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Citations sur le bécasseau

Il y a 30 citations sur le bécasseau.

• En revanche les deux bronzes signés Galoyer ont un peu déçu. Estimés respectivement 2 900 à 3 000 € et 1 900 à 2 000 €, ces drôles d’oiseaux – un geai d’Amérique et un bécasseau, lot 288 et 289 – sont partis respectivement à 2 000 € et 1 900 €.

• "Choisir le nom de votre équipe nationale est un grand moment. On rigole beaucoup. Il y a cet oiseau appelé 'sandpiper' (bécasseau). C'est un petit oiseau, un 'Speedy Gonzales' toujours sur la vague de bord, en mouvement ; j'aime le nom 'Aussie Sandpipers' (Les bécasseaux australiens)."

• Durant plus de trois jours, accompagnés d’un guide naturaliste de la LPO, les marais salants s’offrent à vous sur les traces des oiseaux. Barge à queue noire, Chevalier gambette, Grand Gravelot, Bécasseau variable, Huîtrier pie, Courlis cendré, sont autant d’oiseaux présents et dont vous découvrirez et observerez la vie, la migration et l’habitat.

• Les richesses écologiques et paysagères de la Petite mer de Gâvres en font un site naturel exceptionnel, préservé de l’urbanisation, de la circulation et reconnu d’intérêt écologique majeur au niveau international. Elle se distingue par la qualité de ses paysages, la diversité de ses milieux et la présence de milliers d’oiseaux dont l’avocette élégante, le chevalier gambette, le pluvier argenté, la bernache cravant, le bécasseau variable ou encore le grand gravelot.

• Parmi celles-ci, on compte plusieurs espèces menacées, comme le goglu des prés, l’hirondelle rustique, l’hirondelle de rivage, l’engoulevent d’Amérique, la paruline du Canada et le moucherolle à côtés olive. Une autre espèce, le bécasseau maubèche, est en voie de disparition.

• Pour les chasseurs, la grande famille des limicoles a fondu au fil des ans. Quantité d’espèces ont sauté dans l’espace protégé : tournepierres, tous les bécasseaux sauf le maubèche, barge à queue noire, courlis cendré. Certaines espèces – barge à queue noire, courlis cendré – font certes l’objet d’un moratoire, mais ce dernier s’éternise. C’est toujours la règle en France : un oiseau classé sur la liste des espèces protégées n’en sort pas, quelle que soit l’évolution des effectifs.

• Le Bécasseau maubèche nord-américain est un limicole migrateur qui niche en Amérique du Nord et dont les effectifs ont fortement chuté ces dernières années (la population est passée de 60 000 oiseaux avant l'année 2000 à moins de 10 000 en 2013). Durant sa migration, ce bécasseau fait une halte migratoire en Guyane avant de rejoindre l'argentine (la Terre de feu), sa zone d'hivernage.

• Elle héberge, en période hivernale, l’essentiel des effectifs d’oiseaux d’eau de l’estuaire de la Somme : tadorne de Belon, sarcelle d’hiver, canard pilet, huîtrier-pie, barge rousse et à queue noire, courlis cendré, chevalier gambette, bécasseau maubèche et bécasseau variable.

• Sur la plage, souvent à faible distance, vous pourrez ainsi admirer un huîtrier pie, un bécasseau sanderling arrivant du Groenland ou de Sibérie, ou encore un tournepierre, fraîchement débarqué du Canada, qui retourne pierres et algues à la recherche d’aliments dissimulés.

• Comparaison des tailles d’un des plus grands chevaliers visibles en Europe, le Chevalier aboyeur (Tringa nebularia), et d’un des plus petits bécasseaux, le Bécasseau de Temminck (Calidris temminckii). Photo prise dans le delta de l’Èbre (Espagne) en janvier 2020. Photographie : Michel Leroux

• Et la chance a souri aux observateurs : bécasseau variable, chevalier aboyeur, chevalier sylvain, chevalier guignette, petit gravelot mais aussi héron pourpré, aigrette garzette, bergeronnette printanière ont pu être admirés dans de très bonnes conditions.

