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Citations sur la cantatrice

Il y a 34 citations sur la cantatrice.

• Dans un élan de maîtrise parfaite, la cantatrice a su tirer le plein potentiel du cantabile qui, dans cette symphonie, sert à valoriser l'éclat vocal d'une manière à la fois mélodieuse et expressive.

• […] ; et Manilov, séduit par les belles phrases, balançait la tête avec la satisfaction béate d’un mélomane devant une cantatrice qui, l’emportant même sur le violon, lance une note aiguë à désespérer un gosier d’oiseau.

• Que cette ancienne cantatrice fortunée se décide à faire de ses animaux de compagnie ses légataires universels déclenche la jalousie machiavélique d’Edgar, le valet de Madame, qui va être prêt à tout pour les faire disparaître. Heureusement en chemin, Duchesse pourra s’échapper, croisera la route de O’Malley, un matou cabotin et débrouillard, puis s’encanaillera chez les chats de gouttière avant que tout ne finisse évidemment très bien…

• La cantatrice française à la carrière internationale est décédée à Toulouse, sa ville d’origine.

• Disparue samedi, la grande cantatrice était aussi présidente d’honneur de l’association béarnaise Pierres Lyriques.

• Sur la scène du Capitole, tout d’abord une cantatrice bien connue des Toulousains : Anaïs Constans. Elle sera l’un des 3 sopranos qui chanteront sur le même registre que Mady Mesplé. La révélation des Victoires de la Musique 2015 sera épaulée par Catherine Hunold et Céline Laborie. Sophie Koch qui comme Mady a beaucoup chanté les musiques française et allemande assurera le répertoire côté mezzo. 

• La cantatrice Mady mesplé, surnommée "la Lakmé du XXe siècle" est morte le 30 mai dernier, elle laisse des enregistrements qui ravissent les oreilles / Son air des clochettes annonce un weekend de lecture exceptionnelle proposé par France Culture et consacré au plus célèbre des magiciens

• Cette immense soprano colorature avait chanté sur les plus grandes scènes d’opéra du monde, mais elle avait un lien particulier avec Agen où elle s’était produite plusieurs fois. La première, au début des années 50, c’était en tant que pianiste : sa carrière de cantatrice n’avait pas encore vraiment débuté, et elle accompagnait Armand Mestral, pour un gala au théâtre Ducourneau. Dans ses mémoires, elle rappelle avec humour que le beau baryton-basse, à l’issue du concert, aurait volontiers amené dans sa chambre d’hôtel cette belle rousse, et pas seulement pour causer musique !

• La cantatrice Mady Mesplé s’est éteinte cette semaine à l’âge de 89 ans. Dans son article en hommage à cette grande soprano colorature française, la journaliste du Monde Marie-Aude Roux écrit que son « répertoire s’étendait de l’opéra à l’opérette, en passant par la musique contemporaine et la variété », et qu’elle possédait «une belle présence scénique, une grande noblesse de style et d’interprétation », ainsi qu’« une voix légère aux aigus stratosphériques (elle montait sans effort jusqu’au contre-sol, elle a enregistré un contre-la bémol et osait même, en privé, le contre-si bémol !)".

• «Le concept de cette création est parti d’un coup de cœur pour un livre», annonce d’emblée la cantatrice nyonnaise Brigitte Ravenel, heureuse d’avoir pu maintenir ce concert crépusculaire et annuel à l’abbaye de Bonmont, prévu dimanche et lundi soir. La mezzo-soprano, qui organise également chaque année des soirées littéraires (Les Intimes), s’inspire «Des cloches et des hommes», un ouvrage sorti en 2018, de la photographe et de l’auteure Sylviane Messerli et Hélène Tobler.

• "Dans 'La Cantatrice chauve', c’est très bizarre. J’ai essayé de me mettre dans un état d’alogisme, d’inintelligence… enfin, d’avoir la sottise de mes personnages. Mais ce n’est peut être pas le mot qu’il faut… Dans un état de non-sens." Eugène Ionesco

• Il y a vingt ans, Maïwenn interprétait la Diva bleue Plavalaguna dans le blockbuster de Luc Besson. Elle chantait une composition d’Eric Serra réputée ininterprétable par la voix humaine. La cantatrice Jane Zhang relève le défi.

