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Citations sur le bah

Il y a 72 citations sur le bah.

• Je suis allé un an en pension arménienne, quand même, à Sèvres — une pension qui s’appelait Meritarian, qui a fermé depuis. […] Donc ça, ça été ma vraie expérience de l’arménité, de mon arménité, sauf que, en fait, il n’y avait pas de prof d’arménien : le prof c’était le pion, et comme il était pas payé pour faire cours, bah il faisait pas cours. — (Alexis HK, in Par Jupiter !, France Inter, 11 octobre 2018.)

• — Vous ne pouvez pas épouser un Eugène Duthoit. D’abord, « Eugène », c’est un nom ridicule ! — Ah ! bah ! — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 370)

• – Mon ami, lui dit-elle aussitôt, je viens d’apprendre quelque chose d’excessivement triste. Le pauvre Saint-Père est emprisonné. – Pas possible ! fit Amédée comme il aurait dit : Bah !

• Voyageur. Bah ! Ceux qui ont fait le tour du monde peuvent faire durer leur conversation un quart d'heure de plus.

• Marine Delbove, 16 ans, s’en amuse. « Entre cavalières, on a coutume de dire que l’on va forcément faire des fautes si l’on porte des affaires neuves. Parfois, c’est le cas ! » Et quand ce n’est pas le cas ? « Oh, bah on n’y pense pas (sourire). »

• Selon Miguel Ruiz, il est nécessaire de prendre conscience que nos hypothèses ne sont pas forcément fondées, et qu’elles peuvent être nuisibles. C’est en tout cas vrai quand cette création de notre pensée devient une croyance, car en réaction, nous élaborons également un comportement de pression. Bah oui, en contrepartie, vous aussi vous allez bouder contre Camille qui n’a rien demandé ou alors vous allez tous faire pour la défâcher : des comportements sources d’angoisse et de stress.

• Un jeune professeur du lycée du nom d’Aboubacar Bomboli Bah vient d’être inculpé de vi0l d’une fille âgée 10 dans le quartier Hafia, commune urbaine de Koundara. Le bulletin médical issu de l’hôpital préfectoral atteste une hypertonie de la fourchette vaginale au niveau de la sphère génitale de la fille suivie d’une défloraison récente par suite de vi0lences .

• Ça fait bien longtps que dire des choses intéressantes sur internet, ce n’est plus possible !!! Du coup... bah défouloir façon neuneu à là An... ou Dim... 😁 Par contre la fonction pour bloquer ces neuneus, c’est magique que macg😅

• Voici les noms «des victimes tuées par les forces de défense et de sécurité et dont les corps étaient confisqués par les autorités à l’effet de dissimuler les crimes». Mamadou Issa Bah 22 ans,  Mamadou Saidou Bah 20 ans, Mamadou Baïlo Diallo 34 ans, Idrissa Barry 15 ans, Souleymane Barry 17 ans, Mamadou Hafiziou Diallo 28 ans,  Ousmane Barry 23 ans et El Hadj Ibrahima Diallo, 17 ans.

• Pour ce tout petit prix riquiqui – bah oui, on parle d’une piscine tout de même – votre engin sera muni d’un filtre à cartouche, d’une bâche de protection, d’un thermomètre, d’un doseur flottant et également d’un épurateur de surface. Un prix riquiqui pour une piscine plus que complète donc.

• honnêtement excellente idée le mode arachnophobie, ne l'étant pas je trouverai vraiment dommage que certains doivent passer à côté du jeu à cause de sa phobie. Pour exemple j ai un pote qui ne peut jouer a Subnautica car vraiment peur des fonds marins bah je vous assure qu'il aimerait passer outre cette phobie et quand il m'arrive de jouer devant lui il apprécie vraiment le jeu mais ne peut s'empêcher de détourner le regard de l'écran par moment car ne supporte pas le fond ou tu ne sais pas ce qu il y a derrière toi...du coup belle initiative ce mode arachno^^

• On ne va jamais grandir en rabaissant les grands. C’est probablement ce que les deux autres jeunes ont compris. Thierno Souleymane Diallo a quitté l’UPR sans égratigner Bah Ousmane. Sans doute qu’il a tiré les leçons de son départ fracassant de l’UFDG annoncé à l’époque comme un séisme politique au sein de ce parti. Dans une interview sur notre quotidien électronique, le nouvel adhérent aux NFD dit être en parfaite entente avec ses anciens amis de l’UFDG.

