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Citations sur le ces - Page 318
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« En ces moments difficiles nous nous associons à la grande douleur de leur famille respective et présentons nos sympathies attristées au monde de la basoche affecté par cette double peine » lit-on dans une note.
Vant Bèf Info (VBI) — L'ANAMAH attristée par la disparition des membres de la basoche dont Lyonel Chérima -
... lorsque l'art de nos contrées, dans la France du Nord, se haussa jusqu'à ces édifices de pierre dépassant par leurs dimensions le temple grec et la basilique romaine, d'immenses charpentes de chêne ou de châtaignier fournirent une partie de l'ossature intérieure des cathédrales ou des halles qui se dressèrent de Chartres à Ypres.
Vidal de La Blache — Principes de géographie humaine -
…il vaudrait mieux s’inspirer des basilics, ces petits lézards d’Amérique tropicale qui courent sur l’eau à la vitesse de dix kilomètres par heure. L’observation de la mécanique de leurs pas montre qu’ils se décomposent en trois phases.Le lézard frappe la patte à plat sur l’eau, un peu comme lorsqu’un plongeur fait un « plat ». En réaction, l’eau exerce une force sur la patte et la ralentit. La patte s’enfonce néanmoins très rapidement dans l’eau si rapidement que l’eau ne recouvre pas instantanément. Un trou air se forme donc brièvement dans eau au-dessus patte Le basilic retire sa très avant que trou ne remplisse Cette dernière condition impose rythme foulées soit rapide De fait doit quitter moins 50 millisecondes Étienne Klein Marcher
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Selon cet auteur la granitisation et la basification sont complémentaires et constituent les processus pétrographiques les plus aptes à expliquer ces associations qu’elle dénomme « différenciation contractée ».
Annales géologiques de Madagascar — Numéros 26 à 28 -
Cette nuit, une suffocation m’a réveillé. J’ai dû me lever, me traîner jusqu’à mon fauteuil et, dans le tumulte d’un vent furieux, j’ai relu ces dernières pages, stupéfait par ces bas-fonds en moi qu’elles éclairent.
François Mauriac — Le Nœud de vipères -
Le bateau, mal conduit et chargé outre mesure, alla donner dans un de ces bas-fonds qui encombrent le lit de la Loire, et y resta engravé. — (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 2e récit : Suites du meurtre de Galeswinthe — Guerre civile — Mort de Sighebert (568-575), 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
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Toutes ces figures énergiques étaient fortement basanées par le soleil, durcies par les travaux.
Honoré de Balzac — La Femme de trente ans -
Si c’était Tarascon !… Trrr !… Il y a longtemps qu’on l’aurait faite, la trouée ! » Et pendant que Paris s’étranglait avec son pain d’avoine, ces messieurs vous avalaient de succulentes bartavelles arrosées de bon vin de papes, et luisants, bien repus, de la sauce jusqu’aux oreilles, ils criaient comme des sourds en tapant sur la table : « Mais faites-la donc, votre trouée… » Et qu’ils avaient, ma foi, bien raison !
Alphonse Daudet — La défense de Tarascon -
Serge Mallet disait qu'à Vincennes on a distribué les petits postes administratifs aux anciens combattants des barricades, comme on avait attribué les bars-tabac aux veuves de guerre après la guerre de 14. Il appelait ces petits postes de Vincennes les "bars-tabac de la Sorbonne".
L’Université ouverte: les dossiers de Vincennes — présentés par Michel Debeauvais -
C’était une épave, le fragment de la coque d’un navire, un barrot, une de ces poutres transversales sur lesquelles repose le pont.
Robert de La Croix — Vaisseaux fantômes -
Une fois en train de battre, il ne s’arrêtait plus. Tout ce qu’il y a e mauvais ,de destructeur dans ces affreux vins e barrier lui montait au cerveau etvoulit sortir.
Alphonse Daudet — Arthur -
Les barorécepteurs sont des mécanorécepteurs situés dans la paroi des artères et sensibles à la déformation de ces vaisseaux.
Claude Martin — Bruno Riou -
Il faut savoir « escalader » un barolo ou un bandol, car c'est parfois rude et astringent, il faut pouvoir « pénétrer » un cahors ou un madiran, car c'est noir et bourru, il faut enfin supporter ces bourgognes maigres, étriqués et décharnés des années 1970 sans perdre son dentier.
