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Citations sur le burn-out

Il y a 33 citations sur le burn-out.

• Il y a une bonne dizaine d'années, le terme lui-même de « burn-out » était difficile à prononcer en société, comme si le fait de le citer à voix haute vous contaminait sur-le-champ. « Burn-out » faisait peur.Ensuite, le burn-out » est devenu une maladie reconnue dans le milieu du travail. [...] Mieux que cela! Dans pas mal d'entreprises, le fait de connaître un burn-out est devenu un passage quasi obligé dans une carrière.

• 69 villes de 53 pays ont été analysées et au final, c’est majoritairement en Asie que le risque de burn-out s’avère le plus important pour les salariés. À l’inverse, les villes européennes brillent par leur absence dans ce top 10.

• Les médecins préconisaient autrefois cette plante dans les « dyspepsies atoniques » c'est-à-dire dans les convalescences de maladies ou en cas de surmenage physique ou intellectuel, que l'on qualifierait volontiers aujourd'hui de « burn-out ». L'action cholérétique était bien identifiée et cette plante était proposée en cas de cholécystites chronique, d'ascite modérée voire de cirrhose. Avant cela, c'était l'Eau de la Reine de Hongrie qui faisait fureur pour sa supposée action anti-âge !

• Les auteurs d’un ouvrage pratique, intelligent, « Burn-out, le vrai du faux », mettent cependant en garde sur des catégories trop rigides. Considéré comme l’expression de l’exténuation, le burn-out caractérise une forme chronique du stress. Le stress, le mot du siècle…

• Nous voulons aller toujours plus loin, plus haut, plus vite, plus intensément et bien souvent nous nous épuisons jusqu’au burn-out. Mon invité est kiné, ostéopathe, spécialiste en posturologie, biokinergie et graphologie, en médecine chinoise et en stratégie mentale. Il a vécu 3 burn-out et l’a expérimenté aussi à travers l’état d’épuisement de ses patients. On a tous plus ou moins flirtés avec ces états limites, physiques et psychiques.

• Elle a le goût d’un plat d’un resto 3 étoiles. On ne savoure jamais plus quelque chose que quand on a cru le perdre pour de bon. Martin Fourcade a passé des années à tout gagner, aux jeux olympiques, aux championnats du monde, aux épreuves de coupe du monde. Tout. Et puis l’an dernier, il s’est écroulé. Un burn-out post olympique. En général, c’est le début de la fin pour un sportif : vous grimpez en haut de l’Olympe, et derrière, il y a un déclin logique et irrémédiable. Beaucoup ont d’ailleurs enterré Martin Fourcade dans la neige fraîche, avec les remerciements de la nation. 

• Avec 7 scientifiques en interne (sur 200 salariés), Headspace se veut l’application experte de l’impact de la mindfulness (ou méditation de pleine conscience), notamment pour lutter contre le burn-out au travail. Aujourd’hui, certaines assurances maladie en Angleterre proposent des rabais aux assurés qui acceptent de méditer régulièrement avec Headspace, à condition qu’ils partagent leurs données.

• Encore une fois, le burn-out est multifactoriel. Il peut se révéler dans n’importe quel domaine de la vie et y rester limité : scolaire, familial, sportif, etc… C’est pourquoi l’accord national interprofessionnel sur le stress au travail a défini les états de stress, dont le burn-out fait partie, comme « l’inadéquation » entre ces facteurs internes et externes au salarié :

• Le burn-out a été décrit la première fois à la fin des années 1960. Depuis, il a été reconnu par l’OMS comme un syndrome résultant d’un stress chronique au travail «qui n’a pas été géré avec succès» et qui se caractérise par trois éléments: «un sentiment d’épuisement», «du cynisme ou des sentiments négativistes liés à son travail» et «une efficacité professionnelle réduite».

• INTERVIEW - Pour Philippe Zawieja psychosociologue et coordinateur d’un Dictionnaire sur la fatigue, le discours sur le phénomène du burn-out s’apparente à celui tenu sur la neurasthénie au XIXe siècle.

