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Citations sur le bivalve

Il y a 27 citations sur le bivalve.

• La diversité chromatique de l'anomie, ce mollusque bivalve comestible, est une véritable palette de peintre pour les amoureux des fonds marins.

• Les deux valves de la coquille bivalve se sont ouvertes, révélant le creux situé en avant du sommet sur la partie dorsale de la valve externe, connu sous le nom d'anus.

• Dans les profondeurs mystérieuses des océans, l'aronde, mollusque bivalve discret, tisse avec patience les perles précieuses et la nacre irisée.

• Parmi les trésors cachés dans les profondeurs de nos océans, l'astarté, ce mollusque bivalve à la silhouette discrète, demeure l'un des spécimens les plus intrigants de la famille des Astartidés.

• Un délice authentique, le baiser de Malmedy, cette meringue bivalve belge se démarque comme une gourmandise incontournable de la région wallonne.

• Dans la profondeur de l'océan, le bénitier se déploie comme une sculpture vivante, majestueux mollusque bivalve du genre Tridacna, dont la magnificence séduit autant les plongeurs que les biologistes marins.

• La petite troupe foula un sable composé de débris de coquilles bivalves, d’os de seiche, et mélangé dans une grande proportion de peroxyde et de protoxyde de fer.

• Jusqu’au début des années 1980, la ressource de tellines (Donax trunculus) n’était pas exploitée. Le Finistère compte trois gisements : la baie d’Audierne, la baie de Douarnenez et les Blancs-Sablons dans le Léon. Ils sont 27 professionnels aujourd’hui contre une cinquantaine il y a encore quelques années. Le bivalve fouisseur est aussi pêché sur la presqu’île de Quiberon (56). La telline se plaît particulièrement dans des zones où à l’eau de mer vient se mêler de l’eau douce.

• Ici c’est Brest et pas encore la Polynésie ! Le phénomène est rare mais bien réel. Lorsqu’un corps étranger s’introduit dans une huître, comme un petit caillou par exemple, que le bivalve ne parvient pas à expulser, il produit de la nacre autour de ce corps étranger afin de s’en protéger. Cette production de nacre de protection aboutit à la formation d’une perle plus ou moins régulière, jamais très grosse ni très foncée sous nos latitudes.

• C’est un petit bivalve de la famille des pectinidés qui ressemble à une mini-coquille Saint-Jacques. En voie de disparition, le méconnu pétoncle noir fait jusqu’à 6 cm, mais on peut le pêcher à partir de 4 cm. Très apprécié des habitants de l’ouest de la France, son léger goût de noisette régale les amateurs de fruits de mer. Encore faut-il en trouver aujourd’hui…

• Le coquillage bivalve a fait son retour dans les eaux sétoises il y a quelques années. Et continue à se développer malgré l'attaque d'une bactérie tueuse.

• L’écloserie du Tinduff, à Plougastel, n’est pas la seule à travailler autour du pétoncle noir de la rade de Brest. À l’embouchure de la rivière du Faou, Mathieu Hussenot (Ferme marine de l’île d’Arun) explore les possibilités d’élevage du distingué bivalve depuis 2015. Le chemin n’est pas sans embûche et la crise de la covid-19 a donné un sérieux coup de frein à l’activité conchylicole. Mais ce passionné de culture marine ne lâche pas « le byssus » (*) et poursuit son aventure à la pointe du Glugeau, autre pépite de la rade de Brest.

• La myophorie, ce bivalve du Trias classé dans le groupe des paléohétérodontes, est un témoin fascinant de la vie marine à cette époque lointaine.

• Comme la coquille Saint-Jacques (Pecten maximus), le pétoncle noir (Mimachlamys varia) est susceptible d’être contaminé lors des blooms (*) de micro-algues toxiques. Mais à la différence de sa grande cousine, le petit bivalve se décontamine en quelques jours. La coquille met quelques semaines, voire un an, à se débarrasser des toxines amnésiantes de la Pseudo-Nitzschia australis.

• La moule fait partie de l'ordre des Mytilida, des mollusques bivalves. Des moules de bouchot, de Bouzigues ou d’ailleurs, la question est de savoir si vous allez acheter des moules avec ou sans barbe c'est à dire débyssussé.

• D’après la légende de la vidéo, il s’agit de mollusques du type donax variabilis, connu sous le nom de coquina. C’est un mollusque bivalve marin de la famille des Donacidae, très répandu sur la côte est des États-Unis. Généralement, ils «se cachent» dans des zones constamment brassées par les vagues.

• Un tour à Trezmalaouen à marée montante, mercredi, a permis de constater un phénomène identique : la laisse de mer était puante de grappes de moules mortes, de couteaux, amandes, tellines et de ce gros bivalve oblong appelé lutraire. Dans le tout, on trouvait également des morceaux de grandes étoiles de mer.

• La folie des moules n’amollit pas les foules… Désolé pour cette mauvaise contrepèterie. Mais sous le soleil resplendissant de ce samedi, le savoureux mollusque bivalve était plus que jamais la star de la braderie lilloise. La tradition du tas de moules a refait son apparition ici et là, et l’on pouvait même déguster le mytilidé sur la grand-place, peu habituée à être autant envahie de tables.

• En avril 2015, l’équipe de Stephen Goff, du Howard Hughes Medical Institute de New York, avait montré que la néoplasie hémocytaire, cancer s’apparentant à une leucémie du fait qu’il touche l’hémolymphe (liquide circulatoire) des bivalves, était transmissible d’individu à individu, de la même manière qu’une maladie infectieuse. Les cellules cancéreuses sont génétiquement identiques d’un individu à l’autre, suggérant qu’elles proviennent d’un seul individu d’origine.

• Mais que cherchent ces pêcheurs dans la vase ? Ils sont à la recherche d’un mollusque bivalve de qualité, qu’on nomme « palourde » ! Couteau et réglette en main, découvrez cette pêche de manière responsable. Sortie Nature proposée par ÉCHOS NATURE.