Le vin de son époque — Le Devoir.com -
— Consterné par la pénurie de ces désolantes rengaines, Durtal se jetait dans les monographies moins connues des Bienheureuses ; mais là encore, quelle barigoule de lieux communs, quelle colle d’onction, quelle bouillie de style ! — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
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... partout, de ces horribles meubles de Boule confectionnés à la grosse, faubourg Saint-Antoine. Une garniture de cheminée de ce style rocaille chicorée, qui a l'air du rococo à la barigoule, avec des amours enflés qui jouent du violon.
Edmond et Jules de Goncourt — Journal -
La pratique ancestrale de courir pieds nus s’efface de plus en plus ces dernières années pour laisser place à son équivalent moderne, le barefoot running. Quels sont les bienfaits de ces pratiques ? On a vérifié auprès d’un podologue du sport.
Barefoot running : que penser de cette tendance qui consiste à courir pieds nus (ou presque) - Elle -
« Ça va barder devant le filet ! On sera plus gros. J’ai hâte de travailler avec ces gars-là », a lancé le gardien en point de presse virtuel après la séance.
La Presse — Le Canadien | « Ça va barder devant le filet ! » | La Presse -
La bardane (Arctium lappa) fait partie des plantes qui poussent à l'état sauvage dans les lieux désaffectés et les friches notamment. Souvent considérée comme une adventice avec ses racines longues et profonde, ce sont pourtant ces mêmes racines, avec la hampe florale, qui sont consommées, au Japon, et appréciées pour leur petit goût qui rappelle l'artichaut. Au pays du soleil levant, on nomme la bardane "Gobo".
Binette & Jardin — Bardane (Arctium lappa), des vertus pour la peau : plantation, culture -
– C’est quand même cruel, dit Bouzigue, mélancolique, de faire marcher ces enfants comme s’ils étaient déjà à la Légion étrangère. Et avec un barda terrible, et des mollets comme des spaghetti…
Marcel Pagnol — Le château de ma mère -
Il y avait même, luxe inouï ! dans la salle à manger, une suite de gravures représentant les aventures de Télémaque, non pas les charmantes vignettes dont Célestin Nanteuil et son ami Baron illustrent l’histoire du maussade fils d’Ulysse, mais ces affreux barbouillages coloriés dont la rue Saint-Jacques inonde l’univers.
Théophile Gautier — Voyage en Espagne -
Le barbiturisme a pu être assimilé à une toxicomanie bien que les effets et les conséquences de l’abus de ces drogues soient assez éloignés de ceux des véritables stupéfiants.
Jean Delphaut — Les Hypnotiques -
L’État de Gênes était rempli de petits fiefs relevant de l’Empire. Les seigneurs génois revêtus de ces fiefs réunissaient les déserteurs, les bandits, les prisonniers autrichiens qui avaient réussi à s’échapper, les soldats piémontais qu’on avait licenciés, et formaient des bandes de partisans connus sous le nom de barbets. Ils infestaient l’Apennin par où l’armée française était entrée ; ils arrêtaient les courriers, pillaient nos convois, massacraient les détachements français quand ils n’étaient pas assez nombreux pour se défendre, et répandaient l’inquiétude sur la route de France.
Adolphe Thiers — Histoire de la Révolution française -
"Vous avez vu parmi ces barbaries ridicules les barbaries sanglantes des guerres de religion.
Voltaire — Essai sur les mœurs" -
Le gros des troupes était une horde de barbares dans toute la force du terme. C’était de ces figures étranges qui avaient parcouru la Gaule au temps d’Attila et de Chlodowig. — (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 2e récit : Suites du meurtre de Galeswinthe — Guerre civile — Mort de Sighebert (568-575), 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
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Kerfaouet (...) exagérait. Sa femme aussi, qui, avec tout son fric, n'était pas plus maligne que ces bonnes putes (...) prêtes à engraisser le baratineur-maison.
Henri Bazin — Le Bureau des mariages -
Ils habitaient des baraques en planches dont une dizaine, groupées auprès du port Marie, composaient le petit hameau désigné sous le nom de village des Malouins. Deux de ces baraques étaient occupées par des cantines où on vendait du tabac, du cidre et de l’eau-de-vie ; une troisième était consacrée à la forge.
Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau — L’Archipel de Chausey -
Des rives de la Seine aux bords de l’Ogouée dans la jungle équatoriale, l’ingénieux baragouineur Chyc Polhit convoquera pour nous un autre bestiaire pour tisser des ponts entre ces deux cultures.Rendez-vous pour la deuxième représentation !
CONTE MUSICAL : DES FABLES DE JEAN DE LA FONTAINE AUX FABLES DE CHYC POLHIT - ZoomHebdo, N°1 des petites annonces vérifiées -
Ces églises ont donc un sens harmonique où, comprise entre le baptistère et le cimetière, s’accomplit la vie de ces hommes.
