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Il y a 49 citations sur le choucas.
Crré. Crré. Crré… Tek ! Tek ! Tek ! Tiens ! Un choucas… Samivel — L’amateur d’abîmes
Si tu ne veux pas que les choucas t'assiègent de leurs cris, ne sois pas la boule d'un clocher. Johann Wolfgang von Goethe
L'aigle vole seul ; ce sont les corbeaux, les choucas et les étourneaux qui vont en groupe. John Webster
Sur le département du Finistère, un changement dans le mode de prélèvement s’est opéré l’année dernière : 7 secteurs prioritaires ont été répertoriés par arrêté préfectoral, dans lesquels des tireurs désignés interviennent. « Auparavant, chaque lieutenant de louveterie pouvait prélever 100 choucas. Désormais, 2 tireurs sont désignés dans ces communes jugées prioritaires, chaque tireur peut prélever 20 choucas à l’année, quelle que soit la superficie de la commune… », fait observer René Gourves, président de la société de chasse de Pleyben (29). Journal Paysan Breton - Hebdomadaire technique agricole — Choucas des tours : Des producteurs excédés par les dégâts | Journal Paysan Breton
Le choucas des tours mesure environ 33 cm et se distingue du corbeau par une plage gris clair à l'arrière de la tête. Le Figaro.fr — Bretagne: appel à l'aide des agriculteurs face aux dégâts des choucas
Dans un courrier en date de mardi, le député (MoDem) du Finistère Erwan Balanant attire l’attention de la ministre de la Transition écologique et solidaire, Élisabeth Borne, sur les dégâts causés aux cultures par les choucas des tours. Le Telegramme — Choucas : le député Erwan Balanant propose un fonds d’indemnisation - Bretagne - Le Télégramme
Le 30 septembre 2019, le conseil municipal décidait de soutenir la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) pour le plan d’alerte suite aux dégâts causés sur les cultures par les choucas des tours, espèce protégée. « Nous attendons toujours des réponses concrètes à ce problème devenu vital pour la plupart des exploitants qui doivent investir davantage pour faire face à ce fléau », explique Jean-Louis Colloc, agriculteur renanais et adjoint au maire. Le Telegramme — Choucas des tours : les exploitants agricoles veulent des solutions - Saint-Renan - Le Télégramme
Lundi, les agriculteurs, excédés par les destructions de cultures provoquées par les choucas, avaient rendez-vous sur le terrain à Milizac, avec Agnès Kerbrat, représentante de la FDSEA et Romain Louzaouen (Jeunes agriculteurs). Le Telegramme — Les agriculteurs excédés par les choucas des tours - Milizac-Guipronvel - Le Télégramme
Pour effrayer le oiseaux, ceux-ci multiplient les méthodes : rubalise en guise d’épouvantail, présence, bruit… en vain ! Les oiseaux attendent qu’ils aient le dos tourné pour fondre sur les cultures. Le choucas des Tours, aussi appelé corbeau chouca ou corneille des clochers, de la famille des corvidés, est une espèce protégée depuis 2009 au niveau européen et sa population croît de manière exponentielle, causant d’importants dégâts dans les cultures de la région depuis quelques années. Le Telegramme — Une dizaine d’hectares de maïs ravagés par les choucas - Plouigneau - Le Télégramme
« C’est la seule à se plaindre dans le voisinage, assure le couple. C’est comme si nous utilisions les effaroucheurs dans le but d’embêter les gens. Or, c’est aujourd’hui la solution préconisée par les services de l’État face à la prolifération des choucas ». Anne-Marie Ollivet indique n’avoir jamais connu de problèmes de voisinage en 35 ans d’exploitation. « Du fait des dégâts sur nos cultures, nous avons dû resemer, le 20 mai, un hectare du champ concerné. S’il n’y avait pas eu de resemis, l’effaroucheur serait aujourd’hui inutile », explique Denis Ollivet. Le Telegramme — Des agriculteurs démunis face aux choucas - Carhaix - Le Télégramme
D’autres techniques pour faire partir les choucas sont utilisées mais leur efficacité est limitée. Les agriculteurs souhaitent clairement que les quotas de chasse soient revus à la hausse. « On ne vit qu’autour du choucas », se lamente l’agriculteur. « Le matin on fait le tour des parcelles pour se rendre compte si la dernière ensemencée a toujours ses plants de maïs ou de petits pois ». LA VDN — Le choucas détruit leurs parcelles, les agriculteurs réclament la régulation de cette espèce protégée
Réunis mercredi 17 juin, chez Romain Evenat, à Kerbiliguet, les agriculteurs examinent avec amertume les trous laissés dans la terre par les petites pousses de maïs arrachés par les choucas. « huit hectares sur vingt ont été ravagés », rappellent-ils de concert. La population locale atteint 400 000 à 450 000 choucas. « À Châteauneuf, il y a un délégué de chasseurs qui a le droit d’en tuer 40 par an, » ajoutent-ils. Le Telegramme — La grogne monte face aux dégâts causés par les choucas - Châteauneuf-du-Faou - Le Télégramme
