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Secourir

Définitions de « secourir »

Trésor de la Langue Française informatisé

SECOURIR, verbe trans.

A. − [Le suj. désigne une pers.]
1. Venir en aide à quelqu'un qui se trouve dans le besoin. Synon. assister1.Secourir les pauvres, les réfugiés. Dans l'ancienne société féodale, si le seigneur possédait de grands droits, il avait aussi de grandes charges. C'était à lui à secourir les indigents dans l'intérieur de ses domaines (Tocqueville, Anc. Rég. et Révol., 1856, p. 107).Les nouvelles paieront une cotisation (...). Dans les ligues, il y aura toujours une trésorerie. Par exemple, pour secourir les filles mères (Gide, Geneviève, 1936, p. 1370).
[P. méton.] Secourir les besoins, les misères. On est toujours heureux de secourir l'infortune; je partagerais volontiers aux nécessiteux le peu que je possède (Chateaubr., Mém., t. 4, 1848, p. 162).Et même, lui qui s'était trouvé incapable de secourir le malheur qui l'entourait, il fut saisi d'une fièvre intrépide à la pensée de combattre les grandes afflictions ravageant le monde (Roy, Bonheur occas., 1945, p. 459).
Empl. pronom. réciproque. Se secourir. Je ne connois rien de plus édifiant à voir que la tranquillité de leurs villages, le calme de l'intérieur de leurs familles, et cette heureuse disposition à se secourir mutuellement (Crèvecœur, Voyage, t. 2, 1801, p. 151).Il avait trop vu (...) l'envie, les haines, les égoïsmes d'un troupeau de misérables qui n'arrivaient pas même à s'aimer, à se secourir l'un l'autre (Van der Meersch, Invas. 14, 1935, p. 370).
2. Apporter de l'aide à quelqu'un qui se trouve exposé à un danger. Synon. porter secours*.Secourir qqn contre un ennemi; secourir les faibles et les opprimés; secourir des alpinistes en difficulté. Sans perdre la tête, elle commanda à Châteaubedeau de se jeter à l'eau et de secourir son ancien ami; puis elle cria: « Au secours! Au secours! » (Boylesve, Leçon d'amour, 1902, p. 264).Si tu voyais (...) les gens du peuple, les ouvriers, les petits commerçants, qui ne se doutaient pas de ce qu'ils recélaient en eux d'héroïsme (...), courir sous les balles pour secourir un camarade, pour emporter un chef blessé (Proust, Temps retr., 1922, p. 753).
[P. méton.] Elle admiroit cette religion qui civilisoit des hordes sauvages, et les portoit à secourir la foiblesse et l'innocence (Chateaubr., Martyrs, t. 3, 1810, p. 104).
En partic. Apporter une aide militaire. Secourir une place forte assiégée, une armée alliée. Il n'y avait nul espoir de secourir Audenarde. La ville ne pouvait manquer d'être prise, du moins par famine (Barante, Hist. ducs Bourg., t. 1, 1821-24, p. 162).Dans la situation où elle [la France] se trouve momentanément, il ne tient pas qu'à elle que les forces qu'elle a, depuis longtemps, préparées pour secourir l'Indochine ne soient pas encore en ligne à côté de celles des alliés (De Gaulle, Mém. guerre, 1959, p. 489).
3. Donner des soins à un malade, un blessé. Synon. porter secours*, soigner.Secourir les personnes accidentées. Ils font encore un assez grand nombre d'enfants, mais ils sont débiles. Ils ne peuvent ni ne savent les soigner en santé, ni les secourir dans leurs maladies, et il en périt une quantité prodigieuse (Destutt de Tr., Comment. sur Espr. des lois, 1807, p. 379):
1. ... ils ont caché des explosifs jusque dans des cadavres, et qui vous éclatent au nez lorsqu'on vient inhumer ceux-ci. Plus atroce encore: un blessé criait à l'infirmier qui l'approche: « Attention! Ne me secourez pas: ces salauds m'ont miné. » Gide, Journal, 1943, p. 242.
4. Apporter un soulagement moral à quelqu'un qui se trouve dans une situation pénible. Synon. aider, soutenir.Elle n'avait plus la certitude de pouvoir aider sa fille, (...) elle comprenait subitement qu'il est très difficile de secourir ses enfants dans les malheurs secrets qui les atteignent (Roy, Bonheur occas., 1945, p. 244):
2. [Le prêtre] entra chez elle, le visage grave et pâle et il dit (...) « Madame, votre fils est fort mal, et il désire vous voir. » Elle se jeta sur les genoux en s'écriant: « Ah! Mon Dieu! Ah! Mon Dieu! Je n'oserai jamais! Mon Dieu! Mon Dieu! Secourez-moi! » Maupass., Contes et nouv., t. 2, MmeHermet, 1887, p. 1130.
[P. méton.] Ô justes dieux, grands dieux! Secourez ma faiblesse (Leconte de Lisle, Poèmes ant., 1852, p. 72).Chacun (...) secourt les misères qu'il voit et non celles qui se cachent (Amiel, Journal, 1866, p. 457).
B. − [Le suj. désigne une chose] Venir en aide à, soutenir quelqu'un/quelque chose. Ce poignard est à toi; quand tout te manquera, C'est un ami fidèle et qui te secourra (Dumas père, Caligula, 1837, prol. 7, p. 29).Pour l'homme qui a lutté toute sa vie contre l'habitude, elle [la vieillesse] est le moment où le maximum de raideur dans le jeu de son corps est secouru par le maximum de souplesse dans l'accomplissement de l'esprit (Mounier, Traité caract., 1946, p. 162).
Prononc. et Orth.: [səkuʀi:ʀ], (il) secourt [səku:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) Fin xives. secourir à (aucun) « porter secours à » (Eustache Deschamps, Œuvres, éd. Queux de Saint-Hilaire, t. 2, p. 227); 1410 scourir à (aucun) « id. » (doc. de Tournai ds Gdf. Compl.); b) 1422 secourir à (la nécessité publique) « remédier à » (Alain Chartier, Quadrilogue invectif, éd. E. Droz, p. 31); 2. a) mil. xves. secourir (une douleur) « apporter un soulagement à un état pénible » (Jean Régnier, Fortunes et adversités, éd. E. Droz, p. 92, 2558); b) 1559 secourir (les lois, la liberté) « défendre, protéger » (Amyot, Vies, Solon, f o66 r o). Réfection, d'apr. courir*, de l'anc. verbe succure, secorre « porter secours » (ca 1100 succure, Roland, éd. J. Bédier, 3378; ca 1150 secorre, Charroi Nymes, éd. D. McMillan, 359), lui-même issu du lat. succurere « se trouver dessous dans sa course, courir vers, courir au secours, porter secours à, remédier à », formé de sub- « sous » et de currere « courir ». Cf. a. prov. soccorir, secorrir « secourir » (xives. ds Levy Prov.). Fréq. abs. littér.: 852. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 1 614, b) 967; xxes.: a) 1 207, b) 731.