• 8.42 Car vous pensez que William est parfait ? C'est là la grande erreur ! C'est le préféré de son père, on le vénère car il sera ROI. En grattant c'est un faux-cul et dire à un frère qui ose s'affirmer : Tiens t'es encore fragile, .... bah je suis contente de ne pas l'avoir comme frère ce type !

• "Ouais, t'emballe pas non plus, c'est une flammette. Et tu sais pourquoi qu'on ajoute à flamme le suffixe 'ette' ? Bah c'est pour apporter une nuance de minimisation. Une petite maison, c'est une maisonnette ; une petite affiche, c'est une affichette ; et Zahia c'est une salopette", dit le joueur. "Ouh la !", s'inquiète Mademoiselle Jade. "Bah quoi, ça vient minimiser le fait que Zahia, c'est...", se défend le joueur, interrompu par son interlocutrice.

• Et le plus drôle, c'est que si tu t'amuses à intercepter un criminel avec ton Cutlass Blue malgré que tu ais réussi ta mission d'affiliation pour la chasse à la prime ... bah tu te manges un CrimeStat, comme les autres. Ah les bons plans mystiques de Tonton Roberts, il me fera toujours rire ce vieux grigou.

• Le président brésilien qui chope le coronavirus. Mais bah ! rien d’extraordinaire, dirait-on. Il faut cependant savoir à qui on a affaire, en l’occurrence l’approche qu’il développe à propos de ce terrible mal à l’égard duquel il affichait une désinvolture innommable jusqu’à ce que Covid-19 ne l’infecte.

• Et puis, il y a les laissés-pour-compte. Laurine et Isabelle sortent un peu désemparées de la gare, car pour elles, la SNCF n'a trouvé aucune alternative. "Tous les trains sont complets, et ce n’est pas possible de trouver une nouvelle place. Ils n’ont aucune solution pour le moment", peste la première. "Ils doivent au moins nous donner un billet échangeable sans surplus", revendique la seconde. "Du coup, je me suis dirigé vers le guichet pour avoir une explication et trouver une solution. Et là c’est sans solution pour l’instant. Bah là, oui je ressors un peu bredouille", conclut-elle, dépitée. 

• Flouer les autres fait partie de leur façon normale de faire des affaires. C’est à qui entubera l’autre. On tente le coup. Si ça passe, tant mieux, si ça casse, bah c’est fini, on ne s’en tient pas rigueur. La vérité n’existe pas pour eux avec la même rigueur que pour nous. Elle est arrangeable à l’infini. En Afrique, tout est possible en y mettant le prix (pas forcément énorme) MAIS RIEN N’EST GARANTI. Vous pouvez être dans votre droit le plus absolu, vous pourrez quand même « avoir tort ». A moins de payer.

• De poésie ? Bah merci pour ce beau compliment, je ne m’étais même pas rendu compte du versant poétique que pouvait présenter mon hypothèse ! Au contraire, les bottes, je trouve toujours ça + romantique… ;-) C’est donc « le comble de l’artistisme », comme dirait DPC !!!

• Quand j’étais une ado mouton qui répétait sans cesse les mêmes expressions surfaites, mon père me les faisait répéter encore plus et en abusait lui-même jusqu’à ce que je n’en puisse plus de les entendre. Ça s’appelle user les mots il paraît. Hé bah avec le mot bienveillance, j’en suis là. Usé. Élimé. J’en peux plus de le voir sur utilisé à tout va. Ce mot est devenu un code de bonne conduite. Un guide à respecter en toutes circonstances et en tous temps.