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Citations sur le côtoyer

Il y a 90 citations sur le côtoyer.

• Le fou et le photographe sont quand même assez proche. C'est quand même un peu une folie de faire sa valise, d'emporter des films vierges, un appareil, de prendre un avion, de côtoyer des hommes d'affaires ou des gens qui voyagent pour des raisons sentimentales.

• Nous reçûmes l’ordre de côtoyer en le remontant le ruisseau de la Tourbe, qui arrose la plus triste vallée du monde, entre des collines basses, sans arbres et sans buissons.

• Son goût pour un bestiaire insolite le conduisit ainsi à faire se côtoyer « le pangolin, le condylure, l’ornithorynque, l’axolotl ou l’héloderme suspect ».

• On côtoie ensuite la rive droite du Loing par un chemin ombragé fort agréable, qui traverse la Croisière, Dordives, où l'on entre dans le département du Loiret, Ferrières, Puits-la-Lande et Montargis, ville agréablement située sur la rivière et le canal du Loing.

• Parfois on côtoie le danger sans le percevoir, parce qu'on n'y réfléchit pas, ou que l'on ne croit pas à sa menace.

• Risque. Piment bien connu de l'amour, qui aime côtoyer le scandale et la mort.

• Et depuis quelque temps, c’est dans la rivière Saint-Maurice qu’elle s’entraîne. Ramer en eau vive lui fait le plus grand bien, tout comme le fait de côtoyer d’autres canoéistes.

• Des Roméo et Juliette, des Carmen, des Anna Karénine et des Emma Bovary risquent-ils de nous côtoyer dans la vraie vie ? Explorer les méandres du sentiment amoureux au prisme du "chimisme" de la dépendance amoureuse. Explorer l’idéal universel des relations amoureuses. En quoi et pourquoi l’amour peut rendre dépendant. Comprendre que la dépendance amoureuse peut être positive quand elle est suscitée par un amour partagé, ou négative quand elle est le fruit d’un amour inaccessible…

• En 1974, Ali met Foreman K.O au Zaïre. Malcom X et Luther King ne sont plus, mais pour ce « Combat du Siècle », Mobutu a invité des poids lourds de la musique engagée qu’Ali va accueillir et côtoyer avant son combat. Pendant trois jours, Soul Power et Black Power font danser le monde. L’Afrique invite l’Amérique. Myriam Makeba croise James Brown, BB King, Bill Withers et Celia Cruz… Leur cri résonne encore dans l’Amérique d’aujourd’hui.

• il a été fait honneur au travail accompli. Agent de bureau dactylographe en 1986, Anne Marie assurera avec succès les grades successifs pour devenir rédacteur principal, un beau parcours et une belle carrière. Christophe Durand, rendra hommage à cette administrative sur qui on peut compter et se fier aux décisions. Alain Bouis, lui reconnaîtra de grandes compétences, « tatillonne, ajoutera-t-il, mais c'est une qualité très appréciable. Je me régale d'avoir travaillé 12 années avec vous, sans oublier votre gentillesse avec un personnel ravi de vous côtoyer ».

• Si nous avons eu du mal à nous faire au confinement, qu'en sera-t-il le 11 mai, lorsque nous pourrons à nouveau sortir alors que le danger n'est pas écarté ? Les Français réussiront-ils à se côtoyer et à se mélanger comme avant, notamment dans les transports et les lieux publics, où développeront-ils une agoraphobie liée au Covid-19 ?

• La ville incarnait la toute-puissance de Rome sur la frontière sud de l'Empire. Sa population cosmopolite a vu se côtoyer les adorateurs des dieux anciens et les chrétiens. Pendant un certain temps, Thamugadi était une place forte de la secte chrétienne hérétique des donatistes.

• Thierry Ardisson ne devrait pas côtoyer ce Président Macron qui a fait voter en catimini durant la crise du covid19 un décret abjecte. L’association de protection des animaux dénonce l’adoption d’un décret en mars dernier, permettant de vendre son chat ou son chien à un laboratoire d’expérimentation. Une possibilité qui était réservée uniquement à des fournisseurs ou des élevages agréés.

• Elle est habituée à côtoyer la souffrance, y compris psychologique. Mais là, le patient est allé trop loin. Une infirmière libérale qui intervenait quasi quotidiennement chez un Bordelais de 75 ans souffrant de divers troubles, dont des troubles érotomaniaques, a fini par porter plainte.

• Depuis plusieurs mois, Florence Rattot, qui a exercé, pendant 14 ans, le métier d’assistante maternelle, était vainement à la recherche d’un emploi. Cliente des bougies parfumées Partylite, elle saisit, en fin d’année, l’opportunité qui lui est offerte de passer de cliente à conseillère démonstratrice. « Je me suis lancée car j’avais besoin de côtoyer du monde. Je suis quelqu’un qui aime le relationnel et la liberté de l’organisation du planning de cette activité me convient parfaitement. »

• Désormais, le jeune gardien s’entraîne régulièrement avec le groupe professionnel. L’occasion pour lui de côtoyer Baptiste Reynet, l’actuel titulaire de l’équipe première. « Il est comme un grand frère pour moi, confie l’ancien albertvillarien. Il ne me donne que des conseils positifs ». Séduit par son potentiel, de nombreux clubs continuent de suivre sa progression. Encouragé par le staff professionnel à rester au club, Lévy Kahamba Ntumba ne cache pas sa position : « Dijon, c’est mon club formateur, donc ça me ferait très plaisir de passer pro ici ».

• «J’ai eu le privilège de côtoyer celui que je surnommais le pionnier de la motivation positive. Je me souviens de son franc-parler et son humour. Jean-Marc Chaput a eu une incidence sur la vie de milliers de personnes. Il a été et sera toujours pour moi, un allumeur de conscience qui nous rappelle que nous avons le pouvoir de changer les choses» a écrit l’animatrice Chantal Lacroix.

• « Nettoyer, balayer, astiquer ». 32 ans après sa sortie sur les ondes, les paroles endiablées de Zouk Machine invitent toujours à se déhancher et se déplacer. Tout le contraire de My Little Pressing, la start-up lyonnaise qui, à défaut de balayer et astiquer, se propose depuis huit mois, de nettoyer tous nos costumes et autres manteaux habituellement destinés à côtoyer les machines du pressing.

• Quand nous croisons un de ces prédateurs, c’est pour notre malheur. C’est qu’ils savent l’art de séduire. Et de nous entraîner dans leur ronde autolâtre. Jusqu’à ce que tout bascule. Ils avancent masqués. S’ils séduisent, c’est que nous ignorons à qui nous avons affaire. Quand nous le comprenons, c’est souvent trop tard. Un air glacé glisse sur notre nuque. Nous arrive-t-il de côtoyer l’un d’eux, sachant ce qu’il a fait ? Une sueur froide coule dans notre dos.

• Mais le jeune homme d’alors sait bien que s’il veut devenir avocat « avec pignon sur rue, cela va être compliqué ». Nouvelle bifurcation donc pour la comptabilité cette fois, pour satisfaire sa passion pour les chiffres. Après une maîtrise et un DES en droit des affaires, Guy Delsescaux gagne le monde du travail où il œuvrera principalement au sein des groupes EDF et GDF-Suez, notamment au poste de directeur départemental, régional puis directeur délégué approvisionnement et logistique France pour ERDF et GRDF. Des fonctions à Lille qui l’amèneront à côtoyer quelques personnalités politiques de premier plan.