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Il était tombé subitement dans le coma en août dernier en Sibérie. Après son évacuation en Allemagne, plusieurs laboratoires européens ont estimé qu'il avait été empoisonné à l'aide d'un agent innervant de conception soviétique, le Novitchok. France 24 — Russie : l'opposant Alexeï Navalny affirme être "torturé" en prison
VIDÉOS - Après l'empoisonnement d'un couple britannique par le même agent innervant que celui utilisé contre Sergueï Skripal et sa fille, un laboratoire britannique spécialisé dans la défense contre les armements chimiques fait l'objet de nombreuses rumeurs car celui-ci se trouve à quelques kilomètres seulement du lieu des deux affaires. LEFIGARO — Affaire du Novitchok : Porton Down, le centre de recherche militaire au centre de rumeurs
Le gouvernement britannique a désigné la substance comme un agent innervant de type militaire de la famille Novitchok, de conception soviétique, et rendu ainsi Moscou responsable de l’attaque. Le Monde.fr — Affaire Skripal : le poison employé était bien du Novitchok
L’agent innervant Novitchok, utilisé dans la tentative d’assassinat de l’ex-espion russe Sergueï Skripal et de sa fille Ioulia à Salisbury en mars dernier, a fait deux nouvelles victimes, “probablement accidentelles”, dans une ville voisine. La police antiterroriste s’est emparée de l’enquête. Courrier international — Royaume-Uni. Le poison russe utilisé contre Skripal fait deux nouvelles victimes
C’est le chef du contre-terrorisme Neil Basu qui l’a annoncé, mercredi 4 juillet : Charlie Rowley et Dawn Sturgess, deux Britanniques retrouvés, mardi 3 juillet, dans un état critique à Amesbury, dans le sud de l’Angleterre, ont été exposés au même agent innervant, le Novitchok, que celui qui avait empoisonné, le 4 mars, l’ex-agent double russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia, à Salisbury, à une douzaine de kilomètres. La Croix — Le gaz Novitchok a encore frappé au Royaume-Uni
La thèse du gouvernement britannique est soutenue par des experts. L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé, jeudi 12 avril, l'origine russe de l'agent innervant utilisé début mars à Salisbury, en Angleterre, pour empoisonner l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille, Ioulia. France 24 — Affaire Skripal : l'OIAC confirme que le poison était d'origine russe
Amesbury n'est située qu'à une dizaine de kilomètres de Salisbury, où, en mars dernier, l’ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille ont été victimes d'une tentative d'empoisonnement au novitchok, un agent innervant. France Inter — Deux Britanniques contaminés par le même poison que l'ex-espion russe Skripal
La souveraine britannique y a rencontré des chercheurs travaillant sur le nouveau coronavirus, avec lesquels elle a échangé. « Cela redouble à nouveau… Je suppose que c'était à prévoir ? », a-t-elle remarqué. Elle a aussi rencontré des scientifiques qui ont identifié l'agent innervant ayant empoisonné l'ex-agent double Sergueï Skripal à Salisbury en mars 2018. leparisien.fr — Royaume-Uni : première sortie publique en sept mois pour la reine Elizabeth - Le Parisien
Ces tests ont déterminé que la substance en cause est le Novitchok, un agent innervant de conception soviétique qui avait été utilisé contre les Skripal. Cette substance agit sur le système nerveux, aboutissant à des spasmes , puis à la paralysie et éventuellement à la mort par suffocation ou arrêt cardiaque. Les analyses n'ont toutefois pu déterminer à ce stade si le poison provient du même lot. SudOuest.fr — Empoisonnement au Novitchok en Angleterre : ce que l'on sait de cette nouvelle affaire
Insistant sur la gravité de l'affaire, le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a souligné qu'il s'agissait de la "première utilisation d'un agent innervant sur le continent européen depuis la Seconde Guerre mondiale". Londres est donc passé aux actes mercredi, annonçant une série de sanctions . Des mesures jugées "absolument absurdes" par la Russie, qui se préparait ce jeudi à riposter, tout en affirmant n'avoir jamais développé, y compris du temps de l'URSS, de programme d'armes chimiques "Novitchok". SudOuest.fr — Ex-espion empoisonné : ambiance de Guerre froide entre la Russie et les Occidentaux
