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Citations sur le centre hospitalier - Page 3

Il y a 237 citations sur le centre hospitalier.

• Grâce à la générosité d’une cinquantaine de donateurs, les patients du centre hospitalier d’Ancenis vont pouvoir bénéficier gratuitement de services d’une socio-esthéticienne.

• Reste désormais à engager les travaux. Cela ne se fera « pas avant dix-huit mois, au mieux. Mais il faut aller vite », glisse un élu local. L’administration du site a été plusieurs fois invitée, dans les discours, à presser le pas. Car les premières livraisons interviendront d’ici quatre à cinq ans. Jusqu’à sept ans pour les ultimes unités. Or, il faudra gérer les affaires courantes pendant ce temps-là, dans un centre hospitalier déjà en souffrance dans son fonctionnement.

• Direction la Roumanie pour trois palettes de gel hydroalcoolique, lingettes, masques, gants, draps, dentifrice, mousse à raser, rasoirs, savon… Environ 8 000 produits d’hygiène du centre hospitalier de Chambéry ont été chargés, lundi matin, dans un camion de l’ONG Pompiers humanitaires et solidaires. Il doit prendre la route mercredi. Des biens de première nécessité mis à disposition par l’hôpital pour venir en...

• "Le pass est exigible pour tous, mais nous faisons de gros efforts d’accompagnement", pose Nicolas Funel, directeur du Centre hospitalier Toulon-La Seyne et Hyères.

• Depuis le 3 septembre 2018, l’association avait pour projet de créer un espace de recueillement pour les familles. Dorénavant, l’arbre du souvenir matérialise cette idée de toujours soutenir les familles. Le vote du conseil municipal du 2 février 2021 a marqué une étape supplémentaire dans la création du puits de dispersion. Ce nouvel espace est aussi une œuvre commune où bénévoles, services de la Ville et du Centre hospitalier départemental (CHD) ont tous agi ensemble. Aménagé au printemps dernier, le puits se situe derrière le « jardin du souvenir ».  

• À la retraite depuis le 1er  mai, Jean Sengler a présidé, pendant 17 ans, la commission médicale d’établissement du centre hospitalier de Mulhouse puis du Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace. En 47 ans, il n’a eu de cesse d’innover pour les malades et les soignants.

• Le Centre hospitalier de Falconaja est le premier en France à utiliser ce matériel de neuronavigation dont bénéficient aujourd'hui la plupart des grands CHU dont La Timone, à l'exception de Montpellier, Saint Etienne, Angers, Nantes, et Amiens qui n'en sont toujours pas dotés. Un scanner de ce type est aussi en service dans les cliniques Clairval de Marseille, Bordeaux Nord Aquitaine, et en cours d'installation au CHU de Lyon.

• L’ARS a donné son accord pour l’installation d’une machine d’imagerie par résonance magnétique au centre hospitalier de Brioude. L’arrivée de l’équipement est annoncée pour septembre 2023. Pour l’instant, les patients doivent se rendre au Puy-en-Velay ou à Clermont-Ferrand.

• Le centre hospitalier de Saintes fait savoir ce vendredi 21 janvier au soir qu’il doit suspendre le service de néonatologie pour quarante-huit heures. Le service communication explique :

• Un projet déjà dans les cartons il y a quelques années mais qui avait été mis en pause. « L’université de Brest était très demandeuse car cela leur offre de nouvelles possibilités », expose la directrice de l’hôpital briochin. « Par exemple, pour la réa néonat, il n’y avait des stages qu’au centre hospitalier brestois. Ils pourront désormais venir apprendre chez nous ».

• Chaque année, le service de néonatologie du centre hospitalier du Cotentin accueille et sauve plusieurs dizaines de bébés, nés parfois de nombreuses semaines avant le terme.

• En ce lundi matin, une cinquantaine de soignants s’engouffre dans la salle où se réunit le conseil de surveillance du Centre hospitalier spécialisé (CHS) du Gers, à Auch. « On est là car le personnel est en souffrance », déclare en préambule Paul Legrand, secrétaire de la CGT au CHS.

• Noélie Morey-Bouilloux, infirmière libérale à Arinthod et Kevin Morey, agriculteur à Onoz, ont la joie d’annoncer la naissance de leur fille Elena. Elle a décidé d’arriver un peu en avance le 3 mars 2022, à 9 h 50, avec 2,630 kg d’amour et 42 cm de tendresse, au centre hospitalier du Haut-Bugey à Oyonnax (Ain).

