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Citations sur l'autant que - Page 8
Il y a 578 citations sur l'autant que.
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Lorsque le chargement du bateau ou du convoi au moment de l'essai est inférieur à 70 %, le déplacement autorisé en navigation avalante doit être fixé en fonction du chargement effectif, pour autant que les valeurs limites visées au point 2 .
Recommandations relatives à des prescriptions techniques harmonisées à l'échelle européenne applicables aux bateaux de navigation intérieure — résolution n° 61 -
Rien ne séduit les étrangers autant que les attractions de Paris.
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Outre ces témoignages de sa vie d’écolier, respectés et conservés, je le crois, avec attachement par l’homme qui se sentait vieillir, il y avait d’autres attestations de lui-même, de ce qu’il avait été, de ce qu’il avait pensé, et que je dois faire connaître, quoique le caractère en fût bizarre autant que puéril.
Eugène Fromentin — Dominique -
En poussant la porte du séminaire qu’Alain Badiou a consacré à l’École normale supérieure à celui qui fut un « compagnon essentiel autant que malaisé », on plonge dans une pensée en actes. Avec Nietzsche et Wittgenstein, Lacan est érigé en figure de l’antiphilosophie : comme eux, il proclame la suprématie du sens sur la vérité.
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On peut être athée et posséder en premier lieu l'altruisme, qui est une qualité génétiquement inscrite dans l'être humain autant que le désir sexuel.
Bernard Maris — « Domination » -
− Mais enfin! ... Pourrais-tu pas me faire entrevoir une répétition? J'en serais très curieux parce qu'à la bataille je serais nerveux et l'œil sur la salle autant que sur la scène. Enfin, alors comme alors. Puisque tu m'offres une belle loge, fais qu'il y ait un coin pour toi, pour te venir reposer. , avr.
André Gide, Paul Valéry — Correspondance, lettre de Paul Valéry à André Gide -
Dans chaque maison, même, on recommande de tenir autant que possible le malade en un appartement distinct. Les hôpitaux ne sont que des constructions exceptionnelles et restreintes, pour l’accommodation temporaire de quelques cas pressants. « Vingt, trente malades au plus, peuvent se trouver, − chacun ayant sa chambre particulière, − centralisés dans ces baraques légères… »
Jules Verne — Les Cinq Cents Millions de la Bégum -
Mon cher confrère, Permettez-moi de vous donner ce titre après votre réception à l'unanimité, ce dont je vous félicite autant que la société elle-même à laquelle je pense avoir acquis un membre actif. Je saisis cette occasion de vous exprimer mes sentiments les plus distingués, de Balzac.
auteur -
Facilité, dis-je, me voilà ramené droit à Eluard. En effet, des mots de cette ardente langue française, qui jamais ne fut aussi femme que lorsque c’était lui qui la couchait sur le papier, il en est peu qui lui appartiennent autant que celui-là sous la forme de l’adjectif dérivé.
André Pieyre de Mandiargues — Préface de Capitale de la douleur -
Je connais le métier autant que toi. Je sais ce que vaut un papier comme ça. Si c’est un flop, tu ne me dois rien et on n’en parle plus. Ça te va comme marché ?
Catherine Simon — Un baiser sans moustache -
C’est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t’avertit, dès l’entrée, que je ne m’y suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n’y ai eu nulle considération de ton service, ni de ma gloire. Mes forces ne sont pas capables d’un tel dessein. Je l’ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis : à ce que m’ayant perdu (ce qu’ils ont à faire bientôt) ils y puissent retrouver aucuns traits de mes conditions et humeurs, et que par ce moyen ils nourrissent, plus altière et plus vive, la connaissance qu’ils ont eue de moi. Si c’eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu’on m’y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car c’est moi que je peins. Mes défauts s’y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l’a permis. Que si j’eusse été entre ces nations qu’on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t’assure que je m’y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain.
