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Il y a 26 citations sur l'acid jazz.
Gilles Peterson expliqua dans une interview que le terme « acid jazz » fut créé en 1988 à partir d'une blague : « Un ami à moi venait de rentrer d'Espagne, il avait rapporté quelques disques d'acid house qu'il m'annonçait comme le nouveau truc à passer. Mais la piste de danse était vide. Alors je m'y suis mis et j'ai passé par dessus quelques morceaux de jazz. La piste était bondée. Et pour me moquer de lui, j'ai appelé ma musique acid jazz. Ulf Poschardt — Dj Culture
Rebaptisé « Défaite de la musique » le rendez-vous rassemblera 12 DJ’s qui joueront chacun une heure entre midi et minuit. Et qui joueront des musiques qui s’écoutent assis plus qu’elles ne se dansent. Quoique… ambient, pop, acid jazz, musiques jamaïcaines, rock 50’s, proto-disco… Tout cela sera défendu par des membres de l’équipe de l’I.Boat (Benoît Guérinault, le directeur artistique….), des DJ’s établis (Memory Scale), des disquaires reconnus (Superlove Disc) ou des patrons de labels (Laurent Laffargue, de Platinum, alias El Vidocq). SudOuest.fr — Bordeaux métropole : quelques rendez-vous pour la Fête de la musique
Le DJ Gilles Peterson, pionnier de l’acid jazz en pleine préparation de son Worldwide Festival, nous parle de ce rendez-vous des inconditionnels du jazz, de l'électro et de la world music qui aura lieu à Sète du 28 juin au 6 juillet 2019. France Culture — Gilles Peterson, légende de l’acid jazz
Entre la fin des années 80 et le début des années 90, la Grande-Bretagne dirige la météo de la nouveauté musicale. Si on se souvient du cyclone Britpop cher à Blur et Oasis, de la tornade acid house, de la tempête «madchester» façon Stone Roses et Happy Mondays, on a tendance à oublier le torride sirocco londonien de l’acid jazz, au groove teinté de funk et de soul. Libération.fr — L’acid jazz club - Culture / Next
Au milieu des années 90’s, Lyon connait une scène acid jazz aussi développée qu’à Paris. Assez éloigné de la soul originelle, l’acid jazz s’en inspire pourtant en redécouvrant un groove organique (cuivres, vraie basse-batterie et chant soul). Une multitude de groupes vont alors gagner leurs galons en mélangeant jazz, funk, hip hop et soul. Les groupes tels que Kool Kats club , Mo jazz beats , Colorblind ou Metropolitan jazz affair témoignent de la vitalité de cette nouvelle scène groove entre Rhône et Saône. Rue89Lyon — Plongée dans la scène soul de Lyon (car elle en a une) | Rue89Lyon
Si l'on passe rapidement sur toutes ces pseudo fusions branchées entre jazz et musiques électroniques, pour la plupart recyclages rapides, opportunistes et à peine dissimulés, des vieilles recettes éculées de l'acid jazz du début des années 90 (le néfaste St Germain est sans doute l'emblème le plus tape-à-l'œil de cette fâcheuse tendance) on peut néanmoins trouver d'authentiques projets basés sur la rencontre effective entre ces deux univers, beaucoup moins éloignés qu'on le croit à première vue. Les Inrockuptibles — Electro-jazz : quelle nouvelle vague ?
Autre artiste rennais présent aux premières Trans, Etienne Daho rendra justice à l'un de ses albums préférés, "Eden", dans lequel il avait entamé une mue nourrie de grooves acid jazz, trip hop, house et jungle. ladepeche.fr — Les 41e Trans Musicales, une édition plus que jamais voyageuse - ladepeche.fr
Plus récemment dans les années 1990 et 2000, certains compositeurs pour le cinéma ont rejoué sur la tendance smooth jazz en plus moderne, devenue acid jazz électronique. L’anglais David Holmes en est un des plus symptomatiques dans son travail avec Steven Soderbergh, notamment sur la bande originale du film Hors d’atteinte mais aussi la série des Ocean 11 et des albums solos de la fin des années 1990. Le compositeur Jon Brion l’a aussi beaucoup illustré en le mélangeant avec la folk et le rock sur des films comme I Love Huckabees, Punch-Drunk Love ou Eternal Sunshine of The Spotless Mind. Konbini - All Pop Everything : #1 Media Pop Culture chez les Jeunes — Voilà pourquoi la musique d’ascenseur est indispensable à votre déconfinement
Ce premier festival de jazz, Corinne Salza se propose de le reconduire l'année prochaine à la même époque, à Lacaze, en espérant fidéliser une clientèle qui, compte tenu de la diversité du jazz et de ces sous-genres qui vont du jazz manouche au jazz fusion en passant par le free-jazz et l'acid jazz, n'est pas près de se lasser. ladepeche.fr — Lacaze. Le 1er festival de jazz réussi - ladepeche.fr
Après ce grand moment de cirque, le graffeur Yohann Marchesi propose en entrée libre, à 18 h 30, son exposition éphémère «Clowns, amuseurs de galeries», autour de laquelle plusieurs performances dansées seront données en partenariat avec Evidanse et la compagnie Rouge à Rêves. DJ Dr Phonkk conclura la soirée avec une sélection musicale deep house, acid jazz, smoothie ambiance. ladepeche.fr — Saint-Céré. «Oh Oh», la tradition du clown se renouvelle à l'Usine - ladepeche.fr
