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Citations sur la bande-son

Il y a 62 citations sur la bande-son.

• Une anecdote racontée par le saxophoniste Barney Wilen qui figurait sur l’enregistrement de la bande-son du film de Vadim Les liaisons dangereuses (1960) éclaire immédiatement les rapports de Thelonius avec la Baronne.

• Des bruits de marteau, de perceuses et de scie-sauteuse, voilà la bande-son de la capitale américaine à quelques jours de l’élection présidentielle.

• Des applaudissements, des cris et toutes autres sortes de chahut pour soutenir le personnel de l’hôpital : la bande-son ressemble à celle des balcons à 20 heures pendant le confinement. Sauf que cette fois, ce sont les soignants eux-mêmes qui ont fait du bruit.

• Vous pouvez retrouver la vidéo de nos débats ci-dessus. Si vous voulez n’avoir que la bande-son pas toujours simple à écouter - promis, quand on est tous de retour à 100% ce sera plus audible -, vous êtes servis, puisqu’un clic ci-dessous ou un transfert sur Soundcloud et c’est parti!

• Le colophon du jeu est fait par une section graphique simple mais colorée et très drôle, remplie de figurines de golfeurs, de rampes ou de chevaux; et une bande-son tout aussi « terne » que le reste du jeu. Soit dit en passant, à la fin du générique, ils promettent que Ils travaillent sur de nouvelles mises à jour du jeu.

• Quand la photo est belle, c'est l'enchantement, mais quand sa beauté devient trop prégnante et que le soin qui lui est apporté trop perceptible , elle nuit à l'argument du film. C'est dans ce travers que Terrence Mallick est tombé et s'est complu de bout en bout. La bande-son parfois emphatique accentue le côté délibérément christique de Franz Jägerstätter, personnage central du film.

• Pour l’instant, quatre ensembles sont disponibles, et disposent chacun d’une tuile signature unique ainsi que d’un élément d’accrochage pour les suspendre et les déplacer facilement. Chaque ensemble Lego Art s’accompagne d’une bande-son sur mesure, idéale à écouter pendant la construction. Ponctuées d’anecdotes des créateurs d’Iron Man et de Star Wars, ou de spécialistes de l’histoire d’Andy Warhol et des Beatles, les bandes-son explorent les origines de chaque design afin de vous aider à s’immerger pleinement dans l’expérience de construction.

• Pour celui qui publie régulièrement sur Instagram, que cela soit son job ou non, construire une légende bien calibrée, avec saut de ligne pour structurer le tout, et bien disons…ça peut vite s’avérer crispant…on en vient à utiliser l’espace, le tiret et le point…la bande-son de l’expérience utilisateur est constituée de grommellements !

• Constitué d’une mosaïque de témoignages (DJ, journalistes, organisateurs, patrons de clubs, fêtards…) assemblés en chapitres thématiques, le livre dessine une fresque ultra-vivante de la rencontre d’une ville brusquement réunifiée – et quasi jumelée à Detroit (Michigan) – et d’une musique offrant la bande-son idéale de sa libération, dans des lieux se réinventant dans une explosion d’endomorphine, de drogue et de sexe.

• Stax, le label soul légendaire est le genre de film que l’on met du temps à regarder. Toutes les dix minutes, la bande-son proposée vous donne l’envie d’aller fureter sur Internet et de se délecter des références citées.

• Des critiques qui n'ont pas empêché le Néerlandais de 29 ans de faire preuve d'autodérision dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, dans laquelle il met en avant les messages insultants et reprend une bande-son dans laquelle le personnage principal évoque ses difficultés.

• Très âpre, la mise en scène est portée par un brillant montage et une bande-son magistrale (se servant des bruits de la forêt pour composer un paysage sonore envoûtant), qui renforcent le côté hallucinatoire d’un film dont on sort dévasté. Véritable expérience pour les sens, Monos n’épargne rien au spectateur, n’élude rien et n’a guère plus de confiance en l’enfance qu’en l’âge adulte quand il s’agit de montrer le pire dont l’être humain est capable.

