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Citations sur le biotope

Il y a 25 citations sur le biotope.

• Le conflit entre un groupe humain et un milieu défavorable peut se résoudre au bénéfice des membres de ce groupe par la construction d’un « biotope » artificiel en totale rupture avec le milieu.

• Radhia Cheniti en cite quelques-unes : le milieu marin se retrouve milieu marin envahi par des espèces non indigènes ; déclin des espèces indigènes ; biotope altéré, et enfin, limitation en ressources marines disponibles (faune, flore). A cet effet, la spécialiste explique : «Certaines espèces introduites envahissantes entrent en compétition avec les espèces indigènes comme le cas de la caulerpe (Caulerpa taxifolia), qui est une espèce introduite très envahissante, qui étouffe les autres espèces d’algues notamment la posidonie (espèce endémique de la méditerranée d’un grand intérêt écologique).»

• Le halage, c’est aussi une zone de protection du biotope où prospère le rare cranson des estuaires (colcheria aestuaria). L’espèce protégée au niveau national s’enracine dans le remblai et montre, de mai à juin, ses petites fleurs blanches.

• Fini l’équitation au cœur des Marais rouges, aux Ponts-de-Martel. La tente équestre et agricole qui trône illégalement depuis 1992 au milieu du biotope protégé devra être évacuée et son terrain assaini. Le Département cantonal du développement territorial et de l’environnement (DDTE) a rendu cette décision le 10 juin. Les actuels propriétaires des lieux ont six mois pour démonter la construction et un an pour remettre en état le terrain. Ils entendent faire opposition.

• L’Association des orchidophiles de Bretagne, membre de la Société française d’orchidophilie, organise sa première exposition d’Orchidées à Pluguffan, les 7 et 8 mars, à l’Espace Salvador-Allende. Un massif recréant le biotope des orchidées y sera installé.

• La butte du polder a été configurée pour assurer le maintien d’une biodiversité locale «par la reconstitution, sur l’un des versants interdit au public, d’un biotope équivalent à celui présent sur le polder avant le début des travaux».

• La chasse au gibier d’eau à poste fixe, comme l’est une tonne, fait partie du patrimoine des grands lacs du nord des Landes. C’est la conviction des membres de l’association des Tonnayres du pays de Born, créée au printemps 2014. La tonne est une cabane aménagée en bordure d’un plan d’eau, semi-enterrée et camouflée, ou simplement posée sur l’eau, tout dépend du biotope avoisinant. La chasse au gibier d’eau se pratiquant aussi la nuit dans les départements côtiers, elle permet au sauvaginier de s’abriter, se restaurer et se reposer tout en attendant les vols d’oies ou de canards.

• La conservation et la croissance de l'astragale de Marseille, mais aussi du plantain subulé dans l'archipel du Frioul, sont primordiales pour le maintien du biotope si particulier des calanques. L'astragale, « espèce parapluie », offre en effet sous ses feuilles et ses épines un habitat essentiel pour de nombreux insectes et une protection pour d'autres végétaux.

• Jérôme Enrico filme plutôt benoîtement ce pitch explosif. Si sa dimension pantouflarde réduit l’ironie de ce gentil téléfilm, les rebondissements tiennent en haleine, quelques personnages se dessinent et le biotope de la cité dégage un parfum croquignolet plutôt charmant. Bernadette Lafont, dans le dernier rôle de sa carrière, est aussi odieuse que truculente.

• Dominique Radrizzani parle «d’aller vers les gens avec des images». Pour le directeur artistique du grand bal lausannois des petits Mickeys, la bande dessinée est particulièrement apte à s’égailler extra-muros en raison de son contenu narratif et parce que ses images sont faites «pour frapper, pour émouvoir». Cette suffusion de vignettes dans le biotope lausannois est une invitation à la promenade, à la redécouverte de la ville et des grands moments de BDFIL.

• Gavarnie. Visite libre à Gavarnie du jardin botanique et de ses 8 étages paysagers représentants environ 80 % du biotope montagnard (hêtraie, pelouse montagnarde, prairie alpine et subalpine, bétulaie, éboulis…).

