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Citations sur le ces - Page 484

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• Tout comme le pendulaire, il peut emmener un passager à bord. Dès ces jours-ci l’appareil rouge et jaune, va voler régulièrement dans le ciel Carentorien.

• « On espère rouvrir, que tout le monde puisse rouvrir… », ajoute avec tristesse Jenny Lecaplain. En plus de cela, la Carentanaise n’oublie pas de noter quelques problèmes supplémentaires. La gestion des stocks, les frais fixes et salaires ou encore la date des prochaines soldes ne font qu’ajouter des soucis à ces commerçants.

• « L'idée était de faire participer le plus de gens possible à ces échanges. Nous avons même accueilli des Parminois qui ne s'étaient pas inscrits. Le Plu va nous engager pour les trente prochaines années, il était donc important de recevoir les différents avis. Nous voulons faire émerger des idées. »

• QUIZ. La Normandie vue du ciel : saurez-vous reconnaître ces ponts ? Pont de Normandie, pont de Tancarville : autant de ponts célèbres en Normandie. Mais avec des photos aériennes, est-il aussi facile de les reconnaître ?

• Du 3 au 26 mars, le magasin d’alimentation et de produits locaux Bio-Vair, à Vittel, participe à une opération de récolte des chercheurs de l’université de Lorraine. Le but ? Récupérer des smartphones et des tablettes pour améliorer les méthodes de recyclage des composants les plus polluants de ces appareils.

• Le théâtre, le mime, le cirque et la danse sont considérés comme étant le sixième art. Parmi ces pratiques, Amandine Schoumacher, 22 ans, Panazolaise, a été séduite par le pouvoir de la danse.

• Annabelle Bruneau (A.B.) et Michel Lethielleux (M.L.) sont bénévoles à l’association Inter-Seniors, au Neubourg. Tous deux sont retraités : elle depuis neuf ans et lui depuis quinze ans. À l’approche de l’élection présidentielle les 10 et 24 avril, ces Neubourgeois s’intéressent à la campagne électorale. À titre personnel, ils expliquent ce qu’ils attendent des candidats et du futur chef de l’État.

• Sylvie Pasquier n’a quasi plus de goût ni d’odorat. La Brocoise de 53 ans traîne toujours cette séquelle d’un Covid contracté en novembre 2020. Une question la taraude depuis que ces symptômes persistent: «Vais-je retrouver mes sens?»

• Pas moins de 70 emplois (20 % des effectifs sont Candillarguois) et des métiers allant de l’agriculteur au pharmacien, ingénieur agronome, laborantin, en passant par le manutentionnaire, le commercial, le secrétariat etc. Jean-Paul Luu fait toujours passer ces offres d’emploi en priorité au président de l’agglomération du Pays de l’Or et au maire de Candillargues (Phytofrance est d’ailleurs la première entreprise de la commune en nombre d’emplois non saisonniers).

• Malheureusement, ce singulier essai n’aura pas permis aux Oyonnaxiens d’aller remporter la victoire face à Mont-de-Marsan ce vendredi soir. Une défaite à la faveur du SMR qui reprend sa place de leader de Pro D2, au terme d’une féroce bataille entre ces deux équipes du haut de tableau. 

• Les Brigittois peuvent venir à sa rencontre. Elle leur propose de réaliser gratuitement leur portrait. Il suffit de se présenter avec une photo, ce qui permet d’éviter de tenir la pose. Il est envisagé de faire plus tard une exposition de ces « portraits brigittois ».

• La Nancéienne, championne de France du 1 500 mètres en plein air et en salle sera la cheffe de fil tricolore dans la discipline après avoir battu son record personnel en début de saison. Elle a été sélectionné car elle fait partie du top 12 mondial cet hiver si l'on compte deux athlètes par pays et fait donc partie des finalistes potentielles selon Romain Barras, directeur de la haute performance à la fédération française d'athlétisme. La France n'envoie que neuf athlètes à ces mondiaux en salle.

• Mais l’élément qui touchera les Seine-et-Marnais, en particulier les Melunais, c’est que ce tableau est également un élément du patrimoine local. « Melun a un vrai lien avec l’Empire via les fameux mamelouks, Syriens repartis d’Égypte avec Napoléon et qui formèrent sa garde consulaire, puis impériale. Ces mamelouks séjournaient à Melun quand l’empereur était à Fontainebleau, ou en tout cas pas en campagne. Ils logeaient dans ce qu’on appelle anciennement la caserne Breton, en bas de l’Almont. Certains ont épousé des Melunaises et sont même enterrés au cimetière de la commune ! », dévoile Dominique Ghesquière.