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé jeudi la thèse du gouvernement britannique sur l'origine russe de l'agent innervant utilisé en Angleterre pour empoisonner l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille . SudOuest.fr — Affaire Skripal : la thèse du poison russe utilisé sur l'ex-espion et sa fille est confirmée
Le couple britannique a été exposé au même agent innervant qui avait empoisonné un ex-espion russe et sa fille, et sont hospitalisés dans le même hôpital de Salisbury, le 04 juillet 2018. La Croix — Deux Britanniques exposés au même poison utilisé contre l’ex-espion russe Sergueï Skripal
Deux personnes ont été hospitalisées la semaine dernière dans un état critique à l'hôpital de Salisbury (Angleterre), après avoir été exposées à une « substance inconnue » à Amesbury. Le lieu est juste à quelques kilomètres du lieu où l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille avaient été victimes d'une tentative d'empoisonnement à l'agent innervant le 4 mars. leparisien.fr — Grande-Bretagne : un policier hospitalisé, peut-être exposé au Novitchok - Le Parisien
L'ex-espion russe Sergueï Skripal, empoisonné à l'agent innervant, est sorti de l'hôpital de Salisbury (sud-ouest de l'Angleterre) où il était soigné depuis le 4 mars, a annoncé vendredi le service de santé public NHS England. Empoisonnement: l'ex-espion russe Sergueï Skripal est sorti de l'hôpital
Trois laboratoires européens ont depuis conclu que l'opposant avait été empoisonné par un agent innervant de type Novitchok, développé à l'époque soviétique, conclusion confirmée par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) malgré les dénégations de Moscou. L'opposant accuse les services spéciaux russes (FSB) d'avoir tenté de l'assassiner sur l'ordre direct de Vladimir Poutine. Europe 1 — Navalny retourne en Russie, malgré les menaces du Kremlin
Moscou affirme que si un agent innervant militaire avait été utilisé contre l'ex-espion Sergueï Skripal en Angleterre, cela "aurait fait de multiples victimes". Et d'y voir soit une "attaque terroriste", soit une "mise en scène" de Londres. France 24 — Affaire Skripal : la Russie y voit un "attentat" ou une "mise en scène" de Londres
Il est difficile d'établir où a été produit l'agent innervant qui a empoisonné les Skripal, a déclaré au journal russe Novaïa Gazeta Vil Mirzaïanov, précisant comprendre les accusations anglaises. « Aucun pays n'a autant d'expérience pour produire du Novitchok que l'URSS et maintenant la Russie. » Selon le site internet de l'Institut GNIIOKhT, sa branche de Chikhany est maintenant impliquée dans un travail relatif à « assurer la sécurité » du pays et à détruire des armes chimiques encore possédées par la Russie. Le Point — Affaire Skripal : la santé de l'ex-espion russe « s'améliore rapidement » - Le Point
Le 7 mars, la police révèle que Skripal et sa fille ont été empoisonnés par un agent innervant, une arme chimique hautement toxique. Le Devoir — L’affaire Skripal expliquée en cinq étapes | Le Devoir
Les enquêteurs passaient vendredi au peigne fin plusieurs lieux de Salisbury, dans le sud de l'Angleterre, à la recherche de la source de l'empoisonnement d'un couple à l'agent innervant Novitchok, qui relance les tensions entre Londres et la Russie quatre mois après l'affaire Skripal. Le Point — Novitchok: Salisbury passé au peigne fin pour retrouver la source de la contamination - Le Point
C'est à Salisbury que l'ex-agent double russe Sergueï Skripal et sa fille ont été empoisonnés le 4 mars au Novitchok, un puissant agent innervant conçu en Union soviétique. Le Royaume-Uni accuse Moscou d'être à l'origine de cette attaque, qui a provoqué une grave crise diplomatique entre le Kremlin et les Occidentaux. leparisien.fr — Royaume-Uni : psychose d’empoisonnement dans la ville de l’affaire Skripal - Le Parisien