatre d'entre elles, sur les faces qui les font se toucher l'une l'autre, il rogne quelques millimètres ; il les châtre.
Louis Baudry de Saunier — L'automobile -
Pour la prévenir, il est un remède, le châtrage. Voici succinctement comment le charron y procède. D'abord il retire tous les rivets du fer et le fer lui-même. Puis il désassemble quelques-unes des jantes qui composent la jante totale et, sur les faces de deux, ou de quatre d'entre elles, sur les faces qui les font se toucher l'une l'autre, il rogne quelques millimètres ; il les châtre.
Louis Baudry de Saunier — L'automobile -
Comme il fallait absolument, pour leur propre tranquillité, détourner l'attention des courtisans, ils cherchèrent quelqu'un – quelqu'une plutôt – qui pourrait servir de chandelier. Ce chandelier qu'un certain Alfred de Musset mettra un jour si joliment en scène. Les amoureux passèrent en revue celles qui auraient l'honneur d'attirer l'attention – fictive – de Louis. Madame se méfiait – avec juste raison – d'un trop séduisant « chandelier ». Elle connaissait déjà bien le tempérament infiniment inflammable de son beau-frère, et elle ne voulait pas qu'un simple badinage pût devenir – qui sait? – quelque chose de plus sérieux. Après avoir éliminé les dames ou filles d'honneur trop âgées, trop vilaines – ou trop jolies au goût de Madame – trois d'entre elles restent en lice [...].
Monique de Huertas — Louise de La Vallière -
Pour le surplus, soit un capital de 4 milliards 25 millions de dollars, la France remit aux États-Unis 62 obligations, datées du 15 juin 1925, et payables au gouvernement des États-Unis ou à son ordre, chacune d'entre elles correspondant à l'une des 62 annuités échelonnées de 1926 à 1988.
Camille Aymard Devons-nous payer l'Amérique ? — Éditions Ernest Flammarion -
Je ne pus réussir à attraper un seul requin […]. Et cependant, lorsque je tuais l'un d'entre eux avec ma carabine sprinfield, c'était aussitôt une bataille féroce autour du festin cannibale.
Alain Gerbault — À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti -
Sous le marteau-pilon des mortiers ennemis, les quatre blockhaus de maçonnerie étaient effondrés, et deux d'entre eux sur les défenseurs, mais le cache-flamme des fusils- mitrailleurs luisait encore au créneau des deux autres.
Jules Roy — La bataille dans la rizière -
Pour beaucoup d'entre nous, le verbe braire caractérise le cri de l'âne, de l'ânesse ou de leurs ânons. Cependant, dans le nord de la France et en Wallonie, il est employé en place de pleurer. Une mère excédée pourra dire à son enfant : « Arrête de braire ! » ou rapporter à son mari que le petit « n'a pas arrêté de braire toute la journée ».
Le Figaro — «Arrêter de braire» : que veut dire cette expression ? -
Des neuroscientifiques suisses se sont intéressés au phénomène. Ils ont voulu vérifier qu'il touchait aussi bien les bébés que les adultes. En effet, lequel d'entre nous n'a pas senti ses paupières devenir lourdes lorsqu'il était bercé par les oscillations d'un train ou celles d'un hamac ? Résultat de l'étude : le bercement double tout bonnement la vitessevitesse d'endormissement.
Futura — Pourquoi bercer Bébé permet-il de l'endormir ? -
Je me suis rappelé un étudiant du cours de littérature américaine qui était revenu d'un été passé à Haight-Ashbury à San Francisco, le crâne rasé. Bon nombre d'entre nous, créatures plus orthodoxes, enviions ce jeune cinglé, ses chemises en batik et ses pantalons élimés.
Jim Harrison — De Marquette à Veracruz -
Quelques-uns d'entre eux dénichèrent la baille à chaux sur le gaillard d'avant et s'en barbouillèrent complètement.
Dumont d'Urville — Voyage au Pôle Sud -
L'un muni de quatre cavités reçoit l'arsénolite dans deux d'entre elles dont la température est mesurée par des thermocouples. L'autre porte quatre cristaux de fluorine.
Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences — tome 266 -
Les esprits, après la mort et dans l'extase, y [dans les mondes supérieurs] sont transportés. Mais quelquefois ils descendent sur notre globe, où ils font craquer les meubles, se mêlent à nos divertissements, goûtent les beautés de la nature et les plaisirs des arts. Cependant plusieurs d'entre nous possèdent une trompe aromale, c'est-à-dire derrière le crâne un long tuyau qui monte depuis les cheveux jusqu'aux planètes et nous permet de converser avec les esprits de Saturne; les choses intangibles n'en sont pas moins réelles, et de la terre aux astres, des astres à la terre, c'est un va-et-vient, une transmission, un échange continu.
Flaubert — Bouvard et Pécuchet -
Girardin pense « qu'on devrait aussi mettre au nombre des armes des végétaux ces enveloppes dures, solides et ligneuses qui recèlent entre leurs parois, comme dans un fort qui paraît inexpugnable, l'amande de certaines espèces de fruits. On pourrait également compter parmi les armes des plantes l'odeur de quelques-unes d'entre elles, qui souvent est si fétide, qu'elle repousse les animaux qui veulent en approcher. » Privat-Foc.1870.
