Accueil > Citations > Citations sur le bras
Il y a 120 citations sur le bras.
... quand bien même je voudrais l'occuper, votre amie, je ne trouverais rien à lui donner à faire. (...) et je ne puis supporter auprès de moi les gens qui restent à me regarder, les bras croisés. auteur
Oh hisse! les déménageurs! Enlevez-le avec précaution! Un peu d'huile de bras, s'il vous plaît! Georges Courteline — Un Client sérieux, Le Piano
Sous une musique, prétexte futil[e], quelques gros bras vaguèrent... deux ou trois tronches ... « La raison du plus fort ... etc. [»]. A.-L. Dussort — Journal
Les serments à bras tendu prêtés Victor Hugo — L'Âne
Le berger hausse l'enfant à bout de bras au-dessus de sa tête Jean Giono — Le Grand troupeau
Il va falloir verbaliser et verbaliser encore, et verbaliser à tour de bras Barbusse — Le Feu
Fier, mon ami me ramasse à pleins bras comme une gerbe Colette — La Vagabonde
Parfois, quand tous ces grotesques tapaient à bras raccourcis sur la république, on voyait ses yeux rire sans que ses lèvres perdissent leur moue d'homme grave. Émile Zola — La Fortune des Rougon
... ils [les jésuites] appelèrent à leur aide contre [la théorie de Descartes] le bras de l'Église et celui de l'État. 1847, t. Cousin — Cours d'histoire de la philosophie moderne
... la paix de demain ne peut avoir comme base simplement une ou plusieurs déclarations, mais qu'il lui faut une organisation concrète avec le tribunal, la procédure et le bras séculier. auteur
Aussi, lorsque la réaction cléricale de 1849 se déclara, presque toute la bourgeoisie de Plassans passa-t-elle au parti conservateur. Elle y fut reçue à bras ouverts. Émile Zola — La Fortune des Rougon
... cher et triste objet d'une passion qui me consume jusque dans les bras de la mort Chateaubriand — Génie du Christianisme
Eau des bras morts et des vifs, nerveuse et coulante ou d'un sommeil plat Alphonse Arnoux — Rhône, mon fleuve
On s'en allait par les îles, tout un dédale compliqué de terres et de bras de mer, que forment les embouchures réunies de la Meuse, de l'Escaut et du Rhin. Van der Meersch — L'Empreinte du dieu
Tu garniras de bougies les bras de cheminée et les flambeaux Balzac — Les Chouans
On trouve (...) au rapprochement [des essieux] l'avantage de disposer d'un plus grand bras de levier, pour tourner à force de bras les wagons sur les plaques de croisement. J.-N. Haton de La Goupillière — Cours d'exploitation des mines
Valérie demanda son châle d’une mousseline bleu foncé, elle écarta ses cheveux de dessus son front ; elle mit son châle sur sa tête ; il descendait le long de ses tempes et de ses épaules ; son front se dessina à la manière antique, ses cheveux disparurent, ses paupières se baissèrent, son sourire habituel s’effaça peu à peu sa tête s’inclina, son châle tomba mollement sur ses bras croisés… Simone de Beauvoir — Le deuxième sexe
Le Phaéton d’une voiture à foinVit son char embourbé. Le pauvre homme était loinDe tout humain secours. C’était à la campagnePrès d’un certain canton de la basse BretagneAppelé Quimpercorentin.On sait assez que le destinAdresse là les gens quand il veut qu’on enrage.Dieu nous préserve du voyage !Pour venir au Chartier embourbé dans ces lieux,Le voilà qui déteste et jure de son mieux.Pestant en sa fureur extrêmeTantôt contre les trous, puis contre ses chevaux,Contre son char, contre lui-même.Il invoque à la fin le Dieu dont les travauxSont si célèbres dans le monde :Hercule, lui dit-il, aide-moi ; si ton dosA porté la machine ronde,Ton bras peut me tirer d’ici.Sa prière étant faite, il entend dans la nueUne voix qui lui parle ainsi :Hercule veut qu’on se remue,Puis il aide les gens. Regarde d’où provientL’achoppement qui te retient.Ôte d’autour de chaque roueCe malheureux mortier, cette maudite boueQui jusqu’à l’essieu les enduit.Prends ton pic et me romps ce caillou qui te nuit.Comble-moi cette ornière. As-tu fait ? — Oui, dit l’homme.— Or bien je vais t’aider, dit la voix : prends ton fouet.— Je l’ai pris. Qu’est ceci ? mon char marche à souhait.Hercule en soit loué. Lors la voix : Tu vois commeTes chevaux aisément se sont tirés de là.Aide-toi, le Ciel t’aidera. Jean de La Fontaine — Fables
Toujours aussi bleu que l’eau le voudra Il est dans vos yeux il est dans vos bras Et c’est le secret de ce vieux mystère Qui dit aide-toi le ciel t’aidera Louis Aragon — Le nouveau Crève-cœur
Les marins avaient déjà allongé les cadavres dans un coin, par rang de taille. Deux autres rebelles, collés contre un bout de mur, attendaient, les bras levés. Raymond Queneau — On est toujours trop bon avec les femmes