Wiktionnaire

Verbe - français

secourir \sə.ku.ʁiʁ\ transitif 3e groupe (voir la conjugaison)

  1. Aider ; courir à l’aide de quelqu’un ; prêter assistance à qui en a besoin.
    • […] elle se trouva mal en rentrant dans sa maison : on s’efforça vainement de la secourir, de la ranimer ; elle expira sans avoir repris ses sens, ni laissé apercevoir aucune marque de connaissance. — (Marie-Jeanne Riccoboni, Histoire d’Ernestine, 1762, édition Œuvres complètes de Mme Riccoboni, tome I, Foucault, 1818)
    • Bien, bien, ma cousine ! il y a deux façons de me servir : l’une en exterminant mes ennemis, l’autre en secourant mes amis. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre XI)
    • […] il est traditionnel dans la Marine française qu’un Commandant peut [sic : puisse] transgresser les ordres et courir tous les risques pour secourir des vies en danger. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

SECOURIR. (Il se conjugue comme COURIR.) v. tr.
Aider, assister, donner aide, prêter assistance à qui en a besoin. Secourir puissamment, faiblement, promptement. Secourir les pauvres. Secourir ses amis de sa bourse. Il va succomber, si vous ne le secourez. Secourir un État, un prince; le secourir d'hommes, d'argent, de munitions, de vaisseaux. Cette place ne peut être secourue que par mer.

Littré (1872-1877)

SECOURIR (se-kou-rir) v. a.

Il se conjugue comme courir.

  • 1Donner à celui qui est dans un cas pressant le moyen d'en sortir. Secourez-nous donc, Seigneur, vous qui êtes notre Dieu, Sacy, Bible, Paralip. II, XIV, 11. Secourir quelqu'un de vivres, Perrot D'Ablancourt, Tac. 200. Plus ils voyaient la place de près, plus il leur semblait difficile et presque impossible d'empêcher qu'elle ne fût secourue, quand les ennemis voudraient, Pellisson, Lett. hist. t. III, p. 282. Ou ils [les amis] se détachent par intérêt, ou ils nous quittent par faiblesse, ou ils nous secourent à contre-temps, selon leur humeur et non pas selon nos besoins, Bossuet, 3e sermon, Passion, 2. Qu'y a-t-il de plus convenable à la puissance que de secourir la vertu ? Bossuet, Reine d'Anglet. D'un mot ou d'un regard je puis le secourir, Racine, Bajaz. I, 4. Les dieux m'ont secourue, et mon cœur affermi N'a rien dit, ou du moins n'a parlé qu'à demi, Racine, Mithr. II, 1. Ils ont secouru l'État d'environ quatre millions par année, Voltaire, Louis XIV, 35.