• Plusieurs passionnés de chiens d’arrêt, adhérents de la Société de chasse communale de Telgruc-sur-Mer, souhaitent le retour de la perdrix grise dans la campagne telgrucienne, un oiseau emblématique de la commune. « La densité actuelle de perdreaux est assez faible alors que le biotope est très favorable », précise Hervé Cyrille, chasseur. Quelques sociétaires, dont Henri Euzen, Jacques Marchadour et Hervé Cyrille, ont donc décidé de mener un projet de réimplantation de la perdrix grise sur le territoire de la Société de chasse.

• L’ehrlichiose granulocytaire bovine, également appelée “fièvre des pâtures” ou “maladie des gros paturons” est transmise par les tiques dans les zones favorables au développement de ce petit parasite “suceur de sang”. Les zones à forte humidité relative, les pâtures proches des bois, les bordures mal entretenues, les landes ou les friches constituent le biotope qu’affectionnent les tiques.

• Bravo c’est le premier article que je lis avec le nom exact de l’espèce en question: Oryx algazelle de son vrai nom oryx dammah. Animal du sahel désertique, l’espèce ne serait pas dans un biotope proche de son origine à Bandia. Il y a un autre oryx dont le nom est trompeur: oryx gazelle qui lui est très répandu en Afrique du Sud et Namibie. Je n’ai pas visité Bandia mais j’ai vu des photos qui laissent penser qu’il y en a à Bandia. Il est peu probable qu’il s’agisse de cet oryx dans l’affaire en question. Il y a deux autres oryx leucoryx, celui d’Arabie et celui d’Afrique de l’est oryx beisa.

• ? Domaine la Tourraque : Depuis 1805, le domaine cultive et protège cette vallée, un biotope unique peuplé d’une faune riche. Avec une appellation AOP Côtes de Provence et 30 hectares dont des cépages plus rares comme le Tibouren ou le Muscat, le domaine respecte les règles de l’agriculture biologique.

• Le dauphin blanc de Chine, placé sous protection de première catégorie par l'État, a été inscrit en 2008 sur la liste rouge des espèces menacées établie par l'Union internationale pour la conservation de la nature. Depuis longtemps, on considère que son importance est égale à celle du panda géant. Les dauphins blancs de Chine existent depuis une dizaine de millions d'années. La baie de Sanniang constitue de longue date un biotope pour ces mammifères marins.

• Jeudi 17 mars, Geo, le jardinier de l’écomusée, a parlé avec sept jardiniers amateurs de la grainothèque et des graines adaptées au biotope du secteur. Il s’agit aussi de bien cultiver les plants, surtout non hybrides, et de récolter les graines sur les premiers plus beaux fruits obtenus.

• Truffe extra France, premier producteur et sélectionneur de truffes en Aquitaine, lance à travers sa marque Aléna, dédiée à la truffe d’exception et fournisseur de nombreuses tables étoilées dans le monde, une initiative pour le moins intéressante. Le principe, dans une période où la filière doit composer avec des débouchés impactés en restauration : permettre aux particuliers comme aux professionnels de devenir parrain, ou marraine, d’un chêne truffier pendant 15 ans, dans une jeune truffière de 9000 arbres plantés sur 30 hectares à Gout-Rossignol en Dordogne, où le biotope naturel du 19ème siècle a été reconstitué.

• L'opération que l'entreprise vient de boucler vise à donner au nouvel ensemble une force de frappe européenne décuplée. Biotope annonce ainsi, le 12 septembre, se rapprocher de deux de ses partenaires de longue date : BioConsult SH, cabinet leader en Allemagne sur les questions d'écologie (avec une appétence sur l'offshore), et l'entreprise britannique HiDef Aerial Surveying, spécialisé dans les relevés aériens numériques haute résolution de la faune marine, rachetée en 2016 par Georg Nehls, le directeur général de BioConsult SH.

• La Bécassine des marais vit et se reproduit dans les zones herbeuses humides, au bord des marais d'eau douce, des étangs, des prairies inondées. Une espèce qui profite à cette saison du biotope qu'offre la basse vallée de l'Allan à l'occasion des haltes migratoires.