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Citations sur l'abat

Il y a 24 citations sur l'abat.

• C'est un bûcheron qui a réussi, à présent il abat des colonnes de marbres.

• Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais.

• Petite pluie abat grand vent.

• La culture est un truc qui rassemble les gens, qui abat les différences.

• La tendresse est l’abat-jour de la passion.

• L'homme vertueux doit imiter l'arbre de santal qui, lorsqu'on abat, parfume la hache qui le frappe.

• C'est avec les roseaux pensants qu'on fait les chaînes qu'on abat.

• Le chagrin dans le coeur de l'homme l'abat, mais une bonne parole le réjouit.

• Fort est qui abat, plus fort est qui se relève.

• Comme le vent abat un chêne, une simple phrase détruit un rêve.

• C'est souvent celui qui creuse les tranchées qu'on abat et celui qu'elles protègent qu'on décore.

• Il y a dans le coeur de l'homme je ne sais quoi de désordonné qu'exalte le plaisir et qu'abat la douleur.

• Economie dirigée : le gouvernement vous prend vos vaches, en abat une, fait traire l’autre... et jette le lait.

• L'homme s'abat, s'agenouille, se prosterne.

• La surcharge abat l’âne.

• Le mouillage d'Hobart-Toron est bon en tout temps, bien qu'il descende parfois de vigoureuses rafales du mont Wellington. Un navire peut y faire toutes les réparations possibles, même y abattre en carène. 1842, IX, p. 46.

• Et les marteaux continuaient de rouler comme une diligence sur le pavé de la ville. Ah! Nous en avons abattu de l'ouvrage en ce temps.

• Le marbre étant convenablement essuyé, on doit avant d'abattre la forme l'essuyer à son tour ...

• Abat, s. m. − ... En abat, − bon à abattre, à émonder, en parlant du bois : ... des léiards qui sont en abat. Verr.-On.1908.

• Abattre du bois. C'est, au jeu de trictrac, abattre des dames pour caser; ... Gattel1797.

• Abattre la cataracte

• Tout le monde n’aime pas les abats, il est donc indispensable de bien connaître les goûts de ses invités avant de les servir. Ne pas se soumettre à cet impératif est une faute grave de goût.

• La bataille est merveilleuse, la bataille est une mêlée,Le comte Roland ne craint pas de s’exposer.Il frappe de la lance tant que le bois lui dure ;Mais voilà que quinze coups l’ont brisée et perdue.Alors Roland tire Durendal, sa bonne épée nue,Eperonne son cheval et va frapper Chernuble.Il met en pièces le heaume du païen où les escarboucles étincellentLui coupe en deux la coiffe et la chevelure,Lui tranche les yeux et le visage,Le blanc haubert aux mailles si fines,Tout le corps jusqu’à l’enfourchureEt jusque sur la selle qui est couverte de lames d’or.L’épée entre dans le corps du cheval,Lui tranche l’échine sans chercher le joint,Et sur l’herbe drue abat morts le cheval et le cavalier.

• L'homme s'abat, s'agenouille, se prosterne.