• Jean-Jacques Menuet, médecin de l’équipe Arkéa-Samsic : « Le bilan médical récent passé par Franck Bonnamour a révélé que notre coureur souffrait d’une plica, il s’agit d’un repli de la synoviale au sein de l’articulation du genou droit. Un bout de membrane vient, en effet, s’interfacer sous la rotule à chaque coup de pédale, ce qui enflamme le genou. Franck sera opéré le 11 décembre par arthroscopie afin de réséquer cette plica, au centre hospitalier privé de Saint-Grégoire, par le docteur Yvan Acquitter ».

• Pressé de voir les siens, Sacha, premier de leur lignée, a montré sa jolie frimousse avec trois semaines d’avance le 1er mars à la maternité du centre hospitalier de Montélimar. Clara Mestrallet et Nicolas Onutu, infirmière en pédiatrie et rugbyman professionnel, les parents de ce petit chat de 2,620 kg et 47 cm, sont aux anges.

• Le CHUD-Borgou équipé en scanner et en appareil de dialyse. Le Centre hospitalier universitaire départemental (CHUD) du Borgou est doté désormais de deux appareils de haute technologique. Selon Le Matinal, il s’agit d’un scanner et d’un appareil de dialyse. Ces deux matériels ont été livrés ce dimanche 20 février 2022 en attendant que la remise officielle ne soit faite par le gouvernement du Bénin. 

• Le Centre hospitalier régional d’Orléans (CHRO) lance Covoit’santé, une solution de co-voiturage dédiée aux patients et leurs proches.

• Une équipe du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) a voulu savoir si le tabac à priser ou le snus incitaient les jeunes à diminuer leur consommation de cigarettes, voire à ne pas commencer à fumer du tout. «Il y a un grand débat pour répondre à cette question, notamment en Suède, où ces produits sont très populaires et où une baisse de la fumée est constatée», informe le chercheur.

• Le chien, de race dobermann, du foyer a mordu la femme à plusieurs reprises, au domicile dans un quartier résidentiel. La victime a pu être prise en charge par les secours après avoir enfermé le chien dans une pièce. Elle a été transportée au centre hospitalier d’Amiens dans un état grave.

• Le Centre Hospitalier Gérontologique des sites de Palais Royal et de Morne Vergain informe les familles de patients des nouvelles mesures prises pour faire face à la crise sanitaire.

• Après un rapide bilan médical au centre hospitalier du Forez, l’homme a été placé en cellule de dégrisement.

• On connait, depuis ce mercredi 13 octobre, le résultat du référé introduit par la direction du Centre hospitalier universitaire de la Guadeloupe (CHUG), contre l'Union des travailleurs de la santé (UTS-UGTG), en lien avec l'occupation de l'établissement de santé de Pointe-à-Pitre/Les Abymes, par le syndicat, mobilisé contre l'application de l'obligation vaccinale.

• Depuis mi-février, un premier patient bénéficie du protocole Verlen au centre hospitalier de Saint-Étienne. C'est une première mondiale. On vous explique pourquoi.

• Ce dimanche, un plongeur d’une cinquantaine d’années a été victime d’une perte de connaissance dans l’anse de Pors Kamor, à Ploumanac’h. Les pompiers de Perros-Guirec lui ont porté secours aux alentours de midi avant de le transporter au centre hospitalier de Lannion.

• Lors d’une opération extrêmement délicate, le centre hospitalier de Douai a accueilli, ce lundi matin, un nouvel IRM de type 3 Tesla. Le but : moderniser l’équipement tout en réalisant plus d’actes d’imagerie et connaître davantage les pathologies psychiatriques.

• Sept-mille-cinq-cents. C’est le nombre annuel moyen d’examens IRM pratiqués au centre hospitalier d’Auxerre. Apparue voilà tout juste un demi-siècle mais proposée depuis 2001 seulement à l’hôpital, l’imagerie par résonance magnétique est devenue un outil incontournable, bien que trois fois plus de scanners soient réalisés chaque année.

• La vague ne s’est pas arrêtée à 76 hospitalisés, comme lors du pic du printemps 2021. Mercredi soir, 106 Charentais étaient hospitalisés et atteints du Covid au centre hospitalier de Girac, à Angoulême. 105 ce vendredi soir. Tous n’ont certes pas été hospitalisés pour cette raison : quelques malades ont été testés positifs au cours d’une hospitalisation pour une autre cause.