Montaigne — Essais -
Le bien autant que le mal est un obstacle à la libération. « L’enfer est pavé de bonnes intentions. » C’est au nom du bien que les hommes se font du mal. Le bien est un des piliers de l’égoïsme, de l'incompréhension et de la souffrance.
Arnaud Desjardins — Les Chemins de la sagesse -
De Perpète-lès-oies, de nulle part, partir à Tataouine ? Se soustraire à la volonté d'embellir et d'améliorer les choses de la vie, de sa petite vie et de son petit monde tout autant que le vaste monde ?
Gil Pen — Voyage alambiqué -
Ainsi, autant que nous le sachions, rien n'a été fait pour mettre en œuvre la proposition ci-dessus. Mais peut-être, compte tenu des circonstances, la date butoir a-t-elle été reportée.
J. M. Keynes — Les conséquences politiques de la paix (J. Bainville) - Les conséquences économiques de la paix (J. M. Keynes) -
"Je suis contre le suréclairage. Avant l'extinction, le gaspillage énergique que cela représentait me choquait, tout autant que de voir des oiseaux voler la nuit alors qu'ils sont censés dormir", poursuit-il. Maintenant, il goûte de nouveaux plaisirs, comme ce matin où il a entendu une chouette hululer dans le quartier. "Il y a bien plus à glaner dans la nuit que nous le pensons", assure le Suédois Johan Eklöf dans son manifeste Osons la nuit. À chacun de trouver du sens à cette redécouverte plus ou moins forcée de l'obscurité.
Le Pélerin — Éteindre les lumières des villes la nuit, reportage à Saumur -
Mener sa vie philosophiquement ( "philosophe", à l'époque, voulant dire "épicurien", athée, subversif, suspect) consiste à dormir, manger peu, dessiner, graver, se perfectionner, respirer autant que possible le Temps qui a trouvé l'espace qu'il faut : cette ville-là, cette mer-là, ce soleil-là, ces matins-là, ces soirs-là. Venise ne va nulle-part. Les préjugés contre elle n'ont pas encore cours.
Philippe Sollers — Le Cavalier du Louvre : Vivant Denon, 1747-1825 -
La honte ne cessait pas de menacer les filles. Leur façon de s'habiller et de se maquiller, toujours guettée par le trop: court, long, décolleté, étroit, voyant, etc., la hauteur de leurs talons, leurs fréquentations, leurs sorties et leurs rentrées à la maison, le fond de leur culotte chaque mois, tout d'elles était l'objet d'une surveillance généralisé de la société. A celles qui étaient obligées de quitter le giron familial, elle fournissait la Maison de la Jeune Fille, la cité universitaire séparée de celle des garçons, pour les protéger des hommes et du vice. Rien, ni l'intelligence, ni les études, ni la beauté, ne comptait autant que la réputation sexuelle d'une fille, c'est-à-dire sa valeur sur le marché du mariage, dont les mères, à l'instar de leurs mères à elles, se faisaient les gardiennes : si tu couches avant d'ètre mariée, personne ne voudra plus de toi - sous- entendu, sauf un autre rebut du marché côté masculin, un infirme ou un malade, ou pire, un divorcé. La fille mère ne valait plus rien, n'avait rien à espérer, sinon l'abnégation d'un homme qui accepterait de la recueillir avec le produit de la faute. Jusqu'au mariage, les histoires d'amour se déroulaient sous le regard et le jugement des autres.