• La sélection brésilienne s'adjuge le titre paralympique de goalball masculin. Face aux Sud-Américains, les Chinois n'ont rien pu faire (7-2). Il s'agit de la 20e médaille d'or pour les Auriverdes lors de ces Jeux.

• Car la Beaufortine a tout simplement tout remporté dans sa carrière et à la sortie des Jeux de PyeongChang, les doutes l’ont envahie et elle ne savait pas si elle allait mettre un terme à sa carrière. Le changement de staff qui s’est opéré après ces Jeux et l’arrivée de la concurrence l’ont fait douter. « J’avais du mal à passer au-dessus de ça. »

• Aux manettes pour ces Foulées beaudinoises, les bénévoles de l’association l’Essor Beaudinois, présidée par Stéphane Marchal.

• En revanche, ni billard français ni snooker. « Il fallait faire un choix, fait remarquer Valérie Thaumoux à propos de la place que nécessite ces variantes du billard. 

• Les Diablerets ont mis en service samedi la nouvelle télécabine à dix places du Meilleret. La piste de ski de la Jorasse a elle été réaménagée. Ces travaux étaient une des conditions pour pouvoir accueillir les courses de ski alpin des JOJ de Lausanne 2020

• Le Pas-de-Calais a vécu samedi 6 et dimanche 7 mars son premier week-end de confinement partiel. Mais au cœur du département, une commune a été exemptée de ces nouvelles restrictions : Mœuvres. Aucun traitement de faveur n'a été accordé aux Mœuvriens. En réalité, cette commune d'environ 500 habitants ne dépend pas du Pas-de-Calais, mais du Nord. C'est une enclave. « C'est bizarre ! Pour moi, c'est comme s'il y avait deux poids, deux mesures. Il faut que les mesures sanitaires soient prises », confie le maire de Mœuvres, Gérard Setan, à France Info.

• On les attendait de pied ferme ces Meilhanais samedi dernier. Car ne nous mentons pas, il n’était clairement pas normal de les voir accrochés par la lanterne rouge villeneuvoise (86-87). Un coup de mou sans conséquence mais qu’il ne fallait donc pas réitérer contre les Auscitains dans le « chaudron ».

• Une comédie presque policière mais complètement burlesque proposée par le groupe théâtral de la Vallée du Breuchin. « Une nuit au commissariat. Le Brigadier Jean-Robert et le Tapicaine Quinet sont de garde. Tout pourrait se passer tranquillement, entre petites siestes et petites bières, s’il n’y avait pas la femme de l’un et la mère de l’autre qui débarquent à l’improviste. Et s’il n’y avait pas tous ces gens qui ont des problèmes et qui s’imaginent que la police est là pour les résoudre ! Et le Gorille on en parle, mais... Non, on vous laisse découvrir »

• L'idée des organisateurs de La Mégevanne a été de pousser ce concept encore plus loin en proposant ce trail exclusivement féminin comme course majeure du week-end. La course féminine n'est ainsi pas une course parmi les autres mais LA course centrale de l'évènement avec un parcours, une ambiance et un état d'esprit dédiés à ces dames et demoiselles qui étaient déjà plus de 300 à être séduites lors de la première édition.

• Jean-Michel Levesque, le maire (Lr) de la commune, a retracé l’histoire de ces trois décennies écoulées qui ont vu un château chargé d’histoire devenir la maison commune des Osnyssois. Il se devait de joindre à son récit son prédécesseur, Christian Gourmelen, maire de 1971 à 2011, auquel on doit l’achat en 1987 de ce monument historique.

• La victime, une Brestoise de 22 ans, a été prise en charge par les pompiers et transportée au Centre hospitalier du Scorff, à Lorient. « Finalement, elle n’est pas blessée très gravement », commente la gendarmerie de Lorient. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances de ces faits.

• Un siècle sépare ces deux photos. Actionnez le curseur pour voir la gare de Sannois, en 1910 et en 2010.

• À l’issue de la cérémonie des vœux, samedi, deux Mévennais, Jean-Yves Salaun et Louis Elegoët, ont été mis à l’honneur et ont reçu la médaille de la commune. Ces deux amis d’enfance et anciens voisins, nés tous deux à Diriguin à Saint-Méen, contribuent ou ont contribué à porter haut les couleurs de la commune.