• Myriam C. a connu des moments plus doux. Même si elle n’a jamais roulé sur l’or. « J’ai été ouvrière agricole et bonnetière en usine. Et je vivais beaucoup mieux », concède-t-elle. Des plans sociaux, un burn-out aussi, l’ont abîmée. Mais elle, met surtout sa fragilité économique sur le compte du passage à l’euro. « Les prix se sont envolés alors. »

• Avant de se réatteler à la tâche, Jean Dujardin compte bien s'offrir des vacances bien méritées. Il confie avoir besoin de prendre du repos afin de passer plus de temps avec ses enfants qui commencent à "[l]'appeler Monsieur" plaisante l'acteur. Il y a quelques jours, il disait avoir hâte que 2013 se termine... Notre Dujardin national ne serait-il pas au bord du burn-out ? Il faut dire que ces derniers temps l'acteur a beaucoup enchainé, terminant notamment le tournage de La French avec son ami de toujours Gilles Lellouches, film policier qui se déroule dans les années 70 et qui devrait sortir en octobre 2014.

• Vous vous êtes reconnu(e) dans les profils précédents ? Bon, alors ce n’est pas étonnant que vous en ayez croisé au bureau ! Lorsque vous avez affaire à un collègue ou à un chef manipulateur, le burn-out n’est jamais loin. Vos limites sont extrêmement extensibles, vous êtes du genre à vous surinvestir dans vos tâches, à être perfectionniste, à voir la solution au problème avant tout le monde, à vous battre pour vos valeurs.

• Pour toutes ces raisons et au même titre qu’un burn-out d’ordre professionnel, ces bénévoles féministes peuvent ressentir une perte de sens dans leur activité à laquelle s’ajoute donc le traumatisme vicariant.

• s'il pouvait nous lacher avec son burn-out , ce serait une bonne idée ! tous ces gents qui ont ce qu'il faut et qui sombrent pourraient penser a ceux qui sombrent mais qui n'ont rien, et qui n'étalent pas leur etat d'ame sur un plateau de tv ! il faut arretr de nous prendre pour des imbeciles son retour en chanson sur TF1 etait parfaitement orchestré

• Originaire du Lot, ancienne ingénieure en informatique, Marie-Constance Mallard a changé de vie presque par hasard, suite à un burn-out professionnel. Auteure et illustratrice, elle a d’abord créé en 2014 le personnage de Violette Mirgue, petite souris toulousaine qui a jusqu’à présent voyagé de Toulouse à Paris en passant par les Pyrénées, le canal du Midi ou la Bretagne. Depuis 2018, elle fait également découvrir le patrimoine de Toulouse à travers Pastelle Garonne, sa nouvelle héroïne.

• Sans tabou, Élodie Carlo-Camar veut faire faire en sorte que son cas personnel serve d’exemple. Après un burn-out, elle a décidé de se lancer dans le yoga en 2016. « J’ai pris l’option de la voie du yoga pour me laver de ce poids psychologique. Le burn-out a radicalement bouleversé ma vision des choses. Grâce à cette discipline, j’apporte du bonheur à mes élèves et j’ai encore bien d’autres projets à leur proposer ».

• Depuis une vingtaine d’années les comédiens amateurs de la troupe Viroise “Coup de théâtre”, actuellement présidée par Nicole Bouton, présentent en alternance pièces de théâtre et soirées cabaret, pour le plus grand plaisir des spectateurs de Virey-le-Grand et d’ailleurs. Cette année, c’est l’hilarante pièce Burn-Out , de Charles Istace qu’ils ont décidé de monter. Rencontre avec Corinne Casseville...

• Car les applications qu’elles imaginent sont en train de nous rendre malades. Tendinites, nomophobie (peur d’égarer son portable), FOMO (pour fear of missing out, la crainte de passer à côté d’une information ou d’un événement) et maintenant burn-out numérique… La liste des pathologies ne cesse de s’allonger.

• Le burn-out est encore mal appréhendé par les pouvoirs publics et les entreprises. Défini par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 2019 comme « un syndrome résultant d’un stress chronique professionnel qui n’a pas été correctement managé », le burn-out est caractérisé par « un sentiment d’épuisement, du cynisme et une perte d’efficacité ».