Annie Ernaux — Les années -
La honte ne cessait pas de menacer les filles. Leur façon de s'habiller et de se maquiller, toujours guettée par le trop: court, long, décolleté, étroit, voyant, etc., la hauteur de leurs talons, leurs fréquentations, leurs sorties et leurs rentrées à la maison, le fond de leur culotte chaque mois, tout d'elles était l'objet d'une surveillance généralisé de la société. A celles qui étaient obligées de quitter le giron familial, elle fournissait la Maison de la Jeune Fille, la cité universitaire séparée de celle des garçons, pour les protéger des hommes et du vice. Rien, ni l'intelligence, ni les études, ni la beauté, ne comptait autant que la réputation sexuelle d'une fille, c'est-à-dire sa valeur sur le marché du mariage, dont les mères, à l'instar de leurs mères à elles, se faisaient les gardiennes : si tu couches avant d'ètre mariée, personne ne voudra plus de toi - sous- entendu, sauf un autre rebut du marché côté masculin, un infirme ou un malade, ou pire, un divorcé. La fille mère ne valait plus rien, n'avait rien à espérer, sinon l'abnégation d'un homme qui accepterait de la recueillir avec le produit de la faute. Jusqu'au mariage, les histoires d'amour se déroulaient sous le regard et le jugement des autres.
Annie Ernaux — Les années -
L’hypermarché au bout de la route est toujours ouvert : toute la journée, ses portes automatiques coulissent dans un sens ou dans un autre, accueillent et relâchent tout un flot humain. Ses espaces éclairés au néon sont si impersonnels et si éternels qu’il en émane du bien-être autant que de l’aliénation. À l’intérieur, vous pouvez oublier que vous n’êtes pas seuls ou que vous l’êtes. Rachel Cusk, Contrecoup, Éditions de l’Olivier, 2013. Incipit de « Regarde les lumières mon amour », d’Annie Ernaux, Seuil/Raconter la vie, 2014.
Annie Ernaux — Regarde les lumières, mon amour -
Je suis allée vers les garçons comme on part en voyage. Avec peur et curiosité. Je ne les connaissais pas. Je les avais laissés en train de me jeter des marrons au coin d'une rue en été, et des boules de neige à la sortie de l'école en hiver. Ou de nous crier des injures de l'autre côté du trottoir et je répondais bande d'idiots ou de cons suivant les circonstances, la présence ou non de témoins adultes. Des êtres agités, un peu ridicules. Il avait fallu toute la grâce d'un après-midi de patins à roulettes pour en transfigurer un. Ils devaient avoir changé autant que moi. J'allais vers eux avec mon petit bagage, les conversations des filles, des romans, des conseils de l'Echo de la mode, des chansons, quelques poèmes de Musset et une overdose de rêves, Bovary ma grande sœur. Et tout au fond, caché comme pas convenable, le désir d'un plaisir dont j'avais trouvé seule le chemin. Bien sûr qu'elle était mystère pour moi l'autre moitié du monde, mais j'avais la foi, ce serait une fête. L'idée d'inégalité entre les garçons et moi, de différence autre que physique, je ne la connaissais pas vraiment pour ne l'avoir jamais vécue. Page 82, Folio, 2018.
Annie Ernaux — La femme gelée -
J'ai beaucoup pensé à rien. J'ai aimé presque tout de cette sacrée existence. Et ses vides autant que ses pleins. La vie m'avait tant donné, avec tant de surprises et de générosité, que je ne redoutais pas la mort qui en était l'achèvement. J'avais été enchanté d'arriver, je n'étais pas fâché de partir.
Jean d'Ormesson — La Douane de mer -
Presque autant que le temps, moins cruelle, plus tendre, moins secrète et moins mystérieuse, mais tout aussi répandue à travers tout l’univers, la lumière m’a toujours semblé murmurer en silence quelque chose de Dieu.
Jean d'Ormesson — Comme un chant d'espérance -
Au nom de l'espèce humaine, qui est la vôtre autant que la mienne, allez donc à Vérone. Vous y prendrez un repas de rêve aux Dodici Apostoli, vous irez voir les portes de bronze de l'église San Zeno, vous admirerez dans l'église Sant Anastasia le tableau de Pisanello - Saint Georges délivrant la princesse de Tréhizonde - où brille la croupe d'un cheval blanc. Et vous vous promènerez sur le Ponte Pietra où flotte encore au-dessus de l'Adige, le souvenir de Dietrich von Bern.