• Il ne suffit pas au baron Scarpia d’exercer sa libido sur la cantatrice Floria Tosca. Sexuel, son harcèlement est aussi moral. Il est d’ailleurs permis de penser que le chef de la police romaine préfère la chasse aux trophées, la traque à l'hallali, l’odeur du sang au sang. Harceleur ? Oui et de la pire espèce, celle des prédateurs, qui levraudent pour le plaisir de levrauder. Prisonnière de ses filets poisseux, Tosca n’aura d’autre issue que de le poignarder pour échapper à son exécrable chantage. En vain. Le marché, de dupe, aboutira au plus beau saut de l’ange du répertoire. Il n’y a pas de justice. [Christophe Rizoud]

• Ce cortège hétéroclite de serveurs d’apéritif roulant, de cantatrice perchée, de mendiant radieux, d’acteurs équestres et beaucoup d’autres, a été conçu comme une main tendue vers une profession mise en danger par la crise du Covid-19. « Nous avons invité tous les artistes d’Arles et sa région à nous rejoindre. Avec, à la clef, un contrat, donc du boulot. Chaque jour, ce sont 20 personnes qui pourront ainsi exercer leur talent », insiste Bruno Schnebelen.

• L’hôtel, jusqu’à présent, s’appelait Casta Diva, chaste déesse en VF. Un nom pudibond comme pas deux ? Non, un nom lyrique comme pas possible. Car c’est en ces murs que Bellini écrivit sa Norma, merveille musicale qui culmine sur Casta Diva, un air que la Callas, évidemment, chanta comme personne. Son collègue Donizetti, lui, y aurait composé son Anna Bolenasur un coin de table. Si ces grands-là avaient ici leur rond de serviette, c’est que la villa Roccabruna, nom d’origine de la bicoque, appartenait jadis à Giuditta Pasta, cantatrice bonne pâte qui recevait à la coule toute la jetset artistique de l’époque. 

• Sans rechigner, la cantatrice américaine s'est même livrée à des séances photos improvisées. Auparavant, le récital avait tenu toutes ses promesses devant un public conquis d'avance. "Je l'avais déjà vue au Théâtre. C'est fabuleux. Quelle voix !" s'enthousiasmait une spectatrice. Après deux rappels, Barbara Hendricks est revenue sur scène, seule, la salle debout, pour chanter Oh Freedom, ce chant de liberté d'un esclave noir américain.

• Fort heureusement, le spectacle est aussi vocal. Certes, la cantatrice met un certain temps à se chauffer au début du concert et après l'entracte, le grave semblant avoir disparu et l'aigu stridulant, tandis que le souffle court interrompt plusieurs fois la même phrase. Kermes reprend pourtant bientôt consistance et elle séduit aisément par une grande homogénéité dans le medium avec un contrôle impeccablement équilibré du vibrato. Ces qualités font merveille dans la douceur contenue des airs plus lents, mais c'est avant tout pour les vocalises pyrotechniques que le public est venu si nombreux et fervent voir la Kermes, il n'en sera pas déçu !

• Un matin, la cantatrice Sophia Siméonidis trouve dans son jardin un arbre qui n’y était pas la veille… Qui a planté ce hêtre et pourquoi ? Son mari tente de la tranquilliser, mais les jours passent et elle en perd le sommeil. C’est le point de départ de cette adaptation radiophonique  du roman de Fred Vargas Debout les morts paru en 1995 chez Viviane Amy

• Le grand âge est là, qui rapproche André Tubeuf de tant d’êtres vieillissants dont il peupla jadis les solitudes : la cantatrice Germaine Lubin (1890-1979), que l’indignité nationale avait enterrée vivante à la suite de sa supposée complaisance vocale durant l’occupation nazie ; ou encore le pianiste Arthur Rubinstein (1887-1982), joyeux drille patenté pourtant découvert isolé de tous après qu’il s’était brisé le col du fémur.

• Don Giovanni de Mozart Avec Erwin Schrott dans le rôle de Don Giovanni. Le chef Giovanni Antonini livre en concert une version baroquisant en dirigeant Kammerorchester Basel et Deutscher Kammerchor. Jeudi 10 janvier à 19h30 Arabellade R. Strauss L’excellente Anja Harteros chante Arabella sous la direction de Constantin Trinks, avec le Bayerisches Staatsorchester et le Chor des Bayerischen Staatsoper. Vendredi 11 janvier à 19h30 Sandrine Piau La cantatrice française offre un pot-pourri de chant baroque avec Kammerorchester Basel : œuvres de Leo, Haendel, Hasse, Propora, Vivaldi. Samedi 19 janvier à 20 h