• Saviez-vous qu’Ambon est le centre du monde ? C’est en effet là qu’un chevalier à pattes jaunes, oiseau américain, s’est posé pour faire une halte entre Arctique et les tropiques. Tout comme un bécasseau à queue pointue, en route de l’Australie vers la Sibérie orientale. Alors oui, pour eux, les marais d’Ambon sont le centre du monde.

• « Dès septembre, la Guyane accueille pendant quelques semaines ou quelques mois une grande partie des limicoles (« oiseaux des rivages » ) nord-américains, dont la majorité sont en déclin. Le Bécasseau semi palmé, qui représente le contingent le plus important sur la côte guyanaise, aurait perdu 80 % de ses effectifs en 30 ans, d’après les comptages effectués par les scientifiques américains. Le Chevalier à pattes jaunes a décliné quant à lui de 70 %. Quant aux espèces nicheuses, Echasse d’Amérique, Gravelot d’Azara et de Wilson, bécassines, leurs effectifs en Guyane paraissent bien fragiles. »

• - 31 janvier pour les canards de surface (canard colvert, canard chipeau, canard pilet, canard siffleur, canard souchet, les sarcelle d’été et d’hiver), les rallidés (foulque macroule, poule d’eau, râle d’eau) , les Alouettes des champs, les oies (oie cendrée, oie rieuse, oie des moissons), les canards plongeurs (fuligule milouin ou morillon, Garrot à œil d’or, Nette rousse), les limicoles (Barge, Bécasseau maubèche, Bécassine des marais, Bécassine sourde, Chevaliers,Courlis, Huîtrier pie, Pluvier, Vanneau huppé) ;

• Le bécasseau maubèche se nourrit de mollusques de très petite taille principalement, de quelques petits crustacés et d’insectes (en été surtout).

• Le cygne tuberculé, le canard souchet ou la sarcelle d’hiver ont atteint des effectifs record. Le tournepierre à collier, le bécasseau maubèche, le flamant rose ou encore la spatule blanche ont également été vus en nombre. Les populations de grèbes et de certains groupes de canards, en revanche, continuent de décliner.

• Pour les bécasseaux, la tendance est à la hausse : c’est vrai pour le bécasseau maubèche, mais c’est surtout sensible pour le bécasseau sanderling. Les effectifs moyens, qui étaient de 115 entre 1998 et 2008, sont passés à 700 la décennie suivante, pour atteindre 1 278 cet hiver, avec un record à 1 753. « Cela fait de la réserve naturelle, un site d’importance internationale pour cette espèce ».

• Alors qu'un juvénile a séjourné dans les salins des Pesquiers à Hyères (Var) du 17 au 26/09/2018 (au moins), nous énumérons les critères pour distinguer cette espèce du Bécasseau minute, qui lui ressemble étroitement.

• L’équipe Bretagne Vivante de la réserve naturelle a d’ores et déjà établi un bilan localisé de l’opération. Au total, 2 850 oiseaux ont été observés (3 102 en 2021) et 32 espèces différentes dénombrées (36 en 2021). « Parmi les espèces hivernantes régulièrement observées sur le littoral de l’archipel, on note notamment plusieurs espèces de limicoles (bécasseau sanderling, bécasseau variable, grand gravelot) dont le bécasseau violet qui est une espèce qui se reproduit dans l’Arctique », commente Marion Diard.

• Les oiseaux : la pointe du Conguel est un très bon site pour observer le Bécasseau violet entre la fin septembre et avril, et quelques limicoles comme le Bécasseau sanderling se nourrissent sur les plages des criques. En hiver, les Plongeons catmarin et imbrin, et le Grèbe esclavon sont réguliers en mer. La pointe est favorable à l’observation des passereaux migrateurs qui peuvent faire une halte sur les pelouses rases ou dans les bosquets. Le Phoque gris et des dauphins sont aussi parfois visibles.