Jean d'Ormesson — Et moi, je vis toujours -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
La beauté est un mystère qui danse et chante dans le temps et au-delà du temps. Depuis toujours et à jamais. Elle est incompréhensible.... Elle est dans l'oeil qui regarde, dans l'oreille qui écoute autant que dans l'objet admiré... Elle est liée à l'amour. Elle est promesse de bonheur. A la façon de la joie, elle est une nostalgie d'ailleurs.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes. Dites doucement mais clairement votre vérité. Ecoutez les autres, même les simples d'esprit et les ignorants: ils ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs: ils sont une vexation pour l'esprit. Ne vous comparez avec personne : il y a toujours plus grands et plus petits que vous. Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe. Soyez vous-même, j Surtout n'affectez pas l'amitié. Non plus ne soyez cynique en amour car il est, en face de tout désenchantement, aussi éternel que l'herbe. Prenez avec bonté le conseil des années en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez-vous une puissance d'esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude. Au-delà d'une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l'univers. Pas moins que les arbres et les étoiles. Vous avez le droit d'être ici. Et, qu 'il vous soit clair ou non, l'univers se déroule sans doute comme il le devait. Quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez, dans le désarroi bruyant de la vie, la paix de votre cœur. Avec toutes ses perfidies et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Texte Anonyme
Jean d'Ormesson — Comme un chant d'espérance -
Déconfinement, jour 1. Notre série s'achève en beauté avec la tête à claque la plus rédoutée de tous : le shark. Comprendre celui dont les dents lavées avec soin six fois par jour irradient l'open space de sa blancheur, au moins autant que ce qu'elles rayent le parquet. Pour lui, le confinement était une catastrophe. Au revoir stage à l'étranger, réseautage et autre frime en public. Le déconfinement prudent des grandes entreprises le maintient dans le désarroi.
Les Echos Start — Les têtes à claques (dé)confinées : le carriériste qui ne peut plus briller en open space | Les Echos Start -
Oui, cela peut souvent aller de pair. C’est l’image survalorisée d’un Elon Musk racontant que sa réussite passe par le fait de travailler le jour de Noël ou de faire un saut en jet privé pour assister seulement vingt minutes à l’anniversaire de son frère… C’est la mise en avant de la croissance et de la surproductivité. Mais la réalité de millions d’autres entrepreneurs est tellement loin de ça. Ce qui m’intéresse, c’est de rappeler que la santé financière d’une entreprise doit compter autant que la santé mentale de son créateur. Et de regarder l’arrière du décor de ce monde « instagramé » des startupeurs.
Entreprenariat. La petite entreprise peut mener vers une forte emprise - Golfe de Saint Tropez.maville.com -
Qu'est-ce que YunoHost ? YunoHost est un système d'exploitation qui vise à simplifier autant que possible l'administration d'un serveur pour ainsi démocratiser l'auto-hébergement tout en restant fiable, sécurisé, éthique et léger.
Sortie de YunoHost 11.0 (Bullseye) - LinuxFr.org -
Un bus BHNS est l’équivalent d’une ligne “C” avec une fréquence renforcée et un trajet qui se fait autant que possible dans un couloir de bus séparé.
Tribune de Lyon — Le tracé d'une nouvelle ligne de bus Part-Dieu vers l'est lyonnais a été validé - Tribune de Lyon -
A. D. : Je fais confiance à mon équipe. Je gère le sommelier, le chef de rang, un commis et deux apprentis présents deux semaines par mois. Si le sommelier n’est pas là, j’ai des connaissances en vin mais pas autant que lui. Je lui fais entièrement confiance pour marier les vins aux plats. En réalité, sans mon équipe, je ne peux rien faire. Je suis là pour vérifier que tout se passe bien, pour repasser après tout le monde. Mais il faut un minimum de confiance dans notre métier, et encore plus dans les restaurants gastronomiques car il faut être plus rigoureux qu’ailleurs.