Gustave Flaubert et Maxime Du Camp — Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne) -
Le 3 avril dernier, un chrétien orthodoxe moldave s’est immergé dans les eaux du Jourdain, au site baptismal de Qasr al-Yahud, près de Jéricho. C’est un passage traditionnel pour tous les chrétiens qui se rendent en Terre sainte lors du pèlerinage de Pâques en Terre sainte. C’est dans ces eaux que Jésus-Christ a été baptisé par Jean-Baptiste.
Aleteia — Sur les traces du baptême du Christ -
À la droite du rectangle que forment ces deux salles, une autre salle d'équerre est la salle des fonts baptismaux. Ceux-ci sont une espèce de four où il me semble que l'on baigne l'enfant ou du moins on puise l'eau. , 1907-
Barrès — Mes cahiers -
Moi qui me ruine en achat de maisons à La Chapelle! Que vais-je faire de ces maisons, nids à rats, de ces masures infectes, payées dix fois leur prix? Et aux échéances du 15, comment faire honneur aux valeurs contractées pour payer ces maisons? À chaque bout de mes pensées, l'abîme de la banqueroute; et banqueroute frauduleuse, avec jugement, affiches, exposition; banqueroute avec la marque. On ne marque plus : c'est vrai! Je ne serai pas marqué!
Gozlan — Le Notaire de Chantilly -
Oh! Arracher la pourpre du pouvoir à ces avocats qui y crachent et s'y mouchent! Et il avait mis toute sa fortune dans cette partie de banque qui devait changer les destinées de la France.
Joséphin Péladan — Le Vice suprême -
De même nous n’étions pas de force contre les bandes de musiciens nègres qui courent les rues et que les Anglais appellent des nigger-melodits ; ces faux nègres qui s’accoutrent grotesquement avec des habits à queue de morue et d’immenses cols dans lesquels leur tête est enveloppée comme un bouquet dans une feuille de papier, étaient notre terreur plus encore que les bardes écossais : aussitôt que nous les voyions arriver, ou simplement quand nous entendions leurs banjo, nous nous taisions respectueusement et nous nous en allions loin de là dans un quartier où nous espérions ne pas rencontrer une autre de leurs bandes ; ou bien nous attendions, en les regardant, qu’ils eussent fini leur charivari.
Hector Malot — Sans famille -
Une grosse noix percée de plusieurs trous dans sa rondeur, & traversée de deux cordes qui tiennent de part & d'autre au métier, fin à bander ces deux cordes par une cheville ou bandoir qu'on enfonce dans un de ces trous, & qui mène la noix à discrétion.
Noël Antoine Pluche; « Le spectacle de la nature — ou Entretiens sur les particularités de l'histoire naturelle » -
... il passe la revue de tous, s'informant à la religieuse ou au gardien qui l'accompagne des besoins et des accidents du malade. − Il parle à ces aliénés avec douceur et autorité, comme un général sur un front de bandière.
auteur -
Une histoire d’amour. Intense, passionnée. Qui commence banalement par une petite annonce. Hésitation, doute, va-t-on être déçu ? Puis vient la première rencontre et le coup de foudre, comme une évidence. Avec ces regards qui se croisent, s’accrochent, se comprennent avant les premiers mots. Très vite, un nouveau rendez-vous, puis le début d’une vie à deux. La première nuit qui sera suivie de tant d’autres. Les longues promenades, les repas partagés, les confidences…
Libération — «Son odeur après la pluie», l’adieu au molosse de Cédric Sapin-Defour – Libération -
Le bamboula est un petit baril recouvert d’une peau de mouton, sur laquelle les nègres frappent avec la main à coups pressés, de manière à produire un vacarme épouvantable. Au son de ces tambours, ils sautent comme des furieux. Il faut les voir pirouetter, gambader, gesticuler, tourner leur corps dans tous les sens, former des groupes de dix, de vingt, de cent et de deux cents personnes.
Bulletin de la Société des sciences — lettres et arts de Pau -
Le plus fort, c’est que ces pique-niques étaient extrêmement gais, pleins de chants, de farces, de bonhomie comme une bambochade de bons bourgeois, de gens bien portants aux environs de Paris.
Léon Daudet — Souvenirs littéraires – Devant la douleur -
Mais supprimez donc la dictée de ces bambins! Qui protesterait? Nous? Certainement non. Eux?
Pierre Louÿs — Une réforme dangereuse -
Michel Strogoff, à certains détails, crut reconnaître dans ces habits la loupe des costumes livoniens, et il pensa que sa voisine devait être originaire des provinces baltiques.
Verne — Michel Strogoff