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Citations sur l'agriculture urbaine

Il y a 49 citations sur l'agriculture urbaine.

• Le projet concret d’un « Démonstrateur d’agriculture urbaine », mené en partenariat avec l’entreprise Florentaise, vise à produire des références et à servir de plateforme pédagogique. Le choix a été fait de garder un mode de production low-tech, avec culture sur un substrat, qui prend en compte les contraintes de poids, une irrigation au goutte-à-goutte programmable et une fertilisation organique manuelle en granulés, sans chauffage ni éclairage.

• « Dans l’agglomération, ça sera le rendez-vous de tous les amateurs et professionnels de l’agriculture urbaine. L’occasion sera belle pour tendre vers les initiatives en matière de maraîchage bio mais aussi faire découvrir les jardins partagés ou familiaux. Des ateliers sur les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, garante de solidarité sociale et intergénérationnelle, seront proposés », détaille Philippe Lepage, conseiller municipal.

• Dans le cadre de l’élection présidentielle, les grandes villes, agglomérations et métropoles réunies dans France urbaine ont formulé des propositions pour favoriser une agriculture et une alimentation durables, à travers les leviers à leur disposition, comme la commande publique, les marchés alimentaires, ou encore l’agriculture urbaine.

• L’agriculture urbaine n’aura plus de secret pour vous !

• Logan Penvern, qui fait son doctorat en sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) sous la direction d’Éric Duchemin, directeur du Laboratoire sur l’agriculture urbaine, a découvert que plus du tiers des personnes qui habitent la région métropolitaine jardinent.

• Le maire de Billère, Jean-Yves Lalanne, Natalie Francq, adjointe à la Ville durable, et de nombreux élus ont inauguré l’exposition sur l’agriculture urbaine et la biodiversité à Billère...

• La scène pour le moins bucolique se déroule à deux pas du métro, au sud du 14e arrondissement de Paris, sur le campus de l'ENS Jourdan (une extension de la rue d'Ulm, spécialisée en géographie, sciences sociales et économie). Ce sont les plantations initiales de la toute première agroforêt parisienne nommée « Sylvia » - un projet porté par trois entités : l'école, les « Pariculteurs » (programme agricole de la Ville de Paris) et Cultures en ville, une start-up d'agriculture urbaine.

• L’école Junia, une école d’ingénieurs co-exploitante du site avec Lilotopia (association d’agriculture urbaine), développe un projet de démonstrateur d’aquaponie. Une technique qui mêle élevage de poissons et culture de légumes.

• « Mes fèves sont couchées à cause du vent », constate un bénévole de l’Association des jardins familiaux de La Rochelle. La météo du début de mois a en effet fait quelques dégâts. Mais les jardiniers continuent en semant leurs graines de betteraves, de panais et de fleurs en espérant que tout soit prêt pour les 48 Heures de l’agriculture urbaine les 14 et 15 mai.

• Agriculture urbaine; luttez contre l’inflation

• Le lieu s’organise autour de la cour intérieure où un espace expérimental d’agriculture urbaine verra le jour prochainement. D’un côté, un guichet unique d’informations renseigne sur toutes les politiques publiques environnementales, de l’autre, une recyclerie sportive propose des vêtements et matériels de sport invendus par de grands groupes à prix cassés et un atelier d’auto-réparation de vélos.

• Situé dans le IVe arrondissement, l'énorme bâtiment (plus de 43.000 mètres carrés) au style post-soviétique, ancien site administratif de la préfecture de Paris, a été totalement redessiné par l'architecte David Chipperfield. Ouvert sur la Seine et sur la ville, il accueillera un marché alimentaire, des bureaux, un gymnase, une piscine, une crèche, un espace culturel, de l'agriculture urbaine, une auberge de jeunesse, un hôtel ou encore des logements, dont 35 haut de gamme - compter 16.000 euros le mère carré.

• En lien avec les associations « La Petite Tortue » et « J’adopte un potager », spécialisées en agriculture urbaine, la municipalité a fait naître trois jardins partagés ces derniers mois sur le territoire de la commune.

• La lutte contre la désertification dans le Sahel ne passe pas seulement par la mise en place d’une ceinture verte d’est en ouest sur le continent africain, mais aussi par la promotion de l’agriculture urbaine dans les cités du Sahel. Exemple à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso.

• Ce plan vise à analyser la situation et à élaborer une stratégie afin d’acquérir une meilleure autonomie alimentaire, par le biais notamment de l’agriculture urbaine.

• Le développement de l’agriculture urbaine est une formidable opportunité pour renforcer l’accès à des produits frais et locaux tout en apportant une véritable dimension fédératrice et pédagogique pour les habitants d’un quartier. Les jardins partagés sont aussi des espaces de proximité, d’échange, et de convivialité.

• Des projets plus inclusifs, et une attention poussée au modèle économique : cette quatrième édition du concours d'agriculture urbaine parisienne a été l'occasion pour la Ville de revoir les choses. La maire de Paris s'intéresse de près à la production et à la transformation des productions agricoles et encourage les porteurs de projets à investir.

• L’agriculture doit se réinventer pour répondre à ces défis et l’agriculture urbaine se propose comme un moyen d’améliorer l’avenir de nos villes. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

• Les deux ministres, l’ANRU et leurs partenaires (Secrétariat général pour l’investissement, Banque des Territoires et ADEME – Agence de la transition écologique) sont convaincus des bénéfices environnementaux, sociaux, éducatifs et économiques de l’agriculture urbaine. Les « Quartiers fertiles » sont une contribution majeure à l’amélioration de la qualité de vie des habitants des quartier prioritaires et à l’accélération de la transition écologique dans le cadre de la profonde transformation de 450 quartiers engagée dans le cadre du Nouveau programme national de renouvellement urbain.

• Ces dernières années, l’agriculture urbaine a connu un véritable essor dans la cité phocéenne. Sur les hauteurs de Sainte-Marthe, dans les quartiers Nord, Terre de Mars était l’un des tout premiers projets à germer. En 2014, quatre jeunes passionnés d’agriculture et de cuisine partaient à la conquête du terrain en friche de 7 hectares du mas des Gorguettes. Ils exploitent aujourd’hui encore une microferme en maraîchage diversifié, et proposent une activité traiteur.