• Historiquement une équipe féminine existait au club de Lacaune depuis une vingtaine d’années. Et ces derniers temps, plusieurs Camarésiennes avaient rejoint cette équipe.

• Jacqueline Hugot, adjointe à la santé, explique l’enjeu de la campagne : « Nous avons choisi ces deux moyens pour attirer deux nouveaux médecins car, durant la campagne des municipales, les Camaretois nous ont fait part de leur inquiétude. En effet, deux de nos praticiens actuels vont prendre leur retraite d’ici la fin de l’année. Le troisième, en activité, ne peut suffire à prendre en charge la totalité de la population et celle de Roscanvel, qui connaît le même problème ».

• L’explication selon Georges Michel, tiendrait « aux résultats des élections municipales à Mazan ». Ces propos sont pour le maire Louis Bonnet, « tout simplement scandaleux et antirépublicain. De quel droit se permet-on ainsi de juger le choix des Mazanais le 28 juin dernier ? Ces propos sont bien sûr une insulte à Georges Michel, élu municipal, chevalier de la Légion d’honneur, colonel en retraite qui a servi durant 31 ans sous notre drapeau de façon exemplaire. Ces propos sont enfin une insulte à Mazan, aux Mazanais et aux Mazanaises.

• Le Bavanais de 37 ans, qui porte un bracelet électronique, ne se montre pas franchement coopératif. Il refuse de se soumettre au relevé d’empreintes et au prélèvement d’ADN. Ou comment accumuler les infractions ! Remis en liberté, le récidiviste doit répondre de ces nombreux délits en novembre devant le tribunal correctionnel de Montbéliard.

• L'Indépendant propose régulièrement des portraits de ces Ornaisonais dont les métiers sont indispensables au fonctionnement du pays. Aujourd’hui, Stéphanie Moreau, aide médico-psychologique, répond à nos questions.

• Cette réunion de quartier, qui a eu lieu mercredi soir à l’école Simon-Lorière, marque le retour de ces événements chers aux Maximois.

• Isabelle Estier-Porte, juriste de la Direction du droit du travail, a présenté ces changements de manière exhaustive.

• A l’est de l’Anjou, le Baugeois regorge de mystères, de contes et de légendes. Un ouvrage leur a même été consacré au début du XXe siècle*. Petit tour d’horizon de ces récits, parfois fantaisistes, au fil d’une balade patrimoniale illustrée par Damien Geffroy.

• Yann Mancel est passionné de kettlebell. Le Caladois participe aux championnats de France ces 26 et 27 février, en Picardie. Quatre mois après son sacre de vice-champion du monde, ajoutera-t-il un nouveau titre à sa jeune carrière ?  Le Progrès est allé à sa rencontre.

• L’Association Cailloutaine d’Activité Physique et Sportive (ACAPS) propose une multitude d’activités autour du « sport santé » et de la remise en forme, pour bouger et se dépenser durant toute l’année. Ces activités s’adressent aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Les inscriptions pour la saison 2021-2022 (du 13 septembre 2021 au 8 juillet 2022) sont ouvertes.

• L’objet de cette convention, présentée lors du dernier conseil municipal jeudi 27 mai, concerne ainsi les jeunes Orgevalais scolarisés en classes maternelle et élémentaire et qui résident dans les deux quartiers excentrés du centre-ville. Selon nos informations, pour le moment environ cinq élèves sont attendus dans le groupe scolaire voisin. La convention prévoit, par ailleurs, que ces familles ne seront pas facturées du « tarif extérieur » pour la cantine et le périscolaire.

• Les trois Méjannaises, comme les quatre-vingt-dix équipes engagées, ont suivi un stage de formation spécifique à ces techniques. La position des balises à rallier et leurs valeurs respectives en points sont communiquées la veille au soir.

• Les violences intrafamiliales ont grimpé en flèche ces dernières années à cause notamment des confinements imposés par la crise COVID. A Saint-Martin notamment où, l’an dernier, les gendarmes de l’île ont recueilli 291 plaintes. Un chiffre en hausse de près de 26%.

• "Par quel miracle aussi poussent ces figuiers qui s’insèrent entre les joints à cette hauteur ?" s’interrogent Cailarens et touristes.