    Absolument. Il y a des bienfaits qui doivent être secrets, ce sont ceux qui secourent ; il y en a qui doivent être publics, ce sont ceux qui honorent, Diderot, Cl. et Nér. II, 58.

    Fig. Que vouliez-vous qu'il fît contre trois ? - Qu'il mourût, Ou qu'un beau désespoir alors le secourût, Corneille, Hor. III, 6.

    Se disait de l'action d'administrer aux convulsionnaires ce qu'ils appelaient des secours.

    Terme de manége. Secourir un cheval, lui donner des aides à temps et à propos lorsqu'il se ralentit.

  • 2Venir en aide à quelque chose. Voici un tarif très honnête des montres que M. le duc de Praslin a bien voulu demander… secourez notre entreprise, mes chers anges ; nous avons vingt familles à nourrir, Voltaire, Lett. d'Argental, 21 mai 1770.
  • 3Se secourir, v. réfl. Venir en aide à soi-même. Peut-être je saurai, dans ce désordre extrême, Par un beau désespoir me secourir moi-même, Racine, Bajaz. I, 3.

    Se secourir l'un l'autre. Dans ce monde il se faut l'un l'autre secourir, La Fontaine, Fabl. VI, 16.

SYNONYME

SECOURIR, AIDER. On secourt celui à qui la détresse ôte les moyens de se secourir lui-même. On aide celui dont les efforts ont besoin d'être secondés par les efforts d'autrui.

HISTORIQUE

XIe s. Succurra nous li reis od son barnet [sa baronie], Ch. de Rol. LXXXII.

XIIe s. Dame, merci : trop [vous] me secorez lent, Couci, X. E li barun franceis le runt tant succuru, Bien pout aidier as suens qui là furent venu, Th. le mart. 65.

XIIIe s. Et car me secourez, mere Dieu beneoite, Berte, XXIX. La gent de cascune partie souscouru le sien, Chr. de Rains, p. 78. Cortoisie est que l'en sequeure Celi dont l'en est au desseure, la Rose, 3293. Miex [mieux] vaut c'on sequeure au commun porfit, qu'à le [la] volenté de cix [ceux] qui voelent le tans enquierir [produire un enchérissement], Beaumanoir, XLIX, 2.

XIVe s. Il veulent bien l'un à l'autre, et secuerent ou obvient as necessités l'un de l'autre, Oresme, Eth. 239.

XVe s. Las ! on ne pense qu'à suyr Le monde… Et quand on cuide qu'il sequeure, Au plus grant besoin vient faillir, Orléans, Rond. 53.

XVIe s. Je l'ay secouru de gens, d'argent et de conseil, Rabelais, Garg. I, 28. Les grans tresors, en lieu de secourir, Honteusement me menerent mourir, Marot, I, 393. Saül est contraint de se retirer pour secourir à son pays, Calvin, Instit. 143. Et pour ce que j'ay trouvé la faulte ne venir point d'eux, j'ay plus voulentiers mis peine de leur secourir, Marguerite de Navarre, Lett. CIII. Elle rend un homme incapable de secourir aultruy, et de se secourir à soy, Montaigne, I, 225. Je meritois que la memoire me secourust mieulx, Montaigne, III, 258. J'ai fait tout ce qui m'a esté possible pour secourir et defendre les loix et la liberté de mon pays, Amyot, Solon, 64. À chacun nature donne Des pieds pour le secourir ; Les pieds sauvent la personne : Il n'est que de bien courir, Sat. Mén. les Pièces de tapisseries.

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Étymologie de « secourir »

Du latin succurrere, avec réfection d’après courir.
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Prov. soccorre, secorre, secorrer ; espagn. socorrer ; portug. soccorrer ; ital. soccorrere ; du lat. succurrere ; de sub, sous, et currere (voy. COURIR).

