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L’un des principaux risques d’Iter est lié à la nature du matériau qui recouvrira la paroi interne du réacteur : le béryllium, un métal ultrarésistant au point de fusion très élevé. Aussi toxique que l’arsenic, le mercure ou l’amiante, il peut provoquer des maladies pulmonaires incurables et des cancers du poumon, même dans des quantités infimes. Or le réacteur d’Iter nécessitera 12 tonnes de béryllium pur, soit une concentration inédite sur la planète, et il faudra régulièrement traiter ce matériau effrité et irradié à la sortie du réacteur. Reporterre, le média de l'écologie - Indépendant et en accès libre — Stress, peur, pression : le difficile quotidien des salariés du réacteur nucléaire Iter
Néanmoins, dans un cas comme dans l'autre, sur le papier cela bénéficie aux caractéristiques acoustiques de ce casque. En effet, le béryllium possède la plus grande vitesse de propagation mécanique après le diamant, ce qui lui permet de délivrer une excellente énergie et une qualité peu commune dans les aigus. Pour apporter un peu plus d'impact, ce transducteur s'appuie sur un diamètre de 50 mm, plus adapté aux dimensions des coussinets que ne pourraient l'être des transducteurs de 40 mm (encore que les Focal s'en sortent plus que bien malgré ces dimensions). KLH Ultimate One : luxe et béryllium pour ce casque Hifi étrangement abordable
Les auteurs ont retracé avec précision l’histoire du champ magnétique grâce au béryllium 10 (10Be), une version alourdie du béryllium (on parle aussi d’isotope). Cet élément se forme dans l’atmosphère, lorsque des particules cosmiques radioactives percutent de l’oxygène atmosphérique, avant d’être précipité au sol avec les pluies. Son accumulation en couches successives, avec divers minéraux, aboutit à la formation d’une roche sédimentaire dont la concentration en béryllium 10 renseigne sur l’intensité du champ magnétique: plus celle-ci est faible, plus le rayonnement cosmique est important, et plus le béryllium 10 s’accumule. Le champ magnétique terrestre va-t-il nous lâcher? - Le Temps