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Il y a 23 citations sur l'abattée.
Deux bateaux marchant l’un vers l’autre font une abattée en changeant de direction. Ernest Deseille — Glossaire du patois des matelots
Jean-Luc van den Heede en tête de la Golden Globe race est en grande difficulté dans le Pacifique à 500 milles du Cap Horn où il affronte des vents violents. Il a abîmé son gréement après une violente abatée. A suivre Course au Large — Jean-Luc Van den Heede en difficulté - Course au Large
Avant la vidéo (ci-dessous), une petite explication de texte s’impose. À Cowes, ce dimanche, le vent est rafaleux, comme toujours en Atlantique Nord après le passage du front froid. À la bouée, ça va être sauvage ! Car qui dit « Bear away », dit abattée sous la même amure. voilesetvoiliers.ouest-france.fr — VIDÉO. Sail GP : chavirage à l’américaine, comme dans les livres !
Les moments compliqués sont l’abattée et les gybes par vent fort et mer formée. Vous ajoutez à cela des équipages au coude à coude sur des parcours très petits avec des vitesses de bateau incroyables et vous obtenez un beau spectacle. Tant que les bateaux ne se touchent pas le danger est présent mais contrôle, mais ça passe de plus en plus près… voilesetvoiliers.ouest-france.fr — SailGP. Philippe Presti : « En F50, on passe dans une autre dimension ! »
« La course a été rapide. Quand la mer a commencé à se ranger et qu’on a fait du grand spi, c’était du bonheur pur. Le bateau fusait, il ne s’arrêtait jamais. Les trois premiers jours, j’ai eu du mal à trouver le rythme car c’était un peu plus tonique, plus casse bateaux. J’ai fait trois départs à l’abattée monumentaux en 36 heures juste après le départ. François (Jambou) a été bon dans ces moments-là, il a accepté d’être un peu plus lent. » Course au Large — Mini-Transat. Axel Trehin deuxième en proto : "C’était intense" - Course au Large
Un de mes GPS m’a indiqué une vitesse par rapport au fond supérieure à 57 nœuds ! Parce qu’il ne prenait pas en compte ni le courant, ni le fait qu’il était placé sur la coque au vent, plus rapide que celle sous le vent en cas d’abattée. C’est un peu comme si l’on était aussi rapide en courant sur une piste de 400 mètres, à l’intérieur ou à l’extérieur de la piste. voilesetvoiliers.ouest-france.fr — Sail GP. Philippe Presti : « Mon GPS m’a indiqué plus de 57 nœuds ! »
80 % de la régate se joue lors du départ, à l’abattée à la première bouée et dans le premier empannage… voilesetvoiliers.ouest-france.fr — SailGP Marseille. Franck Citeau : « 100 km/h sur l’eau, ça demande un équilibre particulier »
Tous les Rallye partagent une même formule aérodynamique, avec pour les voilures des volets à fente et à recul et des becs de bord d’attaque automatiques. Ceux-ci sont « aspirés » par l’écoulement au-delà d’une certaine incidence. Le Rallye ne décroche donc pas au sens où toute abattée est supprimée, l’appareil s’enfonçant à la place. Si le concept marche, rendant le pilotage de l’appareil facile et lui donnant des performances STOL (Short Take-Off and Landing), la construction reste complexe et le coût des pièces détachées ne fera que grimper au fil des années… Le Rallye rentre au musée d’Angers – aeroVFR
Marie Riou : Dès qu’il y a du vent fort et de la mer, c’est franchement chaud ! Ce ne sont pas des bateaux simples à manier. Même si dans ces conditions parfois extrêmes, on est un peu crispés, l’on ne peut qu’apprécier. Rien que le premier reaching après le départ avant l’abattée engendre des sensations absolument uniques. Lors de l’accélération à la bouée, tu atteins 40 nœuds et plus en quelques secondes. C’est quand même un truc assez fou, adrénaline en prime ! voilesetvoiliers.ouest-france.fr — SailGP Marseille. Billy Besson : « Quelques secondes après la bouée, tu passes déjà les 40 nœuds ! »
« ‘’Pen Duick VI’’ navigue au surf dans cette immense houle du sud. Notre souci c’est de tenir le bateau, Éric nous faisant naviguer vent arrière, ce qui est le plus dangereux pour les empannages. Nous naviguons à vue d’une immense banquise à la dérive. Cela va durer près d’une journée. Plusieurs d’entre nous vont cesser de barrer, ils ne maîtrisent plus la barre devant le danger de partir au lof ou à l’abattée dans cette mer. C’est, il est vrai, très risqué ». Le Telegramme — Le Télégramme - Etel - « Mon Noël en mer avec Tabarly »
Ça va vite, très vite, autour des 50 nœuds à chaque abatée, ce qui crée un boost de vent apparent qui ajoute encore plus de puissance à une aile qui est déjà très imposante. Paradoxalement la cause première de la plupart des dessalages est à mettre au compte des safrans et plus précisément du safran au vent. voilesetvoiliers.ouest-france.fr — SailGP. Philippe Presti : « En F50, on passe dans une autre dimension ! »
