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Citations sur le bief

Il y a 34 citations sur le bief.

• Du côté de l'eau on entendait un bruit de rouages et la nouvelle manœuvre des valves : le bateau de Tom Wills passait dans le dernier bief du canal.

• Dans un bief, il ne peut exister qu'un hippopotame mâle.

• Un bief de cinq kilomètres, un prodige et une déraison. Le tronçon lilliputien fut construit à même le lit de la Loire, longeant celle-ci sur tout son trajet. Les travaux furent interrompus par la grande guerre, terminés avec des prisonniers allemands pour aboutir en 1921 à la création de cette merveille d'esthétisme.

• Deux jeunes auraient volontairement vidé le bief du canal de Nantes à Brest, à hauteur de l’écluse de Kervezo, à Saint-Gonnery. Les membres de l’Association de pêche ont pu sauver quelques poissons en rouvrant rapidement le bief, mais ils déplorent cependant la mort d’une centaine d’autres. [Plus d’infos]

• Deux batardeaux vont servir à assécher la partie du bief endommagée, afin de permettre l’intervention des entreprises retenues, ETR, Seignette et COPEX littoral.

• "Pourtant, l’assèchement du bief se poursuit dramatiquement et nous avons retrouvé plusieurs cadavres de poissons. Le 26 juillet dernier, nous avons fini par demander l’intervention de Jean-Luc Bourdiec, huissier de justice, qui a rendu un écrit faisant état que l’ouvrage était bien destiné à la retenue d’eau et que le bief situé en amont de notre propriété relève du domaine public. À cet effet, je viens d’envoyer un recommandé à Michel Rapicault, maire de Beaulieu-sur-Loire, pour que ses services puissent intervenir sur ce grave problème environnemental", ajoute Florent Meunier.

• Armés de faucilles et de pelles, des bénévoles agissent discrètement, et depuis longtemps, par simple souci de préserver les lieux. Débroussaillage, tronçonnage, maçonnerie, il y a beaucoup à faire. Récemment, tous ces volontaires se sont réunis dans l’association « Le sentier du bief », créée pour préserver ce site. Ce samedi 7 mars, sous la conduite de Thierry Gainche, leur président, et des habitués des lieux, un inventaire des tâches à accomplir a été entamé. Un grand chantier mais avec beaucoup d’enthousiasme. L’association sera un partenaire solide des collectivités.

• À tout ça, s’ajoutent des poubelles jetées dans le bief ; des caillassages de vitres ; un arbre cassé sur la promenade Jean-Pierre Harris...

• Jeudi 9 janvier, le comité de pilotage de suivi de la restauration écologique des ouvrages de Poissons, sur le Rongeant, s'est réuni.Il s'agissait d'envisager divers scénarios en vue de la réfection du bief qui alimente le moulin du village et des ouvrages de répartition. La décision interviendra en cours d'année.

• Avant de pouvoir procéder au dévenvasement du bief, Eric Seguet et son équipe ont dû monter un dossier technique auprès de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM).

• Un canal à bief de partage assure la communication entre deux bassins fluviaux voisins en franchissant le point de partage des eaux qui les sépare. Il existe donc deux versants et, à l’altitude la plus élevée, un bief de partage alimenté en eau par des rigoles. Il est aussi appelé canal de jonction.

• Sur le canal de Berry, « certains biefs se vident beaucoup plus vite que d’autres et les très fortes chaleurs augmentent d’autant l’évaporation de l’eau ». La gendarmerie patrouille régulièrement le long du canal, afin de vérifier que les pelles restent bien fermées.

• Jeudi, le bief du canal du centre à Palinges était vide d'eau. Mais pas d'humains. Plusieurs techniciens de la Fédération de pêche de Saône-et-Loire sont descendus dans le fond pour sauver les poissons. Lors d'une pêche électrique, ils ont capturé plus de 700 kg de poissons, dont une majorité de carpes, sous trois ponts, dans une écluse et dans une tête d'écluse.

• Elle va surtout donner lieu à deux types de pêches miraculeuses. Une vraie d’abord. Dès mardi, les spécialistes de la fédération départementale de pêche entreront en action pour déménager carpes, brêmes, brochets, poissons-chats et autres « habitants » avant qu’ils ne manquent d’air. Cette « pêche électrique » doit les étourdir momentanément, le temps de les transporter et de les relâcher en aval ou en amont du bief vidangé.

• Le barrage des "six vannes", à Longvic (Côte-d’Or), s’est effondré. Conséquence la plus visible dans les prochaines semaines : l’assèchement quasiment complet du bief, qui traverse toute la commune.  

• C'est le chantier le plus lourd, en terme structurel, mené actuellement sur le canal de Briare. Et l'un des plus coûteux. Profitant de la période de chômage, Voies Navigables de France (NVF) refait le bief le plus haut de Rogny-les-Sept-Écluses, une portion de 300 mètres en amont des écluses qui descendent vers le village. Il s'agit de travaux dits de « cuvelage », envisagés depuis plusieurs années et destinés à améliorer l'étanchéité du site.

• On appelle ça le "chômage". Chaque année le Canal du Midi est vidangé en hiver pour réaliser des travaux d'entretien. La plupart des biefs, entre 2 écluses, restent en eau pour le stationnement des bateaux. Mais d'autres, comme à Gardouch, choisissent de se poser au fond des biefs asséchés.

• Ce samedi a eu lieu le nettoyage du bief des Courtines, grâce aux membres de l'association « Ne touchez pas à nos biefs ». Equipés de leurs gants, de leurs bottes et cuissardes, tous ont à cœur de préserver le bief, qui fait partie du paysage issois depuis 800 ans.

• Des truites, des goujons, des chevesnes, des chabots, des vairons, morts sur plus de 2 km. Les travaux de réfection engagés depuis la semaine dernière sur la lagune de la société Européenne gastronomique de charcuterie (EGC), ont eu des conséquences désastreuses pour la faune piscicole du bief du Laval.

• Des habitants ont aperçu deux jeunes en scooter blanc s’amuser à vider le bief du canal de Nantes à Brest, à hauteur de l’écluse de Kervezo en Saint-Gonnery, jeudi 28 mai en fin de journée . L’alerte a été donnée et les membres de l’Association de pêche de Saint-Gonnery ont pu sauver quelques poissons en rouvrant rapidement le bief, mais ils déplorent cependant la mort d’une centaine d’autres. « Une catastrophe écologique due à la bêtise et à l’inconscience. Espérons qu’ils paient pour leur geste », s’emportaient les riverains, ce dimanche 31 mai. Le service des voies navigables de la Région a déposé une plainte.