La Croix — « Il faut être un peu fou pour travailler dans un restaurant » -
Ses cours de yoga affichent complet à Villepinte et Saint-Papoul. Aussi, Christelle Thieblemont a-t-elle voulu ouvrir un lieu à Castelnaudary. Elle en parle à des amies, aussitôt intéressées. C'est ainsi qu'elles viennent d'ouvrir L'Orloge, une petite bulle de douceur, toute lumineuse, aux jolies couleurs toniques, qui, d'entrée, fait du bien au moral. L'Orloge, c'est au 10, rue de l'Horloge, une pause où l'on s'occupe du corps autant que de l'âme.
ladepeche.fr — Castelnaudary. L'Orloge, une bulle de bien-être dans le centre ancien - ladepeche.fr -
En entrée, une simple mais délicieuse soupe miso (tofu, shiitake, enoki, oignon vert et algue) nous annonce la grande maîtrise dans les cuisines. Puis, viennent des dumplings frits, tout aussi savoureux. Les rouleaux de printemps ravissent nos papilles, mais pas autant que la sauce aigre-douce qui l’accompagne, dont on voudrait avoir la recette.
La Presse — Le Bloom se multiplie | La Presse -
1) Choisir des cosmétiques avec une liste d’ingrédients courte, en évitant autant que possible les substances telles que la méthylisothiazolinone et l’isothiazolinone (conservateurs). Si la peau est fragile, passer aux versions sans parfum.
Notretemps.com — Nouvelles allergies: les conseils pour s'en prémunir -
Avant même qu’elle soit défendue par Bruxelles, la France s’était saisie de cette idée. L’exécutif, qui s’est donné comme loi d’airain de ne pas augmenter les impôts, a vu dans ce mécanisme l’échappatoire pour tenter d’ajourner un débat ravivé à chaque fois que les résultats stratosphériques de certaines entreprises tombent – l’armateur et logisticien français CMA CGM a par exemple engrangé au premier semestre de cette année des profits de 14,8 milliards de dollars, presque autant que pendant toute l’année dernière.
Libération — Contre les superprofits, Oxfam propose une taxe à 10 milliards – Libération -
A l’automne 2019, Slami Aziz a ouvert à Saint-Béat-Lez sa boutique en face du Pont neuf, place Sainte Anne. Un an et demi après, "La couscousserie" a fidélisé bien des villageois et poursuit sa vente de plats à emporter : couscous et tajines divers, selon les goûts, exclusivement cuisinés avec de la viande du pays et autant que possible, avec des produits locaux.
ladepeche.fr — Saint-Béat-Lez. La Couscousserie et ses plats "à emporter" - ladepeche.fr -
"Donc nous allons continuer, continuer à essayer n’importe quoi, comprendre la voiture autant que possible et avoir une idée pour avoir un bon départ l’année prochaine. Je veux réaliser un week-end propre, au moins quatre courses sans avoir de problème, quelque chose comme ça."
Nextgen-Auto.com — Formule 1 | Tsunoda : AlphaTauri n'est 'pas dans une situation idéale' -
Il n’existe pas une manière de toréer mais autant que de toreros. Certes toutes suivent des règles générales édictées par le règlement taurin en vigueur, mais ces règles sont ensuite appliquées selon la sensibilité de chaque torero. Bref, là encore, "le règlement est une putain que chacun baise à sa manière" comme l’avait écrit Pierre-Joseph Poudhon. C’est d’ailleurs ce qui fait l’attrait et l’intérêt de la tauromachie. Pour très belle qu’elle soit, l’uniformité crée toujours l’ennui, prions donc pour que Dieu nous en préserve.
ladepeche.fr — Bayonne : clôture triomphale - ladepeche.fr -
Paralysés par l’enjeu tout autant que par l’envie de leurs adversaires de bien mettre, d’entrée, les choses au point eu égard à leur hiérarchie, les Bazillacois ont eu du mal à rentrer dans la partie.
ladepeche.fr — Le rêve est passé pour Bazillac - ladepeche.fr