• Le harpon de Faraday lui permettra d’agripper ses ennemis ainsi que divers points d’encrage afin d’avancer à la vitesse de l’éclair, dans un jeu qui s’annonce déjà, au vu des premières images dévoilées, diablement nerveux. La page Steam du titre, sur laquelle devrait bientôt être disponible une démo, nous annonce que Olija est inspiré “des légendes de marins et de la fantasy asiatique” et qu’il possédera une “magnifique bande-son mélancolique inspirée par le flamenco, la lo-fi et la musique japonaise traditionnelle“. Rendez-vous à l’automne sur Nintendo Switch et PC pour voir ce que tout cela donnera.

• Titre isométrique tactique de style X-Com, la marque 1971 du projet Helios de la post-apocalypse avait une bande-son vraiment phénoménale. Alors que la musique de combat était redondante, la musique s’est vraiment démarquée pendant les moments difficiles. Les morceaux d’ambiance que le compositeur Xabi San Martín a conçus pour ce jeu sont absolument incroyables.

• Pour compléter ces aides, on peut aussi utiliser le support audio. Il existe, en effet, trois types de mémoire : la visuelle qui passe par la représentation mentale (image), l’auditive par l’ouïe, et la kinésique par le mouvement. Le fait de dessiner s’appuie sur les mémoires visuelles et kinésiques. Pour les enfants qui sont plus à l’écoute, on peut enregistrer les mots en les épelant. L’enfant se repasse alors cette bande-son et répète les mots à son tour pour les mémoriser.

• Cet été, le spectacle équestre proposé dans le cadre des Jeudis du haras de Lamballe évolue au fil des « Quatre saisons » de Vivaldi. Pour rythmer cette scénographie, point de bande-son mais un trio de musiciennes classique. Placées au cœur du manège, Chloé (piano), Marie (violoncelle) et Dorota (saxophone) jouent au milieu des chevaux. Une prestation, pour ne pas dire une performance, qu’elles qualifient de « galvanisante ». [Plus d’infos]

• Voyez comment il vous entraîne dans son monde. Il se profile au fond de la scène, capuche blanche de skateur ou de moinillon, démarche lente accordée à des secousses intra-utérines. Un appel venu de très loin. Cette bande-son conçue par le musicien Julien Lepreux, complice du chorégraphe, est un territoire effervescent, organique d’abord, liturgique dans un moment, symphonique à l’improviste. 

• Annoncé pour 2021 sur PC, Xbox Series X et Xbox One, le jeu nous place dans la peau d'un gamin du début des années 90, qui va enquêter avec ses amis sur l'origine d'un mystérieux crash et se lancer dans une quête pour sauver sa ville des monstres, de robots maléfiques et des autres saletés qui voudront essayer de la détruire. Surfant allégrement sur la vague nostalgique des années 80 et 90, Echo Generation proposera notamment une bande-son synthwave prévisible et une esthétique pixel art 3D, qui lui donne l'aspect d'un jeu fait entièrement en LEGO.

• Il s'agit d'un vrai retour aux sources : un jeu de plate-forme à l'ancienne, en 2D. Mais comme nous sommes en 2011, le titre affiche des graphismes haute définition. Les décors sont riches, les détails amusants, les animations des personnages tordantes et les couleurs éclatantes. Pour ne rien gâcher, la musique est très réussie : avec ses voix rigolotes, ses airs de guimbarde et de ukulélé, la bande-son sonne parfaitement dans cet univers décalé. On en prend plein les yeux et les oreilles.

• L'assemblage de la bande-son du livre DVD "De nature bourbonnaise" est achevé. Les Studios Palace à Moulins ont rebruité et mixé "160 lignes de son" pour habiller les images de pleine nature de l'association yzeurienne Focalis.