On finit drum&bass à la limite de l’acid jazz avec un italien hallucinant. Vous verrez, ça tue. SudOuest.fr — Electro à Bordeaux : la playlist déconfinée de juin de Costello
A l’instar de l’art d’un James Brown, l’œuvre de Roy Ayers est ce socle sur lequel s’appuient le hip-hop et ses satellites depuis trente ans. Samplé, cité ou invité par Dr. Dre et A Tribe Called Quest, Mary J. Blige et Erykah Badu, Notorious B.I.G ou Kendrick Lamar, son répertoire est aussi à l’origine des fusions esthétiques opérées par l’acid jazz londonien à la toute fin des années 1980. Le Temps — Roy Ayers, le groove canonisé - Le Temps
À la même période émergeait d’Angleterre l’acid jazz, populaire jusqu’au milieu des années 1990, amalgame de jazz, de funk, de hip-hop et de soul qui doit son succès au recyclage des grooves d’une époque précise du jazz — le plus célèbre succès de cette vogue, Us3, échantillonnait et rejouait des compositions de Hancock, de Grant Green ou de Donald Byrd parues originalement sur l’étiquette Blue Note. Le Devoir — Quand le jazz contamine le rap, et vice-versa | Le Devoir
Avec plus de 35 millions d’albums vendus dans le monde et près de 29 ans de carrière, le groupe britannique mené par le charismatique Jay Kay a su imposer son style. Qui ne se souvient de tubes tels Cosmic Girl, You Give Me Something ou encore Virtual Insanity ? C’est à Londres, au début des années 1990, que Jamiroquai se fait une place dans le mouvement acid jazz en plein essor, imposant très vite son style parmi les groupes de l’époque, flirtant à l’occasion avec la disco des années 1970 et quelques éléments rock. Depuis, il a acquis une renommée mondiale, tout en ayant su faire évoluer sa musique. Jazz à Juan : Les places disponibles pour le concert de (...) - Art Côte d'Azur
Dès lors, l’ado se prend au jeu. Il apprend la guitare en parallèle de ses études à l’IUT et répète, la nuit, dans la station-service où il travaille. Des amis le rejoignent. Un jour, La troupe du Phénix prend forme et part sillonner, en chevaux et en charrette, les places des villages du Sud. "Il y avait une énergie dingue, ça nous a révélés." La compagnie devient professionnelle. Elle crée un spectacle autour de Brassens qui tourne notamment six mois aux Bouffes-Parisiens et trois mois à Bobino. En parallèle, Jean-Michel fait également partie d’un groupe d’acid jazz qui joue en français. midilibre.fr — Ouest Hérault : Tom Poisson peaufine son nouveau spectacle - midilibre.fr
Parmi les jazzmen attentifs aux révolutions rythmiques de la fin des sixties, celle du funk de James Brown en particulier, le guitariste Grant Green (1935-1979) fut l'un des plus habiles et des plus influents : ses grooves ont façonné, via les samples, des hits d'acid jazz dans les années 1990 (Tukka Yoot's Riddim de Us3) mais aussi de rap, encore récemment (Sing About Me, I'm Dying of Thirst, de Kendrick Lamar). LExpress.fr — Grant Green, le plus groovy des guitaristes? - L'Express
Le 52e MJF, qui s’achève ce samedi avec Jamiroquai, groupe londonien associé à ses débuts à la scène acid jazz, a accueilli plusieurs rappeurs, tant Américains que Belges ou Français. Au moment où la scène hip-hop connaît d’Atlanta à Bruxelles et Genève un renouveau sans précédent, il n’est pas inutile de rappeler que cette musique urbaine, issue des sound systems organisés à la fin des années 1970 dans la banlieue new-yorkaise, découle directement du jazz. Le Temps — Le jazz, musique ubiquitaire - Le Temps
Et la musique aussi brise toutes les barrières, entre acid jazz, neo-soul et rythmique presque drum n' bass. Le mélange des générations entre Weldon Irvine, David Kennedy, Mos Def et Will.I.am offre une nouvelle perception de ce que peut être le hip-hop. Et surtout de ce que peut définir l’artiste Mos Def pour le futur, entre Gil Scott-Heron et Rakim. Konbini - All Pop Everything : #1 Media Pop Culture chez les Jeunes — Il y a 20 ans, Mos Def devenait un artiste complètement à part avec "Umi Says"
Et Ben l'Oncle Soul y parvient très bien. Il aurait pu être paralysé par l'exercice, jouer les élèves trop scolaires. Au contraire. Le chanteur n'a pas peur d'emmener tous ces classiques ailleurs. Ainsi, il plonge «Good Life» dans une version acid jazz, il embarque «I love Paris» sur le terrain du reggae ou «I've got you under my skin» dans un trip-hop vaporeux. Des reprises qui sont de belles surprises, à commencer par «Fly me to the moon», premier single dont nous vous proposons de découvrir le clip en exclusivité. leparisien.fr — VIDEO. Ben l'Oncle Soul : découvrez son nouveau clip « Fly me to the moon » en hommage à Sinatra - Le Parisien
Dès le pot-pourri instrumental qui a lancé le concert, on a eu droit aux premières notes de sitar de Rob Myers, pendant que le bassiste Ashish Vyas arpentait la scène en se déhanchant. Dub, trip-hop, acid jazz, reggae, c’était déjà les Nations unies musicales. Le Journal de Québec — Irrésistible Thievery Corporation | Le Journal de Québec