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Le ciel et la terre, les divins et les mortels sont appropriés ou s'approprient réciproquement dans la mesure où aucun d'entre eux ne va sans les autres, dans la mesure où, pour parler de manière grecque, chacun reçoit son « être » de celui des autres auxquels il est ainsi (confié)
Didier Franck — Heidegger et le Christianisme : L'explication silencieuse -
Nommerai-je ici quelques-unes de ces affections (…) dont beaucoup d'entre nous sont largement apanagés, (…) les taies, le glaucome, l’albugo.
A. Pommier — De l'Athéisme et du déisme -
En effet, beaucoup d'entre nous l'avons remarqué, le meilleur dans l'escargot à la bourguignonne, c'est sa merveilleuse farce aillée.
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Les rouleaux d'appui (15, 22) forment un triangle acutangulaire, deux d'entre eux étant associés à une voie de guidage et le troisième à l'autre voie de guidage (14 ou 20a).
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Les explications proposées furent nombreuses; mais en pareille matière on ne peut pas dire qu'abondance de biens ne nuit pas; tant que l'une d'elles n'aura pas triomphé des autres, nous ne pourrons pas être sûrs qu'aucune d'entre elles soit bonne.
Henri Poincaré — La Valeur de la science -
La moitié d'entre nous est abolitionniste mais l'autre moitié considère que les prostituées sont des travailleuses du sexe pour qui il faut, à court terme, obtenir des droits sanitaires et sociaux.
Le Monde — "Prostitution : l'Assemblée affirme "la position abolitionniste de la France" -
Les femmes portent à la ceinture une espèce de toile ou de pagne, qui faisant plusieurs fois le tour du corps, les enveloppe jusqu’aux pieds ; certaines d'entre elles portent une jupe d’abaca (1) dont la toile fine et claire les oblige, par modestie, et en replier un coté en avant, par la ceinture & alors elles ont une jambe nue.
Pierre Blanchard — Le Voyageur de la jeunesse dans les quatre parties du monde -
Comme toujours, un nouveau film Ghibli et à fortiori un film de Miyazaki est extrêmement attendu. Eh bien sachez déjà au moins que le prochain d'entre eux est une merveille.
gameblog — Ghibli : le prochain Miyazaki est une merveille, premiers avis -
En apparence, rien n'a l'air plus simple que de rejoindre sa chambre au sortir de la salle de bains, mais ne nous y trompons pas, ils sont légion ceux d'entre nous qui ont silencieusement disparu sur de tels trajets.
Louis Calaferte — Promenade dans un parc -
Rends-toi compte que la plupart d'entre eux ne savent même pas qu'il y a dix ans ont eu lieu les procès politiques à Prague.
Milan Kundera — La plaisanterie -
Mille et un livres! C'est beaucoup - et c'est peu. C'est beaucoup pour une seule personne, pour vous ou pour moi. Et je doute que même les plus cultivés d'entre nous aient une connaissance approfondie des héros et des aventures de chacun de ces ouvrages. C'est peu, et même très peu, au regard des centaines et des centaines de milliers de livres qui ont vu le jour, à un rythme sans cesse croissant, depuis vingt ou vingt-cinq siècles - Jean d'Ormesson
Jean d'Ormesson — Les 1001 livres qu'il faut avoir lus dans sa vie -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
les hommes découvrent et ils inventent. Quand ils découvrent, les unes après les autres, les lois cachées de la nature et ce qu'ils appellent la vérité, ils font de la science. Quand ils se livrent à leur imagination et qu'ils inventent ce qu'ils appellent de la beauté, ils font de l'art. La vérité est contraignante comme la nature. La beauté est libre comme l'imagination. Copernic découvre. Galilée découvre. Newton découvre. Einstein découvre. Et chacun d'eux détruit le système qui le précède. Homère invente. Virgile invente. Dante invente. Michel-Ange, Titien, Rembrandt, Shakespeare, Racine, Bach et Mozart, Baudelaire, Proust inventent. Et aucun d'entre eux ne détruit les oeuvres qui le précèdent.
Jean d'Ormesson — C’est une chose étrange à la fin que le monde -
L'allégresse et l'angoisse. Ce qu'il y a peut-être de plus remarquable à la fois dans l'histoire et dans l'existence de chacun d'entre nous, c'est cette sorte d'équilibre qui n'est jamais rompu entre le bonheur et le malheur. On dirait qu'une force mystérieuse les empêche l'un et l'autre de s'installer pour toujours.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
L'allégresse et l'angoisse. Ce qu'il y a peut-être de plus remarquable à la fois dans l'histoire et dans l'existence de chacun d'entre nous, c'est cette sorte d'équilibre qui n'est jamais rompu entre le bonheur et le malheur. On dirait qu'une force mystérieuse les empêche l'un et l'autre de s'installer pour toujours.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit