
Charles Baudelaire
1821 - 1867Charles Baudelaire est un poète français. Né à Paris le 9 avril 1821, il meurt dans la même ville le 31 août 1867. À la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français. Les Fleurs du mal (1857) et Les Paradis artificiels (1860) sont ses deux recueils de poésie les plus connus.
Les Fleurs du mal (1868)
- Bénédiction
- Châtiment de l’orgueil
- Une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive
- Le Flacon
- Le Revenant
- Obsession
- Le Jet d’eau
- Le Cygne
- Le Vin des chiffonniers
- Les Litanies de Satan
- L’Albatros
- La Beauté
- Remords posthume
- Le Poison
- Sonnet d’automne
- Le Goût du néant
- La Rançon
- Les sept Vieillards
- Le Vin de l’assassin
- La Mort des amants
- Élévation
- L’Idéal
- Le Chat
- Ciel brouillé
- Tristesses de la lune
- Alchimie de la Douleur
- Bien loin d’ici
- Les petites Vieilles
- Le Vin du solitaire
- La Mort des pauvres
- Correspondances
- La Géante
- Duellum
- Le Chat
- Les Chats
- Horreur sympathique
- Le Coucher du soleil romantique
- Les Aveugles
- Le Vin des amants
- La Mort des artistes
- J’aime le souvenir de ces époques nues
- Le Masque
- Le Balcon
- Le beau Navire
- Les Hiboux
- Le Calumet de paix, imité de Longfellow
- Sur le Tasse en prison d’Eugène Delacroix
- À une passante
- Épigraphe pour un livre condamné
- La Fin de la journée
- Les Phares
- Hymne à la Beauté
- Le Possédé
- L’Invitation au voyage
- La Pipe
- La prière d’un païen
- Le Gouffre
- Le Squelette laboureur
- La Destruction
- Le Rêve d’un curieux
- La Muse malade
- Parfum exotique
- Un fantôme
- L’Irréparable
- La Musique
- Le Couvercle
- Les Plaintes d’un Icare
- Le Crépuscule du soir
- Une Martyre
- Le Voyage
- La Muse vénale
- La Chevelure
- Je te donne ces vers afin que si mon nom
- Causerie
- Sépulture d’un poëte maudit
- L’Imprévu
- Recueillement
- Le Jeu
- Femmes damnées
- Le mauvais Moine
- Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne
- Semper eadem
- Chant d’automne
- Une Gravure fantastique
- L’Examen de minuit
- L’Héautontimorouménos
- Danse macabre
- Les deux bonnes Sœurs
- L’Ennemi
- Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle
- Tout entière
- À une Madone
- Le Mort joyeux
- Madrigal triste
- L’Irremédiable
- L’Amour du mensonge
- La Fontaine de sang
- Le Guignon
- Sed non satiata
- Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire
- Chanson d’après-midi
- Le Tonneau de la haine
- L’Avertisseur
- L’Horloge
- Je n’ai pas oublié, voisine de la ville
- Allégorie
- La Vie antérieure
- Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
- Le Flambeau vivant
- Sisina
- La Cloche fêlée
- À une Malabaraise
- Paysage
- La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse
- La Béatrice
- Bohémiens en voyage
- Le Serpent qui danse
- Réversibilité
- Vers pour le portrait d’Honoré Daumier
- Spleen
- La Voix
- Le Soleil
- Brumes et Pluies
- Un Voyage à Cythère
- L’Homme et la mer
- Une Charogne
- Confession
- Franciscæ meæ laudes
- Spleen
- Hymne
- Lola de Valence
- Rêve parisien
- L’Amour et le Crâne
- Don Juan aux enfers
- De profundis clamavi
- L’Aube spirituelle
- À une dame créole
- Spleen
- Le Rebelle
- La lune offensée
- Le Crépuscule du matin
- Le Reniement de saint Pierre
- À Théodore de Banville (1842)
- Le Vampire
- Harmonie du soir
- Mœsta et errabunda
- Spleen
- Les Yeux de Berthe
- À une mendiante rousse
- L’âme du vin
- Abel et Caïn