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Phonétique du mot « secourir »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
secourir sœkurir

Fréquence d'apparition du mot « secourir » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « secourir »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « secourir »

  • Il faut bien aviser à ne pas se noyer en voulant secourir ceux qui se noient.
    Baltasar Gracian y Morales — L'homme de cour
  • C'est le faible qui s'offre le plus souvent à secourir le faible.
    F.-J. Desbillons
  • Un homme fortement alcoolisé a frappé des pompiers et un policier vendredi soir à Valence, alors qu'ils tentaient de le secourir. Les trois victimes ont porté plainte, ainsi que le Service départemental d'incendie et de secours de la Drôme.
    France Bleu — Drôme : deux pompiers et un policier portent plainte après des violences lors d'une intervention
  • Près de Nantes, des pompiers agressés par l’homme qu’ils venaient secourir
    Faits divers : des pompiers interviennent pour secourir un animal, ils se font agresser
  • C'est deux fois secourir un malheureux que de le secourir promptement.
    Publius Syrus
  • Les Pompiers sont engagés pour secourir quelques passagers d'un train Intercité ralliant Bordeaux à Marseille, immobilisé sur les voies à Istres, suite à une collision avec un sanglier. A son bord, 340 passagers. La circulation SNCF est coupée pour le moment
    www.maritima.info — Istres - Faits-divers - Istres: train immobilisé suite à une collision avec un sanglier - Maritima.Info
  • C'est deux fois secourir un malheureux que le secourir promptement.
    Publius Syrus — Sentences, 93
  • L'expérience du malheur nous apprend à secourir les malheureux.
    Virgile
  • Connaissant moi-même le malheur, je sais secourir les malheureux.
    Virgile en latin Publius Vergilius Maro — L'Énéide, I, 630
  • Très cher fils,[…] je t’engage à employer ta jeunesse à bien progresser en savoir et en vertu. Tu es à Paris, tu as ton précepteur Épistémon : l’un par un enseignement vivant et oral, l’autre par de louables exemples, peuvent te former.J’entends et je veux que tu apprennes parfaitement les langues : premièrement le grec, comme le veut Quintilien ; deuxièmement le latin ; puis l’hébreu pour les saintes Lettres, le chaldéen et l’arabe pour la même raison ; et que tu formes ton style sur celui de Platon pour le grec, sur celui de Cicéron pour le latin. Qu’il n’y ait d’étude scientifique que tu ne gardes présente en ta mémoire et pour cela tu t’aideras de l’Encyclopédie universelle des auteurs qui s’en sont occupés.Des arts libéraux : géométrie, arithmétique et musique, je t’en ai donné le goût quand tu étais encore jeune, à cinq ou six ans ; continue ; de l’astronomie, apprends toutes les règles, mais laisse-moi l’astrologie, comme autant d’abus et de futilités.Et quant à la connaissance de l’histoire naturelle, je veux que tu t’y adonnes avec zèle : qu’il n’y ait ni mer, ni rivière, ni source dont tu ignores les poissons ; tous les oiseaux du ciel, tous les arbres, arbustes, et les buissons des forêts, toutes les herbes de la terre, tous les métaux cachés au ventre des abîmes, les pierreries de tous les pays de l’Orient et du Midi, que rien ne te soit inconnu.Puis relis soigneusement les livres des médecins grecs, arabes et latins, sans mépriser les Talmudistes et les Cabalistes, et, par de fréquentes dissections, acquiers une connaissance parfaite de l’autre monde qu’est l’homme. Et pendant quelques heures du jour, va voir les saintes Lettres : d’abord en grec le Nouveau Testament et les épîtres des apôtres, puis, en hébreu, l’Ancien Testament.En somme, que je voie en toi un abîme de science car, maintenant que tu deviens homme et te fais grand, il te faudra quitter la tranquillité et le repos de l’étude pour apprendre la chevalerie et les armes afin de défendre ma maison, et de secourir nos amis dans toutes leurs difficultés causées par les assauts des malfaiteurs.Et je veux que, bientôt, tu mesures tes progrès ; cela, tu ne pourras mieux le faire qu’en soutenant des discussions publiques, sur tous les sujets, envers et contre tous, et qu’en fréquentant les gens lettrés tant à Paris qu’ailleurs.Mais – parce que, selon le sage Salomon, Sagesse n’entre pas en âme malveillante et que science sans conscience n’est que ruine de l’âme – tu dois servir, aimer et craindre Dieu, et mettre en Lui toutes tes pensées et tout ton espoir ; […]Mon fils, que la paix et la grâce de Notre-Seigneur soient avec toi. Amen.D’Utopie, ce dix-septième jour du mois de mars,ton père, Gargantua.
    François Rabelais —  Pantagruel

Traductions du mot « secourir »

Langue Traduction
Anglais to rescue
Espagnol para rescatar
Italien salvare
Allemand retten
Chinois 营救
Arabe لانقاذ
Portugais para resgatar
Russe чтобы спасти
Japonais 救助する
Basque erreskatatzeko
Corse salvà
Source : Google Translate API

Synonymes de « secourir »

Source : synonymes de secourir sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « secourir »

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Secourir

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