• Le CISSS du Bas-Saint-Laurent peine à recruter des inhalothérapeutes pour le centre hospitalier de Rivière-du-Loup.

• « Enfin ! Nous allons passer d’un bloc opératoire des années 1970 à un de 2022 ! » Cyril Lenne, directeur du centre hospitalier de Vierzon, et Fabrice Laurain, le directeur adjoint, se réjouissent du lancement de la réhabilitation complète du bloc opératoire.

• Une cellule d’urgence médico-psychologique (CUMP) a été mise en place par le Centre Hospitalier de la Côte Basque suite à l’accident. Toute personne victime ou témoin, souhaitant avoir recours à une assistance psychologique peut prendre contact au : 05 59 44 41 30

• Ce jeudi 23 décembre, Annie Béal va enfiler son costume de Père Noël pour se rendre au centre hospitalier de Quimper. Dans sa hotte, quinze petits sacs aux couleurs de Noël, destinés au service de néonatologie. À l’intérieur, une gigoteuse bien moelleuse, des couvertures peau à peau, des chaussons, des brassières, des bonnets tricotés à la main, et bien d’autres petites attentions.

• Grâce aux prouesses de la médecine et au savoir-faire des spécialistes, un bébé de 16 jours souffrant d’une malformation congénitale du système nerveux a des chances de vivre. En effet, le Pr Abel Kabré, chef du service de Neurochirurgie de l’hôpital Yalgado-Ouédraogo, appuyé par des collègues venus du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Tours en France, ont réussi à opérer un nouveau-né victime d’une encéphalocèle.

• Rapidement alertés, les sapeurs-pompiers et le Smur ont porté secours au pilote du scooter, un Libournais de 28 ans. Sous l’œil des passants et des automobilistes, nombreux à circuler autour du carrefour giratoire à cette heure de la journée, il a été secouru pendant plusieurs minutes au sol avant d’être placé dans l’ambulance des pompiers. La victime a été transportée au centre hospitalier de Libourne avec une suspicion de bras cassé. Quant à la conductrice de la voiture, visiblement en état de choc, elle a été épaulée par plusieurs personnes, dont son compagnon.

• Depuis sa création, la Steinsoultzoise a permis de reverser 81 576,95 € à l’association Vivre demain du service de radiothérapie et d’oncologie du Centre hospitalier Émile-Muller (Chem) à Mulhouse qui apporte un soutien indéniable aux patients. Le docteur Marc Puygrenier, chef du service gynécologique de Mulhouse, spécialisé en oncologie, est confronté quotidiennement à la maladie.

• La victime, une Brestoise de 22 ans, a été prise en charge par les pompiers et transportée au Centre hospitalier du Scorff, à Lorient. « Finalement, elle n’est pas blessée très gravement », commente la gendarmerie de Lorient. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances de ces faits.

• Le club de foot est allé offrir le petit-déjeuner au personnel soignant du centre hospitalier et à celui du centre de vaccination.

• Cette équipe, dont la Moussanaise Noëlle Carcanad est un des piliers, a rendu visite à l’équipe de pédopsychiatrie du Centre hospitalier de Narbonne.

• Deux hommes ont été légèrement blessés et transportés au centre hospitalier de Valenciennes. Une jeune femme est décédée. Il s’agit de l’Amandinoise Déborah Postiaux, âgée de 29 ans, et élue aux dernières élections municipales.

• Le responsable des Urgences au centre hospitalier de Guéret, le docteur Éric Roy, a plus de vingt ans de métier ici mais il n’a jamais connu ça. Son collègue, le docteur Bruno Verguet, responsable du Samu, non plus. C’est même ce qui les conduit à tirer aujourd’hui la sonnette d’alarme pour que « les gens sachent ». Cette même sonnette d’alarme qu’ils tirent depuis plusieurs mois auprès de leur direction et de l’Agence régionale de santé. Le coup de grâce ?

• Dans cet épisode, la professeure Chantal Berna Renella, responsable du Centre de médecine intégrative et complémentaire et affiliée au Centre dʹantalgie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), explique, entre autres, pourquoi se cogner le petit orteil est aussi désagréable, à quoi sert la douleur, pourquoi elle n'est pas toujours ressentie avec la même intensité et pourquoi être insensible à la douleur physique peut être dangereux.