Là, ça va mieux, mais cette nuit c’était carrément chaud, j’ai fait un beau départ à l’abattée, mais je n’ai rien cassé donc ça va. J’ai réussi à repartir assez vite. J’ai pu dormir un petit peu, avant c’était impossible ! Je ne pouvais pas lâcher la barre. Quand tu lâchais, ça partait au tas et voilà ! J’ai mis un petit spi. J’ai fait 20 nœuds de vitesse dans une pointe, mais c’était chaud parce que il y avait des grains, ça variait beaucoup en direction. Il y avait moyen de se faire surprendre et je me suis fait surprendre d’ailleurs ! Adonnante.com - Surfez sur l'Actualité Voile Sportive - Course au Large - America's Cup - Voile Légère — Figaro 2 - Bretagne Martinique 2013 - Guerre d'usureAdonnante.com – Surfez sur l'Actualité Voile Sportive – Course au Large – America's Cup – Voile Légère | Surfez sur l'actualité voile sportive
Trois de nos Loulous se contorsionnent soudain et tombent en piqué synchronisé. Ils redéploient leurs ailes juste avant l'impact. La queue vibrant dans la ressource, ils poursuivent l'exocet sur la crête de la vague. Virage sur l'aile à toucher l’eau et abattée en grand. Je me tourne vers Ahoy. "Ouah t’as vu ça?! Magnifique, non?" La pauvre est maculée de longues trainées grises. lejdd.fr — SERIE. Eric Bellion en quête d'harmonie
À cette allure, le vent vient de l'arrière du bateau. Les écoulements sur les voiles ne sont plus laminaires. Le voilier avance au mieux à la vitesse du vent sans pouvoir le dépasser. Souvent sujette au roulis, cette allure n'est pas facile à maitriser à la barre, car il ne faut pas se laisser embarquer par une vague et passer sur l'autre pane (départ à l'abattée). Bateaux.com — Apprentissage, les allures à la voile
Maintenant que le cap a été franchi, plus question de partir à l’abattée. Myriam compte bien battre pavillon Roude Léiw. Bien lui en a pris ! Après seulement quelques semaines de latence, une offre de secrétaire médicale lui parvient via une agence d’intérim. La place doit être comblée urgemment. Quelques jours en tant qu’intérimaire plus tard, elle paraphe un fixe. Retour aux sources ! « J’adore ce que je fais même si c’est dur. Les patients luxembourgeois sont un peu plus difficiles que les Belges (rires). Ils rouspètent un peu plus. » Les Frontaliers — Myriam, secrétaire médicale : « En Belgique, on se fait couillonner ! » - Les Frontaliers
Nous avons hâte de l’utiliser pour vérifier que le Shrimper n’a rien perdu de sa vivacité. Mais avant d’envoyer la toile, il nous faut lancer l’inénarrable monocylindre Yanmar placé sous un panneau en fond de cockpit. Yanmar dont le régime lent peut évoquer soit le départ du fileyeur à l’aube, soit le ralenti d’une Harley-Davidson : c’est selon. N’empêche que c’est un sacré confort de ne pas avoir à démarrer un vulgaire hors-bord ! L’envoi de la grand-voile avec son pic ne pose aucune difficulté, l’espar en spruce est léger et la manœuvre fluide. A l’abattée, l’accélération est immédiate. Essai du Shrimper 21 : vif, mignon et malin ! - Voile & Moteur
Durant la nuit, nous croisons beaucoup de bateaux de pêche en plus des bateaux de plaisance. La vigilance ne tolère aucune faille avec nos bateaux moyennement manœuvrants. Soudain, nous réalisons qu'un navire de pêche ne nous voit pas. Le chef de quart annonce une abattée de 90° pour éviter la collision. Heureusement, nous sommes nombreux à bord et les conditions sont très maniables. Le navire faisant route au moteur n'était pas en action de pêche, faisait-il vraiment une veille visuelle ? Bateaux.com — Armen Race sur Actual Leader, finir sur un Ultime souffle de vent
Au départ, autour de nous, c'était parfois l'hécatombe. Des bateaux partaient au lof ou à l'abattée dans les puissantes rafales qui dévalaient les montagnes surplombant Athènes. Bateaux.com — Hydra Race, 3 jours de régate au soleil pour démarrer la saison
La première: le décrochage aérodynamique. Hantise des aviateurs, le terme désigne une soudaine perte de portance des ailes, qui a pour conséquence une perte très rapide d’altitude, l'«abattée». Or, selon les témoins oculaires du crash du Ju-52, l’avion aurait justement soudainement piqué du nez. La faible densité de l’air en montagne – l’avion a touché le sol à 2540 mètres d’altitude – favorise par ailleurs ce phénomène. Le Temps — Crash du Ju-52: les premières hypothèses - Le Temps
Le bateau dans ce cas de figure, c’est aussi possible en cas de départ à l’abattée ! Les puristes devraient juste essayer de rêver un peu plus, c’est tout Vendée Globe 2020 : le designer de l'affiche controversée s'est amusé de la polémique née sur les réseaux sociaux | Le Journal des Sables