Quelques agriculteurs de Briec, Edern, Pleyben et Commana, se sont retrouvés, jeudi, au GAEC Bourveau- LEAP, à Briec, pour exprimer leur détresse face aux ravages causés par les choucas des tours sur leurs cultures. L’un d’eux évoque 8 ha de maïs à ressemer sur 50 ha à Edern, un autre 7 ha sur 31 ha de maïs ressemés l’an dernier à Briec, un troisième 2 ha impactés sur 35 ha à Pleyben et un quatrième 22 ha à ressemer sur 47 ha, à Briec ! Le Telegramme — Des agriculteurs du Pays Glazik exaspérés par les choucas - Briec-de-l'Odet - Le Télégramme
« C’est une véritable catastrophe, imaginez quatorze hectares de maïs semés il y a un mois, quasiment détruits, avec obligation de ressemer ! ». Ronan Helou et son épouse Marianne, agriculteurs, estiment la perte à 1 400 € par hectare, sans possibilité d’indemnisation. Ce sont les choucas des tours, à la recherche d’insectes à proximité des graines, qui déterrent les plantules. Ces volatiles n’ont pas de prédateur et sont aujourd’hui protégés et prolifèrent à vue d’œil. Le Telegramme — Choucas : de gros dégâts sur le maïs et dégradation de la cage de piégeage - Querrien - Le Télégramme
C’est en quelque sorte une conséquence indirecte du coronavirus : pendant que la France entière, et la Bretagne également, étaient confinées, certaines espèces ont pu se reproduire en paix. Ainsi, non seulement les corbeaux, mais aussi les choucas, pigeons, corneilles et pies ont pu voir leur population se multiplier, sans chasseurs ni même présence humaine. ConsoGlobe — Les champs de Bretagne envahis par des hordes de corbeaux
L’oiseau sera confié ce samedi après-midi à un vétérinaire d’Essey-lès-Nancy ; un centre de sauvegarde d’Alsace va venir le chercher ce dimanche, il sera rapatrié avec deux autres choucas. Une séparation qui lui arrache le cœur mais comme elle le dit, « ce sont des animaux qui s’apprivoisent très facilement, il ne faut pas essayer de les maintenir en captivité. Leur place est dans la nature. » Insolite | À Dommartin-lès-Remiremont, une chaîne de solidarité s’organise pour sauver un choucas des tours
Cornouaille. Pour les naturalistes, la chasse n’est pas la solution au problème du choucas. Partout en Cornouaille les agriculteurs calculent les dégâts commis par les choucas sur leurs semis, de maïs généralement. Et ça chiffre ! Ils demandent que le corvidé fasse l’objet de campagnes d’abattage. Les naturalistes, eux, pensent que la solution est ailleurs et rappellent que la situation actuelle n’est pas tout à fait un hasard. [Plus d’infos] Le Telegramme — L’actu du jour : anti-stup, encre, camping, choucas et virée - Quimper - Le Télégramme
FDSEA, Jeunes agriculteurs et Chambre d’agriculture du Finistère parlent un même langage : les choucas des tours sont des espèces protégées mais les dégâts qu’ils occasionnent sur les cultures sont de plus en plus importants. Ces corvidés mangent les semis de maïs, les échalotes, les choux… Obligeant les agriculteurs à ressemer sur leurs terres dévastées. « Le coût est estimé à 500 € par hectare, soit environ 850 000 € en 2019 sur le territoire. Ce sera encore plus en 2020 », explique Jean-Hervé Cogan, président de la Chambre de l’agriculture du Finistère. Le Telegramme — Choucas des tours : les agriculteurs n’en peuvent plus - Capsizun - Le Télégramme
« En 2019, ce sont 3 000 hectares qui ont été touchés dans le département. La facture atteint 260 000 € », estime Frank Guéhénnec, président de la FDSEA. Le choucas est une espèce protégée. Dans le Finistère, où les dégâts sont autrement plus importants, un arrêté préfectoral, actuellement en consultation, prévoit la destruction de 12 000 choucas d’ici à la fin décembre 2020. En Côtes d’Armor, 8 000 volatiles doivent être éliminés d’ici à la fin septembre 2021. En Morbihan, où, jusqu’à présent, le problème était moins prégnant, seuls 150 volatiles sont prélevés chaque année. La profession en demande plus. Journal Paysan Breton - Hebdomadaire technique agricole — Les choucas passent à table | Journal Paysan Breton
Le choucas des tours, espèce protégée depuis 1989, cause de gros dégâts aux cultures depuis quelques années, en particulier aux semis de maïs. Une douzaine d’agriculteurs scaërois ont été touchés cette année, ce qui représente une surface totale d’une trentaine d’hectares de maïs. L’an passé, les choucas s’étaient aussi attaqués aux parcelles d’orge. La perte financière est considérable, estimée à 1 500 € l’hectare pour le maïs. Or les agriculteurs concernés n’ont droit à aucune indemnisation de l’État. Le Telegramme — Les dégâts causés par les choucas sur les cultures des agriculteurs doivent être déclarés - Scaër - Le Télégramme